Publié le 15 Août 2017

Haïr les juifs et le dire est devenu le nec plus ultra de la scène artistique. Comment en sommes-nous arrivés là ? Mais c'est la première fois (pour moi en tous cas) que je tombe sur un cas de bêtise crasse d'un tel degré ! Prêcheurs de haine, je vous emmerde!

Haïr les juifs et le dire est devenu le nec plus ultra de la scène artistique. Comment en sommes-nous arrivés là ? Mais c'est la première fois (pour moi en tous cas) que je tombe sur un cas de bêtise crasse d'un tel degré ! Prêcheurs de haine, je vous emmerde!

L’histoire montre que l’antisémitisme est une mesure des tensions mondiales

Brad Macdonald

Il y a aussi une attitude antisémite en Allemagne qui provient de l’idéologie nazie indescriptible qui est encore partiellement répandue. Il existe des jeunes orientés vers la droite dans la majorité de la société qui offensent les camarades de classe avec des déclarations discriminatoires. En revanche, les enfants ayant des antécédents migratoires font de même, surtout s’ils appartiennent à une famille ayant une relation biographique islamique et politique avec le Moyen-Orient en tant que région. Ensuite, l’Israël politique est un problème majeur.

Sanem Kleff

L’antisémitisme est une pathologie aux multiples visages. A chaque génération, il trouve de nouvelles formes d’expression et de propagation.

Le nouvel antisémitisme est un concept selon lequel une nouvelle forme d'antisémitisme se serait développée à la fin du xxe siècle et au début du xxie siècle, émanant simultanément de l'extrême gauche, de l'extrême droite et de l'islam fondamentaliste, et tendant à se manifester comme une opposition au sionisme et à l'État d'Israël.

Le concept postule généralement que la majorité de ce qui se revendique n'être qu'une simple critique de la politique israélienne est en fait une diabolisation d'Israël. Cela représenterait une évolution des anciens préjugés antisémites, jadis axés sur la religion (rejet du Christ par les Juifs - déicide) ou sur la prétendue « race juive ».

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Publié le 15 Août 2017

La violence conjugale, qu’elle s’exerce de façon verbale ou physique, est une réalité quotidienne pour des milliers de Marocaines.

Un symbole dans la pratique BDSM. Un fouet à plusieurs lanières, avec un nœud au bout de chacune. On dit que les pirates s’en servaient pour punir les indisciplinés.

Jean-Christophe Grangé, Miserere, Albin Michel, 2009, p. 51

Dans une interview accordée au site Chouf Tv, Imane Bent Lhowat affirme ne pas parler des coups de violents, mais des petites gifles du mari ou de l’amant qui sont données par amour. « Comment une femme va savoir que son mari tient à elle ? c’est par son comportement envers elle. Je ne parle pas des coups de violents. Il peut la bousculer, la gifler (..). Je parle des coups ’doux’ de l’amour, de ceux que l’on utilise quand on est amoureux ». La nouvelle chanson de Bent Lhouate qui fait scandale

Dans cette vidéo, la comédienne et activiste féministe Mounia Magueri joue le role d’une victime de violence domestique, d’un mari violent, d’un officier de police, et d’un procureur—soulignant ainsi le problème de la violence conjugale sous plusieurs angles. Le cas décrit dans ce scénario est fictif, mais tous les arguments présentés par les différents personages reflètent fidèlement les recherches et témoignages recueillis par Human Rights Watch.

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Rédigé par Last Night in Orient

Publié dans #Imane Bent Lhouate, #Musiques marocaines, #chaâbi, #Imane Bent Lhowat, #Imane Bent El Howat

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Publié le 14 Août 2017

Rédigé par Last Night in Orient

Publié dans #Lila Downs

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