À plusieurs reprises, cette chanson a été considérée comme l'une des plus importantes de la musique de langue espagnole et a été décrite comme un hymne humaniste.
"Gracias a la vida" est l'une des chansons chiliennes les plus connues et jouées au monde, et est incluse en permanence dans les anthologies de chansons latino-américaines .
En la Edad Media, el pueblo rural de Molenbeek-Saint-Jean suministró a Bruselas productos agrícolas. Es durante siglos un lugar de peregrinación debido a la presencia de una fuente de Santa Gertrudis de Nivelles considerada milagrosa. Su carácter permaneció esencialmente rural hasta el siglo XVIII. Alrededor de la Iglesia de San Juan Bautista se está desarrollando la tradición de una peregrinación especial para aquellos que sufren de epilepsia. La música al sonido de la gaita los revivió, regenerando las mentes de los creyentes.
La parroquia de Molenbeek era en ese momento solo un pueblo agrícola situado entre el arroyo y los molinos. El santo patrón fue Juan el Bautista, quien fue invocado allí durante mucho tiempo contra la epilepsia, los mareos, los espasmos, las convulsiones, la furia de la danza o la danza de San Vito, el granizo y las enfermedades del infancia, y para la protección de mujeres embarazadas. Pero en ningún otro lugar sino en esta comuna se podría asistir a rituales de trance lo suficientemente impresionantes como para causar un choque emocional que probablemente haya tenido un efecto curativo sobre ciertos trastornos psicógenos, histéricos, epileptiformes o coreiformes.
Molenbeek y Bruegel están inextricablemente unidos. Aquí hay una pintura de Pierre Bruegel the Younger (que data de 1592) que ilustra esta escena de una procesión de bailarines acompañados por gaiteros, llevando a los enfermos para que eviten pisar el puente que cruza el Senne y se dirigen hacia Iglesia de San Juan Bautista
Usar lo sobrenatural para pedir ayuda era común entre los paganos. Los pueblos indígenas belgas de esa época nos enseñaron una forma de vida diferente, y los rituales sirvieron como un poder de trance liberador para los pacientes que sufren ciertas formas de depresión e histeria. Entonces, ¿dónde termina el tratamiento, dónde comienza la fiesta?
Au Moyen Âge, le village rural de Molenbeek-Saint-Jean fournissait Bruxelles en produits agricoles. Il est pendant des siècles un lieu de pèlerinage dû à la présence d'une source de sainte Gertrude de Nivelles considérée comme miraculeuse. Son caractère demeure essentiellement rural jusqu'au xviiie siècle. Autour de l’église Saint-Jean-Baptiste se développe la tradition d’un pèlerinage spécial de ceux qui souffrent d’épilepsie. La musique au son des cornemuse les faisaient revivre, en régénérant les esprits des croyants.
Molenbeek et Bruegel sont inextricablement liés. Voici un tableau de Pierre Bruegel le Jeune (datant de 1592) illustre cette scène d’une procession de danseurs accompagnés de joueurs de cornemuse, portant les malades afin qu’ils évitent de mettre les pieds sur le pont enjambant la Senne et se dirigeant vers l’église Saint-Jean-Baptiste
Les peuples indigènes belges de cette époque nous enseignaient une façon de vivre différente, et les rituels servaient de pouvoir de transe libératoire aux patients atteints de certaines formes de dépressions et d'hystérie. Dès lors, où finit la cure, où commence la fête ? Le fait de faire appel au surnaturel pour demander de l'assistance était une pratique courante chez les païens et se rencontre encore de nos jours dans les religions du Livre.
La paroisse de Molenbeek n’était à l’époque qu’un village agricole posé entre le ruisseau et les moulins. Le saint patron était Jean le Baptiste qui y était invoqué de très longue date contre l’épilepsie, les vertiges, les spasmes, les convulsions, la furie de la danse ou Danse de Saint-Guy, la grêle ainsi que les maladies de l’enfance, et pour la protection des femmes enceintes. Mais nulle part ailleurs que dans cette commune on pouvait assister à des rituels de transe assez impressionnants pour provoquer un choc émotionnel susceptible d’avoir eu un effet curatif sur certains troubles psychogènes, hystériques, épileptiformes ou choréiformes.