"Sans la peine de mort pour apostasie, l'islam n'existerait pas aujourd'hui" (Qaradawi)
Omar Batawil a été assassiné avant-hier d'une balle dans la tête par un groupe islamiste pour le crime musulman d'apostasie. Cela rentre dans le contexte où l'islam orthodoxe contient un précepte particulièrement choquant. Il demande que l'apostat, celui qui quitte l'islam, soit tué. Cet ordre provient essentiellement de la Sounna, le Coran en revanche ne comporte aucun verset qui ordonne indiscutablement de tuer l'apostat, mais déverse comme à son habitude un torrent de haine à son égard en lui promettant l'enfer. Les quatre écoles de jurisprudence sunnites ainsi que l'école chiite s'accordent sur le fait que le musulman qui quitte l'islam doit être exécuté. Cette peine correspond à une réalité concrête dans bien des pays musulmans (ou non-musulmans). Quand le fait de quitter la religion islamique n'est pas légalement passible de mort, le risque est toujours présent que des extrémistes exécutent eux-mêmes la sentence. Même en France, en Belgique ou en Allemagne le danger existe pour ceux qui, originaires de l'islam, ne croient plus que cette religion est la vérité.
« Vous m’accusez d’être athée !!! Moi je vois Allah dans les fleurs et vous dans les tombes !! Telle est la différence entre vous et moi . » « Allah n’appartient à personne !! Ni à une tribu, ni à une caste, ni à une communauté ou un groupe excluant le reste des gens !! « « Si tu vois les mosquées propager la rancune , la haine et le racisme parmi les âmes au nom de la religion ; saches que ce ne sont pas des lieux de culte pour la vénération de Dieu mais des lieux de vénération de ses prédicateurs ». Ce sont ces statuts Facebook qui lui ont coûté la vie . Repose en paix martyr de la liberté d’expression