Homosexuels: le pape François défend le droit à l'union civile. "Les personnes homosexuelles ont le droit de vivre en famille." Le leadership moral est si rare de nos jours.
Le pape François s'est prononcé en faveur de l'adoption de lois reconnaissant l'union civile pour les couples homosexuels. C’est ainsi qu’il l’exprime dans le documentaire «Francesco», réalisé par le Russe Evgeny Afineevsky
Ce n'est que ces dernières années que l'Église a reconnu la nécessité d'une législation ad hoc pour les couples homosexuels. Plusieurs fois, plusieurs cardinaux ont évoqué la nécessité de donner de l'ordre et une forme juridique aux droits des personnes qui font partie de couples homosexuels, sans empiéter sur l'institution du mariage, ni altérer la relation entre parents et enfants avec des constructions juridiques problématiques.
Les paroles de François ne s'adressent pas à l'Italie et à sa législation, mais au monde. Il s'agit d'un discours large qui veut sensibiliser l'Église elle-même d'abord dans un domaine délicat et dans lequel tout le monde ne parle pas la même langue.
Parmi les moments les plus émouvants du film, l'appel téléphonique du «Pape» à un couple homosexuel, avec trois jeunes enfants à charge, en réponse à une lettre de leur part dans laquelle ils manifestaient leur grande honte d'avoir amené leurs enfants à la paroisse. Le conseil de Bergoglio à M. Rubera est d'amener les enfants à la paroisse de toute façon, indépendamment des procès. Très joli alors le témoignage de Juan Carlos Cruz, victime et militant contre les abus sexuels aujourd'hui présent au Festival de Rome avec le réalisateur. «Quand j'ai rencontré le pape François, il m'a dit à quel point il était désolé de ce qui s'était passé. Juan, c'est Dieu qui vous a rendu gay et en tout cas vous aime. Dieu vous aime et le pape vous aime aussi.
Les homosexuels ont le droit de faire partie de la famille. Ce sont des enfants de Dieu et ils ont le droit de fonder une famille", a déclaré le pontife.
Une petite révolution. Le pape François s'est prononcé en faveur de l'union civile pour les couples homosexuels, dans des déclarations qui tranchent avec les positions de ses prédécesseurs, d...
La musique kurde (Muzîk û strana kurdî) est la musique du peuple kurde, actuellement disséminé sur quatre États. Malgré l'inexistence d'un État indépendant,...Cependant, qu'ils soient de la plaine ou de la montagne, des vallées ou des plateaux, les chants kurdes ont en commun un certain nombre de traits caractéristiques: ce sont des chants " longs ", pathétiques et nostalgiques. Leila Ferîqî est une superbe représentante de la culture vocale kurde.
La música kurda (Muzîk û strana kurdî) es la música del pueblo kurdo, actualmente distribuida en cuatro estados. A pesar de la inexistencia de un estado independiente, ... Sin embargo, sean de la llanura o de la montaña, valles o mesetas, las canciones kurdas tienen en común una serie de rasgos característicos: son canciones "largo", patético y nostálgico. Leila Ferîqî es una excelente representante de la cultura vocal kurda.
Ez kevoka zinaranim
Gul û sosina buharan im
Weke mêrg û gulîstan im
Bêrîvanim wez heyran im
Xemla dilêm bi kovan e
Wez merhema dil û can im
Ez nojdarê kul û jan im
Bêrîvanim dilovanim
Bêrîvanim Bêrîvanim
Keça Kurdim li zozanim
Bêrîvanim Bêrîvanim
Bêrîvana Kurdistanim
Mon cœur est décoré de désir
Je suis l'onguent des jours et des âmes
Je suis le médecin des blessures et de la douleur.
Mi corazón está adornado con anhelo
Soy el ungüento de días y almas
Soy medico de las heridas y lasdolores
Le chant traditionnel kurde a une structure répétitive dont l'unité est une strophe comportant généralement de trois à sept phrases musicales. Une strophe contient à elle seule toute la ligne mélodique et d'une strophe à l'autre, seules les paroles diffèrent. Les phrases n'ont pas forcément la même longueur puisque le vers, étant libre, ne comprend qu'occasionnellement un même nombre de syllabes. Par ailleurs, si un chant est " long ", il le demeure d'un bout à l'autre; des passages gais, animés, d'un autre rythme, donc stimulant, d'un autre état d'âme, ne viennent pas s'y insérer.
Les Kurdes sont un peuple d'origine indo-européenne descendant des Mèdes (Iran) comptant approximativement 35 millions de personnes, vivant surtout en Turquie, en Iran, en Irak et en Syrie dans ce qui est appelé le Kurdistan. Une émigration récente a entraîné l’apparition d’une diaspora kurde qui est présente dans tous les pays de l'Europe occidentale, aux Etats-Unis et en Australie.
