Sébastien Farran, né le 5 mars 1971, est un producteur et manager d'artistes français. Sur Facebook, Didier Morville, un rappeur français de 50 ans lui adresse un long message ;
La technique Farran consiste invariablement à se barrer avec la caisse à la fin, que ce soit pour du caritatif ou autre, pas d'états d'âmes. Je rappelle qu'il a été mon manager et avait toutes sortes de procurations pour se servir à sa guise et il ne s'en est pas privé.
Didier Morville
Sébastien Farran l'homme sac à main... S'est fait jeter comme une grosse merde par la femme de son ancien employeur... C'est balot!!! J'attends encore ta plainte pour diffamation lorsque je t'ai traité à juste titre d'escroc et de voleur, à vite!! Peur!!!
Sébastien Farran était le manager de Johnny et était très proche de Laeticia. Selon Joey Starr, ce ne serait plus le cas. Sébastien Farran a été le manager de Joey Starr pendant 25 ans, avan...
Cette ballade rend hommage au peintre Vincent van Gogh, à son œuvre, et plus particulièrement au célèbre tableau « La nuit étoilée ». Van Gogh voit le ciel étoilé comme une carte géographique et la mort comme une navette permettant de le rejoindre.
Starry, starry night
Paint your palette blue and grey
Look out on a summer's day
With eyes that know the darkness in my soul
Shadows on the hills
Sketch the trees and the daffodils
Catch the breeze and the winter chills
In colors on the snowy linen land
Now I understand
What you tried to say to me
And how you suffered for your sanity
And how you tried to set them free
They would not listen, they did not know how
Perhaps they'll listen now
Starry, starry night
Flaming flowers that brightly blaze
Swirling clouds in a violet haze
Reflect in Vincent's eyes of china blue
Colors changing hue
Morning fields of amber grain
Weathered faces lined in pain
Are soothed beneath the artist's loving hand
Now I understand
What you tried to say to me
And how you suffered for your sanity
And how you tried to set them free
They would not listen, they did not know how
Perhaps they'll listen now
For they could not love you
But still your love was true
And when no hope was left in sight
On that starry, starry night
You took your life, as lovers often do
But I could've told you, Vincent
This world was never meant for one as beautiful as you
Starry, starry night
Portraits hung in empty halls
Frameless heads on nameless walls
With eyes that watch the world and can't forget
Like the strangers that you've met
The ragged men in ragged clothes
The silver thorn on the bloody rose
Lie crushed and broken on the virgin snow
Now I think I know
What you tried to say to me
And how you suffered for your sanity
And how you tried to set them free
They would not listen, they're not listening still
Perhaps they never will
Nuit étoilée, nuit étoilée Tu peins ta palette et de bleu et de gris Tu contemples cette journée d'été Avec des yeux qui reconnaissent l'obscurité de mon âme Des ombres sur les collines Tu esquisses les arbres et les jonquilles Tu captures la brise et les grands froids d'hiver Dans des teintes blanches comme neige sur cette terre
Maintenant je comprends Ce que tu as essayé de me dire Combien tu as souffert pour garder les idées claires Et combien tu t'es efforcé de les libérer Ils ne t'écoutaient pas, ils ne savaient pas comment Peut-être qu'ils t'écouteront maintenant
Nuit étoilée, étoilée Les leurs flamboyantes qui s'embrasent de couleurs éclatantes Les nuages tournoyants dans un brouillard violet Se reflètent dans les yeux de Vincent de porcelaine bleue Les couleurs aux teintes changeantes Du matin, des champs, des grains d'ambre Les visages burinés, ridés par la souffrance Sont adoucis par la main de l'artiste, tendre et aimante
Maintenant je comprends Ce que tu as essayé de me dire
Combien tu as souffert pour les libérer Combien tu t'es efforcé pour garder les idées claires Ils ne t'écoutaient pas, ils ne savaient pas comment Peut-être qu'ils t'écouteront maintenant
Car ils ne pouvaient pas t'aimer Mais toujours, ton amour restait sincère Et quand il ne restait plus d'espoir à voir Lors de cette nuit étoilée, étoilée Tu t'es suicidé, comme le font souvent les amants Mais j'aurais pu te dire, Vincent Que ce monde n'a jamais été fait pour quelqu'un d'aussi beau que toi
Nuit étoilée, étoilée Des portraits accrochés dans des couloirs déserts Des têtes sans cadres sur des murs sans nom Avec des yeux qui observent le monde, incapables d'oublier Pareils aux inconnus que tu as rencontrés Ces hommes loqueteux, vêtus de haillons L'épine d'argent sur la rose sanguinaire Sont étendus et brisés dans la neige vierge
Maintenant je crois que je comprends Ce que tu as essayé de me dire Combien tu as souffert pour les libérer Combien tu t'es efforcé pour garder les idées claires Ils ne t'écoutaient pas, ils ne t'écoutent toujours pas, du reste Peut-être qu'ils ne t'écouteront jamais... Simple hypothèse.
Le 30 mars 1853 naissait Vincent Van Gogh aux Pays-Bas. Plus d'un siècle et demi plus tard, KAZoART rend hommage à l'un des plus grands peintres néerlandais dans un nouveau numéro de L'œuvre ...