Publié le 23 Janvier 2015

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Rédigé par Mina/Jacqueline

Publié dans #comedies musicales

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Publié le 22 Janvier 2015

La scène culturelle marocaine perd l'un des illustres talents de la chanson marocaine et une légende du Malhoun
La scène culturelle marocaine perd l'un des illustres talents de la chanson marocaine et une légende du Malhoun

La scène culturelle marocaine perd l'un des illustres talents de la chanson marocaine et une légende du Malhoun

Artiste hors-pair au talent toujours incontestable et incontesté, il a dédié sa vie à la pérennisation du Malhoun. Sa voix mélodieuse et inégalée a tout au long de son parcours inspiré beaucoup d'artistes. Ce style musical s'adresse à des gens cultivés en quête de valeurs morales, ils y trouveront cette poésie arabe typiquement marocaine et le sens subtil cachés derrière ces mots.

Mohammed Bouzoubâa est né à Fès en 1939, il était l’un des derniers représentants de cet art authentique.Parmi ses chansons cultes, l’on cite "La Ilaha Ila Lah kalima adima", "Allahouma Rhamni Ou Rham Waldi", ou encore "Sala Allah Alik Ya Moul Al Amama".
 
L'illustre représentant de cet art musical, avec son délicieux accent de Fès, a contribué au développement du malhoun qui est un mot arabe générique de la poésie populaire écrite en dialecte et qui a évolué plus tard en forme littéraire particulière avec ses propres règles.
Son père, Haj Bouzoubâa décédé en 1962, était un grand poète, chanteur et membre de la confrérie des Issawa.

Mohamed Bouzoubaa - Benate El Mackssi Koutoubiaphone

Leghzal Fatma ne manque pas de faire une description minutieuse du physique d'une belle dame nommée Fatma...C'est d'abord une très belle histoire d´amour car les paroles racontent en darija, l'histoire d'un homme qui aime dans le plus grand secret Fatma.

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Rédigé par Last Night in Orient

Publié dans #décès, #Fès, #Maroc, #melhoun marocain, #2015, #poésie, #Musiques marocaines, #Actualités

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Publié le 20 Janvier 2015

Quinten Metsys Portret van een Man met rozenkrans c. 1515-1520 Huile sur bois Private Collection

Quinten Metsys Portret van een Man met rozenkrans c. 1515-1520 Huile sur bois Private Collection

Pendant des siècles, seuls les saints et les souverains bénéficiaient du privilège de voir leur portrait couché sur la toile. À la Renaissance, l’art du portrait a connu un essor sans précédent. L’individu a désormais une place dans la société et la bourgeoisie fortunée souhaite se faire représenter. FACES THEN vous fera découvrir 50 portraits du XVIe siècle réalisés par des maîtres comme Quentin Metsys, Joos van Cleve ou Joachim Beuckelaer. Ces peintres ont immortalisé leurs contemporains dans des toiles d’une grande beauté et particulièrement détaillées. Ces portraits, peints dans les principaux centres des Pays-Bas, font la synthèse entre réalisme et idéalisation, une geste esthétique qui leur confère une valeur inestimable. 

 

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Rédigé par Last Night in Orient

Publié dans #exposition, #Bruxelles, #Bons plans

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