2016

Publié le 12 Août 2016

Les badauds et touristes pourront dès ce jour visiter le célèbre tapis de fleurs gigantesque qui se tient sur la Grand-Place de Bruxelles.  Pour le confectionner, il faut compter des centaines de milliers de bégonias coupées qui devront garder leur éclat pendant les 4 prochains jours. Pas moins de 600.000 bégonias, ainsi que de dahlias, d’herbes et d’écorces de bois teintées.

Les badauds et touristes pourront dès ce jour visiter le célèbre tapis de fleurs gigantesque qui se tient sur la Grand-Place de Bruxelles. Pour le confectionner, il faut compter des centaines de milliers de bégonias coupées qui devront garder leur éclat pendant les 4 prochains jours. Pas moins de 600.000 bégonias, ainsi que de dahlias, d’herbes et d’écorces de bois teintées.

Cette année le modèle a été imaginé par Mark Schautteet et la jeune designer japonaise Fujie Suzuki qui ont imaginé une tapisserie florale reprenant les thèmes et motifs traditionnels de l’art japonais. 

 

Les plus curieux d'entre vous pourront atteindre la salle gothique et le balcon de l’Hôtel de ville pour une vue surprenante d’en haut jusqu’au15 août entre 10 h et 22h pour la modique somme de 5 euros. Il est possible également de faire des selfie à 360° sur la Grand Place

 

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Rédigé par Last Night in Orient

Publié dans #Belgique, #Bruxelles, #Fête du Paradis, #2016, #Tourisme

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Publié le 12 Août 2016

Des horizons de contes de fées, des donjons dentelés, des lumières filtrées, et des petites routes de courbes et de parfums qui courent à travers des rivières cristallines et des landes de toutes les bruyères : l’Ecosse n’est pas un pays, c’est un univers. Poétique et secret, il est unique en Grande-Bretagne, en Europe, dans le monde. Au Nord, des moutons trottinent d’un sabot de propriétaire sur des chaussées à voie unique. Au Sud, des abbayes de pierre rose naissent entre boutiques à tweed et pêcheries à saumon. Avec la Chine et sa muraille, l’Ecosse est le seul pays dont la frontière soit marqué par un mur. Il date de la présence romaine. Ironie du sort pour une terre aussi hospitalière. Fidèle à ses traditions et en pleine mutation, c’est maintenant qu’il faut la découvrir.

Des horizons de contes de fées, des donjons dentelés, des lumières filtrées, et des petites routes de courbes et de parfums qui courent à travers des rivières cristallines et des landes de toutes les bruyères : l’Ecosse n’est pas un pays, c’est un univers. Poétique et secret, il est unique en Grande-Bretagne, en Europe, dans le monde. Au Nord, des moutons trottinent d’un sabot de propriétaire sur des chaussées à voie unique. Au Sud, des abbayes de pierre rose naissent entre boutiques à tweed et pêcheries à saumon. Avec la Chine et sa muraille, l’Ecosse est le seul pays dont la frontière soit marqué par un mur. Il date de la présence romaine. Ironie du sort pour une terre aussi hospitalière. Fidèle à ses traditions et en pleine mutation, c’est maintenant qu’il faut la découvrir.

Highland Games...tous les motifs sont bons pour venir aux SCOTTISH DAYS

La culture de l'Écosse forme une synthèse des différentes cultures, celtes, pictes et anglaises principalement, ayant baigné le pays. Les reliefs naturels, délimitant géographiquement les Highlands, montagneux et isolés, au Nord, et les Lowlands, plus ouverts aux échanges culturels et commerciaux avec l'Angleterre, ont joué un rôle important dans l'établissement du panorama culturel écossais.

