Le prince Joachi, neveu du roi de Belgique, a été mis en quarantaine avec 26 autres personnes, a tenu une réunion de famille dans un domaine privé à Cordoue le 24 mai après avoir voyagé de Belgique et testé positif pour le coronavirus. La police espagnole enquête pour savoir si le prince Joaquín a voyagé dans l'exercice de ses fonctions.
Dans l'après-midi de ce vendredi, la Junta de Andalucía a rapporté qu'elle avait mis en quarantaine 27 personnes après avoir célébré une fête de famille et détecté que l'un d'entre eux, qui avait voyagé le 24 mai de la Belgique à Cordoue, après être passé par Madrid, avait donné positif pour le coronavirus. Cet homme est le Prince Joachim, neveu du roi de ce même pays et fils d' Astrid, sœur du monarque, qui a traversé plusieurs frontières pour se rencontrer dans la ville andalouse avec 26 autres personnes, toute la famille et les amis, dans un domaine privé sur 26 mai. Un jour plus tard, il a ressenti des symptômes compatibles avec la maladie et a reçu un diagnostic de Covid-19.
Tous ont été mis en quarantaine et feront désormais l'objet d'une enquête pour une éventuelle violation. des règles de sécurité imposées pour la prévention de la contagion.
Une modification du BOE du 21 avril précise que les diplomates ne peuvent voyager entre les pays que "dans l'exercice de leurs fonctions". La subdélégation du gouvernement de Cordoue enquête sur les infractions que les 27 personnes affectées auraient pu commettre.
El príncipe Joaquín, sobrino del rey de Bélgica, ha sido puesto en cuarentena junto a otras 26 personas, celebró una reunión familiar en una finca privada de Córdoba el pasado 24 de mayo tras...
Les médias espagnols qui relaient cette information parlent de personnes de l’aristocratie. Cette fête, annonce « El Confidencial », s’est terminée par la mise en quarantaine et l’isolement de l’ensemble des convives.
Ce mardi, une fête a été organisée par des gens de la haute société de Cordoue, en Andalousie. Les médias espagnols qui relaient cette information parlent de personnes de l'aristocratie. Cet...
Aujourd'hui, le COVID-19 souligne les failles de notre système, tant sur le plan sanitaire, social et économique que sur les questions environnementales et nous confronte à un choix crucial: soi...
Dans la lutte contre la destruction climatique et sociale, les actions directes et de désobéissance civile sont aujourd’hui indispensables et légitimes!
Aujourd’hui, le COVID-19 souligne les failles de notre système, tant sur le plan sanitaire, social et économique que sur les questions environnementales et nous confronte à un choix crucial: soit nous continuons comme avant et la situation planétaire sociale et écologique continuera à s’empirer pour la majorité des personne, soit nous construisons les racines d’un monde viable.
Les mesures de gestion de cette crise attisent notre colère : manque de moyens pour le personnel soignant, manque de tests pour protéger la population, oubli des personnes précarisées (sans revenu, sans papiers, sans toit,…). Depuis quelques jours, la coûteuse publicité a fait son retour dans l’espace public, poussant à la consommation alors que des centaines de milliers de personnes ont besoin d’aide alimentaire. Ces choix et les priorités posés dans le gestion de cette crise incarnent bien le système inégalitaire dans lequel nous sommes enlisé.e.s depuis trop longtemps : un système où la croissance économique doit être relancée à tout prix pour un “retour à la normale”, sans prendre en compte les enjeux sociaux et environnementaux. Mais c’est revenir à la “normalité” d’avant la crise sanitaire qui serait anormal !
