Publié le 31 Mars 2017

 En douze mois, la Turquie a payé le prix fort au terrorisme, avec la reprise du conflit kurde et les combats en Syrie voisine. En douze mois, la Turquie a payé le prix fort au terrorisme, avec la reprise du conflit kurde et les combats en Syrie voisine.

En douze mois, la Turquie a payé le prix fort au terrorisme, avec la reprise du conflit kurde et les combats en Syrie voisine. En douze mois, la Turquie a payé le prix fort au terrorisme, avec la reprise du conflit kurde et les combats en Syrie voisine.

Dans le contexte sécuritaire actuel (attentats à Istanbul le 10 décembre 2016 et le 1er janvier 2017 dans la discothèque Reina, à Kayseri le 17 décembre 2016, et attaque contre l’ambassadeur de la Fédération de Russie à Ankara le 19 décembre), il est recommandé de faire preuve d’une très grande vigilance lors des déplacements, en particulier dans les lieux de forte affluence et les quartiers touristiques, d’éviter les rassemblements et de se tenir à l‘écart des postes de police et de gendarmerie ainsi que des bâtiments officiels qui peuvent constituer des cibles privilégiées. Par ailleurs, les intérêts et les ressortissants français en Turquie peuvent être également pris pour cible.

Suite à la tentative de coup d’État du 15 juillet, le Conseil des ministres de la République de Turquie mis en place l’état d’urgence, reconduit le 19 octobre 2016 sur tout le territoire pour une période de trois mois.

Les abords immédiats des frontières avec la Syrie et l’Irak sont formellement déconseillés (cf. carte de la rubrique « Sécurité » de la présente fiche).
Les départements du Sud et du Sud-est du pays sont déconseillés sauf raison impérative à cause du conflit en Syrie et des affrontements entre les forces de sécurité turques et les militants du PKK, qui peuvent causer des dommages collatéraux.

Suite aux actions anti-terroristes en Belgique et les évènements en Syrie et Iraq, il est demandé aux compatriotes de se montrer particulièrement vigilants compte tenu de la menace terroriste accrue vis-à-vis des intérêts belges. Il est par conséquent conseillé de consulter régulièrement les conseils aux voyageurs et de prendre les mesures de précaution élémentaires. Il est également recommandé de suivre scrupuleusement les consignes des autorités locales. 

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Rédigé par Last Night in Orient

Publié dans #Tourisme en Turquie, #2017, #Tourisme, #Actualités, #Turquie

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Publié le 30 Mars 2017

José Pedro Infante Cruz, alias Pedro Infante, né le 18 novembre 1917 à Mazatlán, Sinaloa et mort le 15 avril 1957 dans un accident d'avion, est un acteur et chanteur très connu à l'époque de l'Época de Oro du cinéma mexicain. À partir de 1939, il a joué dans plus de soixante films, et a enregistré 350 chansons depuis 1943. Il a reçu l'Ours d'argent du meilleur acteur à la Berlinale 1957 et un Golden Globe à Hollywood en 1957 pour son rôle dans le film Tizoc d'Ismael Rodríguez.

Delfino Infante, père de Pedro, était professeur de musique et jouait avec talent de plusieurs instruments. En fait, c’est lui qui a transmis à son fils l’amour de la musique populaire mexicaine.

Dès son jeune âge, Pedro partagera son passe-temps artistique avec la menuiserie. Son entrée dans le monde du spectacle est lente mais consistante. A 16 ans, il forme "La Rabia" (La Rage), son premier groupe musical, qui sera rapidement connu dans tout le Sinaloa. Bientôt la scène locale devient trop petite et Pedro Infante décide de s’installer dans la capitale où il jouera dans différents centres et espaces culturels. En 1939, il chantera pour la première fois dans une émission de radio et, des années plus tard, en 1943, il enregistrera "El soldado" (Le Soldat), sa première tentative pour s’approcher du grand public.

Connu pour être un véritable admirateur des "rancheras" (genre musical très populaire au Mexique, amplement lié aux mariachis), Pedro Infante a enregistré plus de 300 chansons dans ce domaine. Beaucoup d’entre elles sont devenues immortelles grâce à sa voix. C’est le cas de "Amorcito corazón", "Bésame mucho", "Dicen que soy mujeriego", "Te quiero así", "Cien años" et "La que se fue".

La musique a été aussi pour Pedro Infante un tremplin vers le cinéma. Recruté dans le film "La feria de las flores" (1943) afin de renforcer la voix de l’acteur, il est catapulté vers la gloire et devient l’un des acteurs et chanteurs les plus célèbres du cinéma mexicain. Il incarne, dans ses rôles, le Mexicain idéal : brave, humble, cavalier émérite, viril, séducteur, habile dans le maniement des pistolets et bagarreur endurci.

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Rédigé par Last Night in Orient

Publié dans #Pedro Infante, #Eugenia León, #2017, #musique mexicaine

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Publié le 30 Mars 2017

Dios nunca muere est une valse mexicaine écrite par Javier Gonzales et composée par le violoniste Macedonio Alcalá en 1868

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