Publié le 5 Juin 2016

D'après le journal en ligne Le360, le jeune touriste britannique Connor Jarvis a été retrouvé mort dans une crevasse la région du Mont Toukbal dans des circonstances non encore élucidées. 

Qu'en penser ? Avec l’accès de plus en plus facile au sport de montagne et l’ascension des sommets, il n’est pas rare de croiser des randonneurs tentant l’ascension du mont Toubkal sans guide officiel. Méconnaissant les dangers dus à la glisse ou aux éboulements fréquents surtout en période de pluie, les randonneurs non accompagnés risquent des accidents qui sont fréquents et parfois mortels.

Pour cette région, il est indispensable de ne pas prendre le service de ce que les autorités appellent les faux guides dans ce sens qu'ils n'ont couverture d'assurance légale en cas d’accidents.

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Rédigé par Last Night in Orient

Publié dans #Tourisme, #Maroc, #2016, #décès

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Publié le 4 Juin 2016

Négatif Clan avait pour couverture de prétendre faire du rap, mais certains membres se livraient aussi à des escroqueries, arnaques à la prostitution, trafic de drogue...La procureure a requis, hier devant le tribunal correctionnel de Bruxelles, 8 peines de 15 ans de prison dans le cadre du procès de membres de la bande de racaille urbaine Négatif Clan, connue aussi pour ses productions de musique rap. La bande est accusée de faits de viol et d’incitation à la débauche de jeunes filles mais aussi de faits de violence avec séquestration, d’extorsions, de trafic de drogue et d’organisation criminelle.

Négatif Clan avait pour couverture de prétendre faire du rap, mais certains membres se livraient aussi à des escroqueries, arnaques à la prostitution, trafic de drogue...La procureure a requis, hier devant le tribunal correctionnel de Bruxelles, 8 peines de 15 ans de prison dans le cadre du procès de membres de la bande de racaille urbaine Négatif Clan, connue aussi pour ses productions de musique rap. La bande est accusée de faits de viol et d’incitation à la débauche de jeunes filles mais aussi de faits de violence avec séquestration, d’extorsions, de trafic de drogue et d’organisation criminelle.

Au total, seize crapules sont prévenues dans cet important dossier criminel. Une quinzaine de jeunes filles avaient déclaré avoir été forcées à se prostituer pour le compte de membres du Négatif Clan, une bande urbaine basée dans le quartier Yser et du quartier maritime à Molenbeek-Saint-Jean. Les membres étaient connus de la justice pour divers méfaits.

Ils se sont produits récemment à Bruxelles-les Bains, mais ce n'est pas dans le registre musical que Negative Clan fait parler de lui ces derniers jours.

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Rédigé par Last Night in Orient

Publié dans #rap français, #Rap, #Belgique, #Bruxelles

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Publié le 4 Juin 2016

On trouve parmi les styles de la musique tunisienne, le mezoued, le stambali et le salhi qui allient mysticisme, poésie et ambiances de fête et de transeL’exposition photographique, qui rend hommage au stambeli, héritage spirituel et musical de la communauté noire en Tunisie, offre au public tunisois une occasion de re-découvrir, à travers une sélection de photos, un pan de leur héritage culturel, qui demeure encore méconnu.

Le passé africain a attaqué le Maghreb par son sud traversé les déserts et les siècles pour arriver jusqu'aux villes. Ainsi le rythme fou entêtant, le rythme circulaire d'une puissance stupéfiante des qqraqeb résonne également dans les faubourg de la capitale tunisienne.

Le stambali à l'instar de la musique des gnawas  est un culte negro-africain pratiqué en Tunisie. Il s'agit de rites  divinatoires de possession dont les pratiquants ont été  originellement les descendants directs des anciens esclaves noirs d'Afrique. Ce culte syncrétique et magico-religieux s’inscrit au plus profond de la tradition musicale afro-maghrébine. Son histoire est indissociable à celui de la traite orientale des populations noires sub-saharienne. Cette musique occupe une place importante dans le rituel des cérémonies. Cet échange entre la culture noire africaine et la culture islamo-magrébine a fait que ces pratiques ancestrales se présentent à la fois comme un art, un système de croyances, un répertoire de chants sacrés et enfin un rite extatique.

Aujourd’hui, Riadh est un des derniers Arifa de Tunisie qui pratique ce rituel auprès d’un public encore présent. Il est le gardien d’une des quatre maisons qui était dédiées aux pratiques du stambali. C’est au cœur de cette petite maison traditionnelle de la médina de Tunis que repose le saint Sidi Ali Lasmar, personnage sacré de la communauté noire de Tunis.

Le Arifa représente à lui seul plus une vingtaine d’esprits différents, répartis au sein de sept grandes familles. Chacune d’entre elle est liée à une couleur, une odeur, une musique particulière. Chacun de ces esprits apparaitra dans un ordre très précis, au moment ou le "Yenna" (le maître musicien) entamera son répertoire musical. Riadh revêtira alors sa tenue et entamera la danse.

 

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