Il est temps d’inventer des alternatives capables d’assurer un avenir social, juste et durable. Avant d’être des outils de production et de consommation, nous sommes des êtres humains, nous avons des besoins, des sentiments, des dignités à respecter. Pendant la crise, nous avons vu des initiatives solidaires fleurir et tenter tant bien que mal de colmater les injustices et les manquements de l’Etat et de nos sociétés capitalistes. Nous avons vu les professions de première ligne continuer leurs services à la population en bricolant avec des bouts de ficelle. Nous avons vu des grèves sauvages, des utilisations du droit de retrait, des reconversions d’entreprises. Nous avons vu des grèves de loyer et des occupations de logements. Nous avons assisté à des manifestations aux balcons. Partout des gens sont en mouvement et se battent contre les forces qui tentent de maintenir un système qui fait passer le profit avant les populations .
Il est prioritaire de répondre aux besoins essentiels des populations et rétablir les grands équilibres: respect de la planète et ses habitants, répartition des richesses, déconstruction des privilèges de genre, de race et de classe, ré-invention des systèmes productifs, agricoles et industriels. Cependant, nous ne sommes pas naïf.ve.s, ce sont les coupes budgétaires successives qui ont affaibli nos services de soins de santé. Le risque est grand de voir les Etats profiter de la crise actuelle pour appliquer des mesures d’austérité mortifères et se débarrasser de leurs engagements climatiques pour relancer l’industrie à tout prix. Nous refusons que le choc actuel soit utilisé pour faire passer ces mesures qui nous seront présentées comme inévitables alors qu’elles ne sont que des “vieilles recettes”, incompatibles avec les conditions climatiques et sociales d’aujourd’hui.
La gestion gouvernementale de la crise du coronavirus démontre une fois de plus que l’idéologie néolibérale constitue un danger mortel pour toutes et tous, ici et maintenant. Ce système contribue à l’exploitation des humains et de la planète, et menace directement nos milieux de vie, le vivant et les générations futures.
Agissons avec détermination et force dans la situation actuelle, pour mettre la justice sociale et écologique au cœur des plans pour l’après corona, dont personne ne connaît l’issue.
Afin d’empêcher les entreprises et les gouvernements de voler notre avenir collectif, nous appelons à lutter dès maintenant pour un futur écologique, féministe, social et décolonial, en rupture avec toutes les politiques menées jusqu’à présent.
Ensemble renforçons la solidarité et l’entraide, développons la coopération et l’action commune. Unissons-nous et construisons les fondations d’un monde radicalement différent: un monde où la vie passe avant le profit.
¡En la lucha contra la destrucción climática y social, las acciones directas y la desobediencia civil son hoy esenciales y legítimas!
Hoy, COVID-19 destaca las fallas en nuestro sistema, tanto en temas de salud, sociales y económicos como ambientales, y nos enfrenta a una elección crucial: o continuamos como antes y la situación planetaria social y ecológica continuará empeorar para la mayoría de las personas, o estamos construyendo las raíces de un mundo viable.
Las medidas para manejar esta crisis están alimentando nuestra ira: falta de medios para el personal de enfermería, falta de pruebas para proteger a la población, olvido de los vulnerables (sin ingresos, sin papeles, sin hogar, etc.). En los últimos días, la publicidad costosa ha regresado al espacio público, empujando el consumo cuando cientos de miles de personas necesitan ayuda alimentaria. Estas elecciones y las prioridades planteadas en la gestión de esta crisis encarnan el sistema desigual en el que hemos estado estancados durante demasiado tiempo: un sistema donde el crecimiento económico debe revivirse a toda costa para un "retorno a la normalidad", sin Tener en cuenta las cuestiones sociales y medioambientales. ¡Pero es volver a la "normalidad" antes de la crisis de salud que sería anormal!
Es hora de inventar alternativas capaces de garantizar un futuro social, justo y sostenible. Antes de ser herramientas de producción y consumo, somos seres humanos, tenemos necesidades, sentimientos, dignidades a respetar. Durante la crisis, vimos florecer iniciativas de solidaridad y de alguna manera tratamos de tapar las injusticias y las deficiencias del estado y nuestras sociedades capitalistas. Hemos visto que las profesiones de primera línea continúan sirviendo al público jugando con trozos de cuerda. Hemos visto huelgas salvajes, usos del derecho de desistimiento, conversiones comerciales. Hemos visto huelgas de alquileres y ocupaciones de viviendas. Asistimos a manifestaciones en los balcones. La gente en todas partes está en movimiento y luchando contra las fuerzas que intentan mantener un sistema que anteponga las ganancias a las personas.
