Ne pas oublier. Jamais. Sarah Goldberg, résistante et militante belge

Publié le 9 Avril 2019

Sarah Goldberg juste après la guerre, elle est immatriculée par un tatouage portant le n° 51 825
Sarah Goldberg juste après la guerre, elle est immatriculée par un tatouage portant le n° 51 825

Sarah Goldberg juste après la guerre, elle est immatriculée par un tatouage portant le n° 51 825

Sarah Goldberg reçoit notamment comme mission de participer à des filatures afin d’essayer d’abattre des traîtres ou des collaborateurs,  le plus célèbre qui semait la terreur dans la capitale belge était ce délateur de sinistre mémoire d’origine juive, Icek Glogowski (né le 26 septembre 1899, Piotrkow Russie - décès inconnu) , connu sous le nom de « Le gros Jacques », un proxénète bruxellois qui fut responsable de la déportation de centaines de Juifs.

Sarah Goldberg reçoit notamment comme mission de participer à des filatures afin d’essayer d’abattre des traîtres ou des collaborateurs, le plus célèbre qui semait la terreur dans la capitale belge était ce délateur de sinistre mémoire d’origine juive, Icek Glogowski (né le 26 septembre 1899, Piotrkow Russie - décès inconnu) , connu sous le nom de « Le gros Jacques », un proxénète bruxellois qui fut responsable de la déportation de centaines de Juifs.

Sarah Goldberg née à Warta (Pologne) le 1er janvier 1921 et décédée à Bruxelles, le 10 juin 2003 a été membre du réseau soviétique d’espionnage L’Orchestre rouge (Rote Kappelle), résistante armée, déportée, elle fut également parmi les premières membres de la section belge d’Amnesty International : elle porte le n° 31. Elle contribua aussi à perpétuer le devoir de mémoire en témoignant dans des établissements scolaires de la déportation dans les camps nazis et de son vécu pendant la guerre.

Rédigé par Last Night in Orient - LNO ©

Publié dans #Bruxelles, #Icek Glogowski, #Résistante

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