A propos du livre de Philippe Moureaux, ancien bourgmestre de la tristement célèbre commune de Molenbeek-Saint-Jean, capitale du Jihadisme

Publié le 21 Janvier 2016

Pour un ex-professeur de critique historique à l'Université libre de Bruxelles...c'est plutôt pathétique comme livre ! Trop de sang ont coulé à partir de Molenbeek-Saint-Jean et Monsieur Moureaux et sa troupe de comiques-troupiers faisaient partie du Parti Socialiste.

Pour un ex-professeur de critique historique à l'Université libre de Bruxelles...c'est plutôt pathétique comme livre ! Trop de sang ont coulé à partir de Molenbeek-Saint-Jean et Monsieur Moureaux et sa troupe de comiques-troupiers faisaient partie du Parti Socialiste.

"La boîte à Pandore" pour éditer la boîte à mensonges...Cela nous semble aller de paire finalement et cela ne choque même pas plus que ça quand on connait le palmarès du triste personnage protégé à outrance par son parti de nantis...Ce qui me choque le plus dans l'affaire c'est de sortir le livre en France, pour surfer sur la vague des attentats de Paris. Le vieux bourgmaître va un cran plus loin dans la perfidie en salissant de la sorte la mémoire des victimes des attentats passés! Je me demande s'il vaut mieux qu'un terroriste de l'EI...

 
Ce que l'opinion publique pense de lui est qu'il a été volontairement laxiste durant toutes ses années de pouvoir à la tête de cette ville qui est maintenant mondialement connue comme la capitale du djihadisme en Belgique et en Europe. Molenbeek-Saint-Jean détient le triste record de délinquance en Europe mais aussi du nombre de djihadistes partis en Syrie.

 

À la suite des attentats du 13 novembre 2015 en France sa gestion des problèmes communautaires au cours de vingt ans passés à la tête de sa commune est fortement mise en cause. Ainsi, le sénateur Alain Destexhe lui reproche d'avoir complètement négligé la question de la radicalisation islamiste dans sa commune pour des raisons électoralistes. D'autres à l'instar du politologue Pierre Vercauteren sont plus nuancés et font notamment valoir qu'une seule personne ne peut être tenue responsable de la situation. Dans une interview accordée au journal Le Soir, l'intéressé se défend en expliquant qu'il n'est plus bourgmestre depuis trois ans, que durant son passage à la tête de la commune aucun événement similaire ne se serait produit et impute les attentats à « un échec complet des services de renseignement aussi bien français que belges ». Françoise Schepmans qui lui a succédé à la tête de la commune explique toutefois qu'il y existait « un terreau favorable aux événements » et évoque le « soi-disant laboratoire socio-multiculturel de Philippe Moureaux » en ajoutant que ce dernier « est dans le déni ».

À la suite des attentats du 13 novembre 2015 en France sa gestion des problèmes communautaires au cours de vingt ans passés à la tête de sa commune est fortement mise en cause. Ainsi, le sénateur Alain Destexhe lui reproche d'avoir complètement négligé la question de la radicalisation islamiste dans sa commune pour des raisons électoralistes. D'autres à l'instar du politologue Pierre Vercauteren sont plus nuancés et font notamment valoir qu'une seule personne ne peut être tenue responsable de la situation. Dans une interview accordée au journal Le Soir, l'intéressé se défend en expliquant qu'il n'est plus bourgmestre depuis trois ans, que durant son passage à la tête de la commune aucun événement similaire ne se serait produit et impute les attentats à « un échec complet des services de renseignement aussi bien français que belges ». Françoise Schepmans qui lui a succédé à la tête de la commune explique toutefois qu'il y existait « un terreau favorable aux événements » et évoque le « soi-disant laboratoire socio-multiculturel de Philippe Moureaux » en ajoutant que ce dernier « est dans le déni ».

Rédigé par Last Night in Orient

Publié dans #2016, #Livre, #Bruxelles, #Belgique, #Livres

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