2019

Publié le 26 Janvier 2019

Alvaro Soler est un des chanteurs espagnols les plus charmants. Son premier album, « Eterno Agosto », et les tubes « Sofia », « El Mismo Sol » et « Yo Contigo, Tú Conmigo (The Gong Song) » ont déjà été récompensés par une trentaine de disques d’or, de platine et de diamant partout dans le monde. Il a également déjà été nominé pour trois « Latin American Music Awards », tandis que ses chansons ont été streamées près de 390 millions de fois rien que sur Spotify et sur sa chaîne YouTube, suivie quotidiennement par plus de 1,5 million de fans. Sur son dernier album « Mar de Colores » le chanteur nous dévoile ses différentes facettes : des histoires intimes et une attirance indéniable pour les destinations du bout du monde tout en étant chez lui à Barcelone, Tokyo et Berlin. Le tout raconté avec charme et humour par un auteur-compositeur-interprète polyvalent.

Para mí, para mí
Para mí esto es amor
Pero sé, pero sé
Que no quieres dolor (quieres dolor)
Tú y yo, tú y yo,
No me hace falta más, mhm
Sé que sin ti yo no puedo dormir
Y ven trepa la cama y por la mañana
No quiero verte, no quiero verte irte sin mí
Y regálame un beso, sólo por eso vale la pena
Vale la pena estar junto a ti
Loca, loca, loca cuando me provoca
Pierdo y pierdo la razón
Cada, cada, cada vez que en tu almohada
Busco la respiración
Contigo pierdo la razón
(Contigo pierdo la razón)
Eres tú, eres tú la que me hace sentir
Y que no hay que olvidar que hace falta vivir
¿Cómo es, cómo es que me tienes así? Hmm
¿Será que sin ti nunca podré vivir?
Y ven trepa la cama y por la mañana
No quiero verte, no quiero verte irte sin mí
Y regálame un beso, sólo por eso vale la pena
Vale la pena estar junto a ti
(Contigo y nadie más)
Loca, loca, loca cuando me provoca
Pierdo y pierdo la razón
Cada, cada, cada vez que en tu almohada
Busco la respiración
Contigo pierdo la razón
Mis amigos dicen que tú no me haces bien
Todos quieren saber, ¿por qué te quiero con locura?
Mis amigos dicen que tú no me haces bien
Todos quieren saber, ¿por qué te quiero con locura?
Loca, loca, loca cuando me provoca
Pierdo y pierdo la razón
Cada, cada, cada vez que en tu almohada
Busco la respiración
Contigo pierdo la razón
Ye-eh
Contigo pierdo la razón

Paroliers : Alexander Zuckowski / Jakke Erixson / Jason Yik Nam Wu / Simon Triebel / Álvaro Soler Tauchert

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Rédigé par Last Night in Orient

Publié dans #2019, #Alvaro Soler, #Loca

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Publié le 25 Janvier 2019

Considérée comme la «reine du qanun», la Syrienne Maya Youssef s'est formée aux traditions musicales arabe, turque, arménienne et azérie. À Londres, son pays d'adoption, elle a joué aux BBC Proms aux côtés de Damon Albarn. Son premier album, Syrian Dreams, est une ode à l'espoir, à la vie et à la paix.

Maya Youssef, «la reine du qanun», a eu une carrière atypique, c'est le moins que l'on puisse dire. Un jour, alors qu'elle n'avait que 9 ans, la jeune Syrienne prenait un taxi pour se rendre à l'Académie de musique de Damas où elle étudia le violon. Un morceau de qanun jouait à la radio ... Elle avait pris sa décision, elle jouerait du qanun! "Cet instrument est réservé aux hommes", a répondu le chauffeur de taxi; un avertissement qui n'a pas suffi à étouffer la détermination de Maya. Après une formation dans les traditions musicales arabe, turque, arménienne et azérie, la musicienne a déménagé en Angleterre où elle est apparue, entre autres, aux BBC Proms aux côtés de Damon Albarn (Blur, Gorillaz). Profondément émue par la guerre qui a affligé son pays natal, elle a décidé de lancer son premier album en 2017, Syrian Dreams, produit par Joe Boyd (Pink Floyd, Nick Drake ...). À BOZAR,

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Rédigé par Last Night in Orient

Publié dans #qanun, #Maya Youssef, #2019, #Bruxelles, #Concert, #Bozar

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Publié le 25 Janvier 2019

Damas est l’un des plus importants centres du soufisme, la branche mystique de l’Islam. Dans la capitale syrienne, le nom de Nourredine Khourchid (fils d’Abu al-Nur et grande voix de la mosquée des Omeyyades) est une référence ! En plus d’être un excellent chanteur de versets coraniques, il maîtrise parfaitement le chant soufi. Sa voix est considérée comme profonde et céleste, et constitue une base parfaite pour la danse tourbillonnante des derviches tourneurs. Avec leur grande jupe blanche et le rythme effréné des musiciens, ils entrent dans des hautes sphères pour se rapprocher du divin.

Plusieurs contes mystiques attribuent une origine divine à la musique et rapportent que l’âme, de nature céleste, refusa de s’incarner ; mais elle fut séduite par la voix d’un ange qui, commandé par Dieu, s’était installé dans le corps afin de l’y attirer. Emprisonnée dans le corps, l’âme conserva la nostalgie de son origine. Selon le grand Mystique et poète ‘Jalal al-Din al-Rurni’, cela explique que suite à cette séparation, « Chaque être vivant s’efforce de s’unir à Dieu »

Pour les plus cartésiens d’entre nous, les Derviches tourneurs de Damas proposent un voyage autant musical que spirituel, autant visuel qu’intérieur, et font découvrir toute la profondeur et l’intégrité d’une culture encore bien vivante ! L’ensemble réunit 7 munshid (chanteurs religieux), hymnodes de cette même confrérie, ainsi que deux danseurs de la confrérie Mawlawiyya des derviches tourneurs de Damas. Distingué pour la virtuosité de son travail et son interprétation limpide, l’ensemble a été invité à participer à de nombreuses représentations en France et dans le monde entier et c’est un honneur de les recevoir à Bruxelles.

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