Es una prioridad satisfacer las necesidades esenciales de las poblaciones y restablecer los grandes equilibrios: respeto por el planeta y sus habitantes, distribución de la riqueza, deconstrucción de privilegios de género, raza y clase, reinvención de los sistemas productivos, agrícolas e industriales. . Sin embargo, no somos ingenuos, son los recortes presupuestarios sucesivos los que han debilitado nuestros servicios de atención médica. Existe un gran riesgo de que los Estados aprovechen la crisis actual para aplicar medidas de austeridad letales y deshacerse de sus compromisos climáticos para revivir la industria a toda costa. Nos negamos a permitir que la conmoción actual se utilice para impulsar estas medidas que se nos presentarán como inevitables cuando solo son "viejas recetas", incompatibles con las condiciones climáticas y sociales de hoy.
La gestión gubernamental de la crisis del coronavirus demuestra una vez más que la ideología neoliberal es un peligro mortal para todos, aquí y ahora. Este sistema contribuye a la explotación de los humanos y el planeta, y amenaza directamente nuestros entornos de vida, seres vivos y generaciones futuras.
Actuemos con determinación y fortaleza en la situación actual, para poner la justicia social y ecológica en el centro de los planes posteriores a la corona, cuyo resultado nadie sabe.
Para evitar que las empresas y los gobiernos roben nuestro futuro colectivo, llamamos a luchar ahora por un futuro ecológico, feminista, social y descolonial, rompiendo con todas las políticas aplicadas hasta ahora.
Juntos fortalezcamos la solidaridad y la ayuda mutua, desarrollemos la cooperación y la acción común. Unámonos y construyamos las bases de un mundo radicalmente diferente: un mundo donde la vida viene antes que las ganancias.
Rubén Blades, Camila, Camilo, Pedro Capó, Coti, Dilsinho, El Cigala, Farruko, Fonseca, Kany García, Leonel García, Gente de Zona, Leslie Grace, Nicky Jam, Lali, Ara Malikian, Dani Martín, Mau y Ricky, Prince Royce, Rauw Alejandro, Reik, Río Roma, Carlos Rivera, Ivete Sangalo, Thalía, Angela Torres, Diego Torres, Manuel Turizo, Jorge Villamizar et Carlos Vives.
Sé
Que hay en tus ojos con solo mirar,
Que estás cansado de andar y de andar
Y caminar
Girando siempre en un lugar
Sé
Que las ventanas se pueden abrir,
Cambiar el aire depende de ti…
Te ayudará, Vale la pena una vez más.
Saber que se puede, querer que se pueda,
Quitarnos los miedo, dejarlos afuera…
Pintarse la cara color esperanza,
Tentar al futuro con el corazón
Vale más el presente que el futuro,
Dale suave que aquí no hay apuro
Ya salimos adelante, ya no le des mente
Y abrazo pa´ toda mi gente.
É melhor perder-se que nunca embarcar
Mejor tentarse a dejar de intentar
E assim será
E a vida muda, mudará.
Sé
Que en lo imposible se puede lograr
Que la tristeza algún día se irá y así será
La vida cambia y cambiará
Sentirás que el alma vuela
Por cantar una vez más.
Saber que se puede, querer que se pueda
Quitarse los miedos, echarlos pa fuera
Pintarse la cara color esperanza,
Tentar al futuro con el corazón
Saber que se puede, querer que se pueda
Quitarse los miedos, sacarlos afuera
Pintarse la cara color esperanza
Tentar al futuro
con el corazón