La musique kurde appartient à la même famille que la musique persane, mais sa principale caractéristique, comme dans la musique indienne, est l'exploration de l'octave. la structure de base est un développement de modèle dans lequel les éléments sont élaborés et organisés par improvisation de manière à aboutir toujours à une conclusion rythmique mélodique. Dans la construction musicale, l'improvisation est au départ équilibrée au moyen d'une partie finale mesurée. La musique kurde n'est ni une musique savante ni une musique folklorique, mais tout en un. Comme la musique persane, c'est une musique passionnée, sensuelle, très souvent teintée d'une profonde mélancolie. Bien que proches l'un de l'autre, ces deux mondes sont très différents et ne peuvent être confondus lorsqu'ils sont entendus, la musique persane étant plus raffinée et celle des Kurdes étant plus instinctive et plus impulsive.
Rappelons aussi que les Kurdes ne jouissent d'aucune liberté culturelle au sein de leur patrie. L'état turc ne leur reconnaît pas le droit à l'autodétermination. L'objectif poursuivi est d'assimiler les Kurdes aux Turcs en Turquie.
Les Kurdes parlent des dialectes proches les uns des autres, tous issus du kurde, langue indo-européenne de la branche iranienne. Depuis un siècle, certains kurdes luttent pour leur autodétermination, afin de retrouver leur propre patrie, le Kurdistan. Tous les Etats qui abritent une communauté non-négligeable de Kurdes s'opposent activement à la création d'un Etat kurde, craignant de devoir abandonner une partie de leur territoire national.
La canción tradicional kurda tiene una estructura repetitiva, la unidad de la cual es una estrofa que generalmente comprende de tres a siete frases musicales. Una estrofa sola contiene toda la línea melódica y de una estrofa a otra, solo difieren las letras. Las oraciones no tienen necesariamente la misma longitud ya que el verso, al ser libre, solo ocasionalmente incluye el mismo número de sílabas. Por otro lado, si una canción es "larga", lo será durante todo el tiempo; Pasajes alegres, animados, con un ritmo diferente y por tanto estimulante, con un estado de ánimo diferente, no encajan en él.
Fondation-Institut kurde de Paris
Los kurdos son un pueblo de origen indoeuropeo descendiente de los medos (Irán) que suman aproximadamente 35 millones de personas, que viven principalmente en Turquía, Irán, Irak y Siria en lo que se llama Kurdistán. Una reciente emigración ha propiciado el surgimiento de una diáspora kurda que está presente en todos los países de Europa Occidental, en Estados Unidos y en Australia.
La música kurda pertenece a la misma familia que la música persa, pero su característica principal, como en la música india, es la exploración de la octava. la estructura básica es un modelo de desarrollo en el que los elementos se elaboran y organizan mediante la improvisación de tal manera que siempre conducen a una conclusión rítmica melódica. En la construcción musical, la improvisación se equilibra inicialmente mediante una parte final mesurada. La música kurda no es ni académica ni popular, sino todo en uno. Como la música persa, es una música apasionada y sensual, muy a menudo teñida de una profunda melancolía. Aunque cercanos, estos dos mundos son muy diferentes y no pueden confundirse cuando se escuchan, siendo la música persa más refinada y la de los kurdos más instintiva e impulsiva.
Recordemos también que los kurdos no disfrutan de ninguna libertad cultural dentro de su tierra natal. El estado turco no reconoce su derecho a la autodeterminación. El objetivo que se persigue es asimilar a los kurdos a los turcos en Turquía.
Los kurdos hablan dialectos cercanos entre sí, todos del kurdo, el idioma indoeuropeo de la rama iraní. Durante un siglo, algunos kurdos han estado luchando por su autodeterminación, para recuperar su propia patria, Kurdistán. Todos los estados que albergan una importante comunidad de kurdos se oponen activamente a la creación de un estado kurdo, por temor a tener que abandonar parte de su territorio nacional.
Bélgica cierra bares y restaurantes durante un mes e impone toque de queda.
Es la dimensión simbólica de esta decisión de toque de queda la que sin duda es la más significativa. Por supuesto, las consecuencias "económicas" serán significativas, al igual que las consecuencias para la salud, especialmente las psiquiátricas.
El propósito del toque de queda es evitar, durante cuatro semanas, seis semanas, seis meses, un año, nunca se sabe, "comer y beber juntos".
Rechazamos el toque de queda.
Nos negamos a pagar con nuestra vida la aberración de los gobernantes.
Nos negamos a soportar el resentimiento del poder sobre lo que queda de alegría en nuestras vidas.
Rechazamos la retorcida paradoja de impedirnos vivir en nombre de la “vida”.
Nos negamos a permitir que ningún gobierno afirme que nos maltrata "por nuestro bien". Nadie sabe lo que nos conviene mejor que nosotros.
Nos negamos a permitir que el Estado se apropie bajo el disfraz de "solidaridad" o "colectiva" de lo que se relaciona con el vínculo entre seres.
Nos negamos a dejarnos llevar como niños por un montón de pendejos diplomados y mal criados.