Christian a 23 ans et vient de Porto Rico. L'année dernière, il était en train d'enregistrer un premier album avec la production de l'un des meilleurs de la scène urbaine au monde: Eliot 'The Wizard of Oz', un homme qui a travaillé avec des personnes telles que J Alvarez, Bad Bunny, Ñejo et Dalmata et Dj Nelson.
La musique a toujours été un défi constant pour Christian Alicea.
Depuis qu'il avait 10 ans lorsqu'il chantait dans des groupes familiaux et à l'école, c'était sa passion.
Bon élève et sportif, il n'a jamais abandonné son illusion. Et maintenant, il en profite, rêvant d'atteindre les étoiles, mais les pieds sur terre.
Christian a 23 ans et vient de Porto Rico. L'année dernière, il était en train d'enregistrer un premier album avec la production de l'un des meilleurs de la scène urbaine au monde: Eliot 'The Wizard of Oz', un homme qui a travaillé avec des personnes telles que J Alvarez, Bad Bunny, Ñejo et Dalmata et Dj Nelson.
Le premier single est «Se Fue», une chanson entraînante qui bouge délicieusement dans les salles Dance Hall, Reggaeton et Trap. 'The Wizard of Oz' a créé un environnement unique et atmosphérique, doté de trucs exceptionnels et d'une maîtrise pleine de percussions et de claviers, mais c'est finalement la voix douce mais puissante d'Alicea qui domine la piste.
Un hermoso conjunto rítmico. Músicos de diferentes orígenes musicales, cada uno trae sus influencias para enriquecer las composiciones de Ahmed LASFER.
Su repertorio colorido es fruto de una obra colectiva del grupo. Tiene sus raíces en la música del norte de África en general (cabila, Chaabi, música andaluza, sur del Sahara, etc.) y se abre por todo el Mediterráneo para dar rienda suelta a los perfumes y colores. y mestizaje. Los textos poéticos están inspirados en la vida cotidiana y se expresan en las lenguas cabila y árabe.
Album : "Mektaghed"
Le groupe Yaness est créé en 2003, il est né d'un rapprochement entre des musiciens partageant une passion commune : la musique métissée.
Des musiciens venus d'horizons musicaux différents, chacun apporte ses influences pour enrichir les compositions d'Ahmed LASFER.
Leur répertoire coloré est un fruit d'un travail collectif du groupe. Il puise ses racines dans les musiques d'Afrique du Nord en général (la musique kabyle, chaâbi, andalouse, du sud saharien, ...etc.) et s'ouvre sur toute la méditerranée pour laisser libre cours aux parfums, aux couleurs et au métissage.
Les textes poétiques sont inspirés du quotidien populaire et exprimés dans les langues kabyle et arabe.
Le groupe est composé essentiellement de 6 membres:
Ahmed LASFER : guitare rythmique, arpèges et chant
Moussa HAMAOUI : basse et violoncelle
Khireddine MEDJOUBI : percussions diverses (Derbouka, Congas ...) et choeur
Amine CHAFAÏ : violon et chœur
Amine TADJER : flûte traversière et choeur
Toufik AZIBI : guitare
Le texte traite d'un sujet certainement dur. Au même temps, il est écrit avec beaucoup de dérision et d’humour. Il ne laisse pas un goût d'amertume.
La chanson donne la parole à un jeune algérien qui raconte son quotidien. Au chômage malgré les efforts menés quotidiennement la recherche d’un emploi, tout le monde le culpabilise. Ses seuls moments de réconfort sont ceux passés en cachette avec sa bien-aimée, laquelle un jour vient en panique l’informer de la venue de prétendants pour demander sa main. Son père a bien accepté de la marier.
Depuis, se sentant exclus de tout, il s’est mis à boire et à fumer des joints en se disant que même pour aimer, il faut être friqué.
Un jour, il décide de tenter quelques prosternations et se met à prier dans l’espoir que le Bon Dieux l'aide à s’en sortir. Il met la tenue adéquate (barbe, djelaba et claquettes) et s’engage sur le chemin de la mosquée. Il se fait embrigader par les intégristes islamistes. Sa vie change radicalement et bascule vers des convictions intégristes.
Il finit enfin, par comprendre que cette voie non plus ne mène à rien. La seule issue qui reste est de quitter ce pays pour immigrer vers d’autres horizons peut-être que la chance va lui sourire.
Il est également convaincu que le jour où nos gouvernants s’en iront, ce pays qu’il aime tant se portera mieux.
Dans ce film, nous découvrirons l’intégralité de « la vie et la carrière d’un des plus grands et plus fortuné artistes latinos du monde ».
On peut se demander si un artiste de 25 ans à peine dispose déjà de suffisamment de matériel pour un documentaire biographique, une formule habituelle pour honorer les musiciens vétérans qui décident de jeter un regard nostalgique sur leur carrière.
Mais, dans le cas du Colombien, le documentaire accorde une attention particulière non pas à ses gigantesques succès sur scène, mais à son visage plus inconnu: quand il était Juan Luis Londoño et non Maluma.
Des entretiens personnels, de nombreux concerts et des images d'archives racontent le chemin qui mène à la célébrité du chanteur et compositeur colombien Maluma.
Je suis toujours un rêveur et je pense que je ne cesserai jamais d'être cet enfant. Je pensais qu'il était important que les gens sachent ce que j'ai vécu depuis le début de ma carrière. Je voulais qu'ils voient ma famille, qu'ils se rendent chez moi un peu et qu'ils sachent d'où je viens. Je veux changer la mentalité de nombreux jeunes et leur dire que c'est possible.