Publié le 21 Décembre 2019
2019
Publié le 21 Décembre 2019
Publié le 21 Décembre 2019
Le chef d’orchestre argentin Leonardo García Alarcón fait entrer le baroque pour la première fois à l’Opéra Bastille.
Les Indes galantes (1735) est le premier des six opéra-ballets de Jean-Philippe Rameau (1683-1764).
Œuvre‑phare du siècle des Lumières, Les Indes galantes s’apparente à un éblouissant divertissement. Mais le premier opéra‑ballet de Rameau témoigne également du regard ambigu que l’Européen pose sur l’Autre – Turc, Inca, Persan, Sauvage… En 2017, le réalisateur Clément Cogitore signe un film explosif et très remarqué, adaptant un extrait des Indes galantes avec le concours de danseurs de Krump. Avec la chorégraphe Bintou Dembélé, il s’empare cette fois de cette machine à enchanter dans son intégralité pour le réinscrire dans un espace urbain et politique dont il interroge les frontières.
Avec :
Sabine Devieilhe
Julie Fuchs
Stanislas de Barbeyrac
Florian Sempey
Edwin Crossley-Mercer
Alexandre Duhamel
Jodie Devos
Mathias Vidal
Orchestre Cappella Mediterranea
Chœur de chambre de Namur
Maîtrise des Hauts-de-Seine / Chœur d’enfants de l’Opéra national de Paris
Les danseurs de la Compagnie Rualité
Mise en scène de Clément Cogitore
Chorégraphie de Bintou Dembélé
Direction musicale de Leonardo García Alarcón
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Des Indes Galantes qui reviennent de bien loin - Clément Cogitore à l'Opéra national de Paris
Elles reviennent de bien loin ces Indes de Jean-Philippe Rameau, de très très loin. Il faut raison garder. " Génial ". " Un chef d'œuvre ". Qualificatifs gazouillés ou lus après les représen...