Kobi Marimi représente Israël à la finale de l'Eurovision 2019
Publié le 11 Mars 2019
Cet article est reposté depuis Les Chroniques de l’Eurovision by Régis et Stéphane.
Étant donné qu'Israël est le pays hôte cette année, Kobi se voit garantir une place pour la Grande Finale de l'Eurovision le 18 mai prochain.
Il est né et a grandi à Ramat Gan, en Israël, dans une famille juive séfarade de descendance irako-juive. Marimi est un diplômé en interprétation professionnelle et a remporté le prix de l'acteur le plus prometteur du Festival de théâtre musical d'Israël. Après un parcours tumultueux au cours duquel Kobi Marimi a d’abord reçu le soutien de Netta Barzilai (La gagnante du concours Eurovision 2018 pour Israël) puis s’est retrouvé écarté par les juges, Kobi Marimi a ensuite eu la chance de participer à la finale de l’émission de télé réalité israélienne « Rising Star » grâce aux téléspectateurs, finale qu’il a remporté face aux trois autres finalistes, Katria Pouch, Rotem Shefi et Maya Buskila.
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TEL AVIV 2019-ISRAËL : KOBI MARINI avec « HOME » pour le pays hôte
Enfin et non des moindres, ISRAËL le pays hôte en Mai prochain vient de dévoiler la chanson qui défendra le pays . Elle s’intitule : HOME
כאן 11 | השיר הישראלי לאירוויזיון 2019 בתל אביב HOME - KOBI MARIMI 🇮🇱 -The Israeli entry for the Eurovision Song Contest 2019, sang by Kobi Marimi #כאן_אירוויזיון #קובי_מרימי #HOME_KOBI_MARIMI מ
La chanson "Home" a été co-écrite par Inbar Wizman et Ohad Shragai, chanteurs et compositeurs originaires de Tel Aviv. Les paroles de la chanson se concentrent sur le propre parcours et la vie de Kobi, la longue et difficile recherche de sa propre estime de soi.
Kobi est célibataire et vit à Tel Aviv, où il travaille dans un bar à cocktails, en parallèle avec sa carrière de chanteur et d'acteur.
Il y a plusieurs fois fait référence à la Shoah, ..."marcher à pieds nus"," tu m'as arraché le cœur et je l'ai repris ceci a fait de moi quelqu'un" le début avec les colonnes du monument au victimes de l'holocauste et répéter de façon insistante "Je suis quelqu'un" par rapport à la folie nazie qui réduisait les prisonniers à un matricule.