"Les gens ne meurent que lorsqu'on arrête de penser à eux" (Alberto Aguilera Valadez "Juan Gabriel")
Publié le 4 Septembre 2021
Il y a 5 ans, le Mexique a dit au revoir à son Divo de Juárez. Il y a 5 ans Alberto Aguilera Valadez nous quittait, mais aussi, il y a 5 ans, Juan Gabriel, la légende, est devenu une partie de l'immortalité dans l'histoire.
Ce jeune homme, qui surmonte la pauvreté, la marginalisation et même la prison, parvient à se positionner comme l'un des favoris du public avec une ballade noble et honnête intitulée : "No Tengo Dinero".
Cet artiste, qui malgré la controverse, parvient à être le premier musicien populaire à se produire au Palacio de Bellas Artes, nous laissant l'un des meilleurs concerts de l'histoire du Mexique.
Un compositeur, qui a traversé les frontières et la langue avec son art, atteignant toute l'Amérique latine, l'Europe et les États-Unis, enregistrant même ses chansons en japonais et en portugais, et qui avec son talent atteint son étoile sur le Walk of Fame.
Un artiste, un homme qui au cours de ses 45 ans de carrière nous a donné un Juan Gabriel à apprécier, à apprécier et aussi à pleurer.
Il y a 5 ans Alberto Aguilera Valadez nous quittait, mais aussi, il y a 5 ans, Juan Gabriel, la légende, est devenu une partie de l'immortalité dans l'histoire.