Publié le 10 Février 2016

Thomas nous interroge et joue avec les clichés: Qu'est-ce qui peut être vu? Qu'est-ce qui doit être caché? Par qui? Pourquoi? Nous laissons a chacun la liberté de faire son choix.  Et de mettre son biscuit-cœur où bon lui semble!

Thomas nous interroge et joue avec les clichés: Qu'est-ce qui peut être vu? Qu'est-ce qui doit être caché? Par qui? Pourquoi? Nous laissons a chacun la liberté de faire son choix. Et de mettre son biscuit-cœur où bon lui semble!

Après des études de communication visuelle aux arts décoratifs de Paris, Thomas Lélu travaille comme graphiste pendant plusieurs années. Il se forme à l’atelier des « Graphistes Associés » puis à « l’Atelier de Création Graphique » dirigé par Pierre Bernard (son ancien professeur aux Arts Décoratifs).

En 2002, il publie aux éditions AL Dante son premier livre intitulé Manuel de la photo ratée et réside à la Cité des Arts de Paris. Après quelques réalisations pour le label Tricatel où il crée des pochettes de disques, Thomas Lélu intègre le magazine Citizen K en tant que directeur artistique de 2002 à 2005. Fort du succès de son premier livre, l’éditeur Léo Scheer publie Récréations en 2004. Cet ovni littéraire provoque un petit retentissement dans ce qu'il est convenu d'appeler le "milieu parisien" et se retrouve notamment en vitrine du magasin Colette et dans les magasins de la marque de vêtements APC. Le livre cumule calembours et autres idioties présentés sous forme de collages et dessins régressifs. Y figure également nombre de jeux de mots comme « LVMHOOQ » ou « warhol@wanadoo.fr ». Grâce à Léo Scheer, Thomas Lélu âgé alors de 29 ans croise quelques personnalités comme Jean-Jacques SchuhlFrançois Weyergans ou Claude Berri mais c’est aussi par le soutien de Frédéric Beigbeder qu’il fait le plus parler de lui peu de temps après. En effet en 2005, il publie son premier roman Je m’appelle Jeanne Mass et se retrouve en final du Prix de Flore (qu’il n’obtient pas finalement, le jury ayant préféré le roman Boys Boys Boys de Joy Sorman). Frédéric Beigbeder ne cache pas alors son soutien au romancier tout comme Eric Loret du journal Libération. En revanche le magazine Les Inrockuptibles et plus particulièrement le journaliste Sylvain Bourmaudqualifie alors le livre de « nul et non-avenu ». Le roman est également attaqué en justice par la chanteuse Jeanne Mas pour utilisation de son nom à des fins commerciales, mais celle-ci perd son procès face à l’avocat Emmanuel Pierrat. Léo Scheer pousse l'écrivain à récidiver l’année suivante avec un deuxième roman Perdu de vue. Entre temps les droits d’adaptation au cinéma de Je m’appelle Jeanne Mass sont achetés par la société de production Programm 33.

En 2008, il se voit confier les rênes du magazine Playboy français avec comme rédacteur en chef le journaliste Yan Céh. Ensemble, ils tentent de renouer avec l’esprit du magazine des années 1960 et font notamment travailler de grands photographes de mode et quelques "journalistes stars". Le premier numéro sort avec en couverture la comédienne Vahina Giocante photographiée par Karl Lagerfeld. Suivront des couvertures avec Lou DoillonLudivine Sagnier ou encore Juliette Binoche tandis qu'à la rédaction on trouvera pêle-mêle les signatures de François BégaudeauAntoine de BaecqueChristophe Honoré ou l’artisteDouglas Gordon. Des conflits internes finissent par rompre l’énergie du projet et Thomas Lélu quitte ses fonctions un an plus tard. Parallèlement à ce nouveau poste, il publie un troisième roman Jacques Daniel Nick Oussama aux éditions Léo scheer en 2007 qui renoue avec l’esprit de son premier roman. La même année, il réalise la pochette du DVD Border Live ainsi que son premier clip pour le chanteur Philippe Katerine. De 2005 à 2010, il participe à des expositions d'art contemporain notamment au Palais de Tokyo, à la Fondation Cartier (il est alors parrainé par l’artiste Claude Closky), à la Villa Arson (sous le commissariat d'Eric Mangion) ou encore au musée d'art moderne. En 2010, il revient avec un quatrième roman cette fois chez Flammarion Le Parisien.

Depuis 2011, Thomas Lélu a travaillé sur plusieurs projets de scénarios de long métrage dont une adaptation de son roman "Jacques Daniel Nick Oussama" qui avait à sa sortie était approché par le producteur Claude Berri. Après un premier court métrage en 2011 intitulé "Nuts" avec Elodie Navarre, Michaël Abiteboul et Thierry Frémont il réalise ensuite "Kiss me if you can" en 2012 avec Jérémie Elkaïm et Lou Lesage puis un clip pour le single "Orders and degrees" du chanteur Peter Von Pohl ou il met en scène la comédienne Roxane Mesquida.

 

Source Wikipedia

 

Ces images font partie de sa série de collages, à découvrir sur son site, son tumblr et son compte instagram.

Ces images font partie de sa série de collages, à découvrir sur son site, son tumblr et son compte instagram.

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Rédigé par Last Night in Orient

Publié dans #Artistes du Paradis, #Fête du Paradis, #Bruxelles

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Publié le 10 Février 2016

France Gall hospitalisée en soins intensifs depuis une semaine

Une bien mauvaise nouvelle...

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Rédigé par Last Night in Orient

Publié dans #Chanson française, #Actualités, #2016

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Publié le 10 Février 2016

Cet ouvrage de 234 pages (grand format) vise, selon son auteur, à contribuer aux efforts déployés en matière de préservation du patrimoine musical de la ville ocre, depuis les années trente du siècle dernier, contre l'oubli et la disparition.

Cet ouvrage de 234 pages (grand format) vise, selon son auteur, à contribuer aux efforts déployés en matière de préservation du patrimoine musical de la ville ocre, depuis les années trente du siècle dernier, contre l'oubli et la disparition.

L'introduction de ce livre, qui se décline en sept chapitres, définit les différents rituels, coutumes et traditions qui s'accompagnaient de diverses formes de chants et de musiques, en énumérant les monuments, lieux et espaces qui ont enchanté les fans et les stars des chansons populaires, modernes et classiques à Marrakech. 

Ce recueil revient particulièrement sur le patrimoine musical local, notamment l'art d'Al Aita, les troupes populaires classiques et modernes, et le malhoun, en plus des chants populaires soufis et la mémoire musicale de la Place Jamaa Lafna. 

L'ouvrage renferme également des données rares sur la vie et l'œuvre des musiciens, ainsi que sur les différents aspects de la vie à Marrakech, notamment les espaces culturels, sociaux et artistiques depuis les années vingt du siècle dernier, outre des extraits de textes musicaux, des titres de chansons et des noms de nombre de compositeurs et chanteurs.

 

 

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Rédigé par Last Night in Orient

Publié dans #Musiques marocaines, #Musiques traditionnelles marocaines, #melhoun marocain, #2016

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