Publié le 12 Janvier 2018

La statue originale de Léopold II a disparu dans la nuit du mercredi au jeudi. Dans un communiqué de presse, l'enlèvement a été revendiqué par le collectif anticolonial de l'Association Citoyenne pour un Espace Public Décolonial (ACED). Avec la campagne, ils voulaient nourrir le débat sur le traitement des souvenirs de l'ère coloniale. Léopold II introduisit un règne de terreur sur le Congo qui devint une colonie belge.

Léopold est aussi surnommé le "Roi-bâtisseur" car il a transformé des villes comme Bruxelles ou Ostende et a constitué un important domaine en Ardenne. À Bruxelles, il est à l'origine de l'édification des serres royales de Laeken, du Pavillon Chinois, de la Tour Japonaise, des arcades du parc et des Arcades du Cinquantenaire, du tracé de l'avenue de Tervuren, de la création de parcs publics comme le parc Duden à Forest, et de la transformation du palais royal de Bruxelles.

N’ayant pas d’héritiers directs, Duden décide en 1895 de léguer sa propriété au roi Léopold II qu’il admire et avec qui il a sans doute eu des contacts personnels. En contrepartie, il demande que son domaine soit transformé en un parc public qui porte son nom. Il libérerait un budget pour son entretien et son épouse Ottilie en aurait l’usufruit jusqu’à sa mort. En 1905, le roi cède le parc à la Donation royale dans le but de le faire communiquer avec le parc de Forest déjà aménagé depuis 1875 et de créer ainsi une oasis de verdure au cœur de la commune.
 

 

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Rédigé par Last Night in Orient

Publié dans #Bruxelles, #2018, #Léopold

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Publié le 12 Janvier 2018

Allá en el Rancho Grande est une chanson mexicaine. Il a été écrit dans les années 1920 pour une œuvre théâtrale musicale, mais maintenant il est le plus souvent associé au film mexicain 1936 éponyme, dans le Rancho  Grande, dans lequel il a été chanté par le célèbre acteur et chanteur Tito Guízar avec mariachis.

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Rédigé par Last Night in Orient

Publié dans #Tito Guízar, #Allá en el Rancho Grande, #ranchera,, #mariachi

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Publié le 12 Janvier 2018

J'ai rencontré un marchand
Bon à voler du client
Des choses qui valent cinq
Il les a toujours vendues à vingt
Mais il est mort de froid
Pauvre soudainement
Ils l'ont envoyé en enfer
Pour que le diable le réchauffe

L'équilibre de la vie
C'est très irrégulier
Il y en a peu qui gagnent beaucoup
Et beaucoup ne gagnent rien.

Une calaca (prononciation espagnole: [kalaka], un nom espagnol mexicain familier pour designer un squelette) est une figure d'un crâne ou d'un squelette (généralement humain) couramment utilisé pour la décoration pendant la Fête des Morts.

La Calavera Catrina. Une expression populaire parmi les Mexicains et les Latinos qui en connaissent personnellement est "se lova la caló" après la mort de quelqu'un, signifiant littéralement "la calaca l'a pris" ou "la mort l'a pris".  Au Guatemala, "calaca" est compris comme "mort". La figure d'un squelette nu représente la mort et implique la peur de la mort. Ainsi, il n'est normalement pas utilisé comme une image joyeuse.
La Calavera Catrina. Une expression populaire parmi les Mexicains et les Latinos qui en connaissent personnellement est "se lova la caló" après la mort de quelqu'un, signifiant littéralement "la calaca l'a pris" ou "la mort l'a pris".  Au Guatemala, "calaca" est compris comme "mort". La figure d'un squelette nu représente la mort et implique la peur de la mort. Ainsi, il n'est normalement pas utilisé comme une image joyeuse.

La Calavera Catrina. Une expression populaire parmi les Mexicains et les Latinos qui en connaissent personnellement est "se lova la caló" après la mort de quelqu'un, signifiant littéralement "la calaca l'a pris" ou "la mort l'a pris". Au Guatemala, "calaca" est compris comme "mort". La figure d'un squelette nu représente la mort et implique la peur de la mort. Ainsi, il n'est normalement pas utilisé comme une image joyeuse.

Mucho cuidado señores
Porque la muerte anda lista
En el Panteón de Dolores
Ya nos tiene una pocita
Para los compositores
Y uno que otro periodista
Licenciados y doctores
Todos están en la lista

Tuku, tuku, tuki, taka
Qué recanija calaca
Cuando menos lo pensamos
Nos hace estirar la pata
Yo me le escapé una vez
Pero por poco y me atrapa

La muerte no enseña el cobre
Tampoco hace distinciones
Lo mismo se lleva al pobre
Que al rico con sus millones
Uno va en estuche de oro
Y el otro en puros calzones
Pero pasadito el tiempo
Quedan igual de pelones

Tuku, tuku, tuki, taka
Qué recanija calaca
Débiles y poderosos
De morir nadie se escapa
Llevamos el mismo fin
En petate o en petaca

Yo conocí un comerciante
Bueno pa´robar al cliente
Las cosas que valen cinco
Él siempre las daba a veinte
Pero se murió de frío
Pobrecito de repente
Lo mandaron al infierno
Pa´que el diablo lo caliente

Tuku, tuku, tuki, taka
Qué recanija calaca
A todos esos careros
Llévatelos de corbata
Indeseables usureros
Chupan como garrapatas

El obrero gana el pan
Con el sudor de su frente
Para que sus hijos coman
Aunque no lo suficiente
Mientras muchos abusivos
Viven violando las leyes
Ganando lo que ellos quieren
Por andarse haciendo bueyes

Tuku, tuku, tuki, taka
Qué recanija calaca
Yo les pido una disculpa
Si es que ya metí la pata
Aunque son muy parecidos
No es lo mismo buey que vaca

La balanza de la vida
Está muy desnivelada
Hay pocos que ganan mucho
Y muchos no ganan nada
El trabajo del obrero
No tiene compensaciones
Con esto del minisueldo
No alcanza ni pa´camiones

Tuku, tuku, tuki, taka
Qué recanija calaca
Si tú conoces al diablo
Ruégale que no sea ingrato
Pa´que el costo de la vida
Se nos ponga más barato

Mucho cuidado señores
Los que ya son votadores
Ahí vienen las elecciones
Con sus manipuladores
Y cada partido dice
Que votar por ellos debes
Y que de aquí en adelante
Nos darán vida de reyes

Tuku, tuku, tuki, taka
Qué recanija calaca
Y ahí viene otro presidente
A sonarnos la matraca
Viene prometiendo mucho
Pero dará pura
Tuku, tuku, tuki, taka

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