Publié le 6 Novembre 2018
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Publié le 6 Novembre 2018
Le ministre espagnol des Affaires étrangères, Josep Borrell, a expliqué mardi au Parlement que le consulat général de Caracas et les 12 consuls honoraires étaient saturés par l'avalanche de demandes des 170 000 Espagnols vivant dans ce pays d'Amérique du Sud. Selon le Comité sénatorial des affaires ibéro-américaines, 25 000 passeports sont délivrés chaque année et les 5 000 personnes qui se rendent au consulat général chaque mois. A cela s’ajoute le traitement, l’année dernière, des 310 000 aides destinées à protéger les Espagnols à l’étranger, programme pour lequel cette année dispose d’un budget de 13 millions d’euros (environ 15 millions de dollars à l’année).
Los servicios consulares de España en Venezuela están saturados por la crisis | El Nuevo Herald
Los servicios consulares de España en Venezuela están saturados, ya que reciben mensualmente a una media de 5,000 españoles residentes allí en demanda de ayuda por la crisis, lo que ha llevado ...
https://www.elnuevoherald.com/noticias/mundo/america-latina/venezuela-es/article221191215.html
Publié le 3 Novembre 2018
L'indifférence du mexicain devant la mort se nourrit de son indifférence devant la vie
El Día de los Muertos existait bien avant que les Espagnols ne détruisent l’Amérique. "A l'origine, la fête avait eu lieu fin septembre et début octobre, juste après la récolte.
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Eerste Día de los Muertos in de Marollen is enorm succes
Op zaterdagavond vertrok een wel erg opvallende parade vanuit de Marollen. Reusachtige skeletten, overal fakkels en Mexicaanse kostuums: Día de los Muertos wordt duidelijk ook in Brussel gevierd.
Samedi soir, une procession de plus de 600 personnes a quitté le centre culturel de Breugel en direction du centre. "C'est la première fois que nous organisons cela, et nous sommes complètement dépassés par la participation massive", a déclaré Vital Schraenen de Met-X, co-organisateur du défilé, à BRUZZ .
Les différences de célébration trouvent leurs origines dans la perception de la mort. Chaque culture a, en effet, sa propre vision du trépas.
Chez nous, la mort fait peur, on la redoute, elle est taboue. Bien que dans la religion catholique, on croit à une vie après la mort, c’est un événement triste et douloureux que l’on ne " célèbre " pas. Mais dans d’autres cultures comme chez les Aztèques par exemple, mourir était un honneur, c’est pour cette raison que les Mexicains célèbrent la mort au lieu de la déplorer. Au Mexique, le ton est plutôt à la fête. Durant deux jours, les vivants célèbrent les morts. Les rites dédiés aux ancêtres, dans les civilisations mésoaméricaines, remontent à environ trois mille ans.
Le 2 novembre, dans la croyance mexicaine, un festin est préparé et des offrandes sont faites aux défunts. Des bougies sont allumées pour permettre aux âmes des personnes disparues de retrouver leurs proches. Ensuite ils se rendent eux aussi en famille au cimetière et font la fête en buvant toute la nuit. Le festin reste dans le thème puisque les mexicains font des gâteaux en forme d’os ou de cercueil. Les crânes mexicains sont d’ailleurs des modèles très populaires en tatouage, avec leurs couleurs vives. Cela en fait un maquillage d’halloween très facile à réaliser soi même. Le Jour des morts est inscrit au patrimoine culturel immatériel de l'humanité de l'Unesco