2016

Publié le 11 Février 2016

Surréaliste, mais ce scandale artistique se passe à Bruxelles en pleins préparatifs de la fête de Saint Valentin. Ce scandale est voulu par des parlementaires exrémistes qui s'insurgent en réaction de rejet ou de controverse suscitée par cette œuvre d'art publicitaire, dans le cadre de sa présentation. Les Machiviavel de village qui s'insurgent sont tous des personnalités du monde politique bruxellois.
 
L'histoire de l'art est ponctuée de scandales retentissants, depuis les nudités du Jugement dernier de Michel-Ange jusqu'aux performances de l'art contemporain, en passant par l'exposition de l'Olympia de Manet.

Il me semble par contre que la dynamique (idéologique et politique) de censure ici dénoncée, à très juste titre et de belle manière, n'est pas du fait des mouvements féministes, des internautes-objets (de marketing) ou autres inconditionnels de la violence/du sexe/etc qui n'acceptent pas l'équivalent (et moins) s'il s'agit d'une pub pour biscuits.

A mon sens, le grand responsable est l'obscurantisme et l'accroissement de ses adeptes dans la population spectatrice, la sphère politique et donc décisionnaire.
 
Si nous réduisons toute création - quelle qu'elle soit - à des considérations idéologiques ou politiques et si nous sommons les artistes de se justifier en permanence, nous courons le risque de voir un jour l'art s'aseptiser afin de ne froisser personne. Nous pourrons toujours nous consoler avec un biscuit Dandoy.

 

La polémique publicitaire Dandoy révèle un profond malaise de la tournure obscurantiste que prend Bruxelles en 2016
La polémique publicitaire Dandoy révèle un profond malaise de la tournure obscurantiste que prend Bruxelles en 2016

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Publié le 10 Février 2016

France Gall hospitalisée en soins intensifs depuis une semaine

Une bien mauvaise nouvelle...

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Rédigé par Last Night in Orient

Publié dans #Chanson française, #Actualités, #2016

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Publié le 10 Février 2016

Cet ouvrage de 234 pages (grand format) vise, selon son auteur, à contribuer aux efforts déployés en matière de préservation du patrimoine musical de la ville ocre, depuis les années trente du siècle dernier, contre l'oubli et la disparition.

Cet ouvrage de 234 pages (grand format) vise, selon son auteur, à contribuer aux efforts déployés en matière de préservation du patrimoine musical de la ville ocre, depuis les années trente du siècle dernier, contre l'oubli et la disparition.

L'introduction de ce livre, qui se décline en sept chapitres, définit les différents rituels, coutumes et traditions qui s'accompagnaient de diverses formes de chants et de musiques, en énumérant les monuments, lieux et espaces qui ont enchanté les fans et les stars des chansons populaires, modernes et classiques à Marrakech. 

Ce recueil revient particulièrement sur le patrimoine musical local, notamment l'art d'Al Aita, les troupes populaires classiques et modernes, et le malhoun, en plus des chants populaires soufis et la mémoire musicale de la Place Jamaa Lafna. 

L'ouvrage renferme également des données rares sur la vie et l'œuvre des musiciens, ainsi que sur les différents aspects de la vie à Marrakech, notamment les espaces culturels, sociaux et artistiques depuis les années vingt du siècle dernier, outre des extraits de textes musicaux, des titres de chansons et des noms de nombre de compositeurs et chanteurs.

 

 

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Rédigé par Last Night in Orient

Publié dans #Musiques marocaines, #Musiques traditionnelles marocaines, #melhoun marocain, #2016

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