L'histoire de l'Écosse a marqué cette diversité d'origines, par les différents peuples ayant habité le pays. Durant l'Antiquité et le haut Moyen Âge, les Celtes, ou Gaëls, à l'Ouest, les Pictes, au Nord, et les Bretons insulaires, au Sud, ont constitué une mosaïque de cultures et de langues, influencée également par les invasions vikings. Ces origines diverses se traduisent encore au début du xxie siècle dans les différentes langues parlées en Écosse, anglaisscots et gaélique écossais, ainsi que dans les différentes mythologies reflétées dans les légendes et croyances populaires. À partir de la fin du Moyen Âge, l'unification politique de l'Écosse a tendu à l'effacement partiel des disparités culturelles, le clivage entre Lowlands et Highlands demeurant toutefois très présent.

Le système de clans a constitué la base de la société écossaise jusqu'au xviiie siècle. L'Acte d'Union réunit en 1707 l'Écosse à l'Angleterre au sein du Royaume de Grande-Bretagne. Des soulèvements, les rébellions jacobites, déchirent le pays entre 1715 et 1745, tandis que les philosophes des Lumières écossaises ont largement participé au mouvement européen des Lumières, particulièrement avec David Hume et Adam Smith. En 1746, l'échec de la dernière rébellion jacobite se solde par une répression des symboles nationaux, tels le tartan, le kilt ou la cornemuse, et par une désagrégation de la société traditionnelle. Au xixe siècle, la révolution industrielle, combinée aux Highland Clearances, des mouvements d'émigration massifs vers le Nouveau Monde, va radicalement modifier le panorama culturel écossais et achever le changement de la société.

C'est à cette époque, où la culture écossaise traditionnelle reçut un apport considérable de la culture anglaise, et plus largement européenne, que deux grands auteurs écossais, Robert Burns et sir Walter Scott, ont chacun célébré la spécificité écossaise, qui s'est plus tard intégrée au mouvement de la Renaissance écossaise, aux accents plus nationalistes. Le sport s'est également développé, le football gagnant rapidement une grande popularité alors que le golf se codifiait peu à peu.

Au début du xxie siècle, le nationalisme culturel écossais cohabite avec une politique d'union au sein du Royaume-Uni, et l'héritage culturel pèse un poids variable dans le sentiment d'appartenance nationale. Divers organismes publics et privés assurent la préservation de cet héritage, dont certains aspects ont diffusé dans le reste du monde, particulièrement en Amérique du Nord.

 

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Rédigé par Last Night in Orient

Publié dans #Belgique, #Waterloo, #2016, #culture

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Publié le 13 Juillet 2016

Film: Arno Diem Production: Nicholas Connell

Brian Justin Crum was born in San Diego, CA and attending the School of Creative and Performing Arts. He left San Diego at 17 to join the cast of WICKED as the Universal Swing, performing in all of the US productions of the show. He moved to New York City shortly after and joined the cast of Altar Boyz (Mark) and Grease on Broadway. He then played the role of Doody on the first National Tour. He was a huge fan of the Broadways Next to Normal and dreamed of being a part of the show, that dream came true when he became the standby for Gabe and Henry. Next to Normal won the 2012 Pulitzer Prize for Drama. Brian has starred in many regional productions including Tarzan, Jesus Christ Superstar and Snapshots, where he met his mentor Stephen Schwartz. He has performed along side Mr. Schwartz all over the country.

He toured with The Addams Family as Lucas Beineke and most recently as Galileo Figaro in QUEENS rock theatrical We Will Rock You. He sang with the original members of the band Brian May and Roger Taylor. We Will Rock You was written and directed by Ben Elton (writer of Mr. Bean). His performance won him a few Best Actor in a Musical awards and garnered reviews that called him "a Triumph". He is now living in Los Angeles perusing a career in Pop music. He can be seen in the acclaimed For the Record series in West Hollywood playing Gatsby in the Baz Lurhman and The Athlete in Dear John Hughes.

 

Brian Justin Crum sings All I Ask / Believe

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Rédigé par Last Night in Orient

Publié dans #Brian Justin Crum, #2016, #Pop

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