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Publié le 13 Mars 2015

8 cassettes volantes des jeunes chebs du raï des années 80, au milieu de la sélection on voit la sainte patronne du raï, Cheikha Remitti.

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Rédigé par Last Night in Orient

Publié dans #Raï, #Algérie

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Publié le 13 Mars 2015

Asma Lmnawar (Arabe: أسما المنور) est une chanteuse et vocaliste marocaine née le 25 juillet 1978 à Casablanca, Maroc.

 

 

Née dans une famille berbère originaire de khémisset, Asma se passionne pour la musique et le chant depuis son plus jeune âge. Elle a sa première expérience avec le public à l'âge de quinze ans dans l'émission musicale "Noujoum El Ghad" (Les stars de demain), diffusé sur la RTM et dans lequel elle chanta une chanson de Oum Kalthoum. À 17 ans, elle remporta le premier prix au festival de musique arabe Angham, diffusé également sur RTM. Elle chante de nombreux génériques de séries marocaines et des bandes originales pour des films et des téléfilms marocains avant de participer à la troupe "Oriental Mood", un groupe de musiciens du monde fondée en 1992 et qui font des tournées dans le monde entier.


Mais c'est en Égypte qu'elle se fait particulièrement remarquer lors de ses prestations. Le public ainsi que les critiques s'accordent pour dire qu’Asmaa est sans doute l’une des chanteuses arabes les plus prometteuses de sa génération. L'Opéra du Caire lui ouvre grand les portes dans lequel elle revisite les grandes chansons classiques égyptiennes. Elle participe également à de nombreux festivals de musique à travers le monde arabe, reprenant des titres égyptiens, marocains, libanais, libyens et khaleejis. Mais c'est à travers la chanson khaleeji qu'Asma fait sa véritable entrée dans l'industrie musicale. Elle signe un contrat avec le label saoudien "Fonoun El Jazira" qui lui fait sortir son premier album "Wa Nari" en 2002, qui fut un franc succès dans les pays du golfe. Elle y chante des chansons composées par des grands musiciens saoudiens et koweïtiens, dont une composition du légendaire Talal Maddah (la chanson "Ahebak Ya Nizar Eini") et du prince-poète Khaled Bin Fahd d'Arabie saoudite. Elle tourne son premier clip, le single "Wa Nari" qui a donné son nom à l'album. Elle chante également une chanson qui mélange le dialecte du golfe au dialecte marocain, "Bass Layla".

Sa notoriété concentrée principalement dans les pays du Golfe, elle est brièvement redécouverte dans le reste du monde arabe en 2004 lors de sa collaboration avec le grand chanteur irakien Kadhem Essaher qui chante avec elle le duo "Ashko Ayam", présent dans son album "Ila Telmeeza". La chanson, écrite en arabe classique par l'écrivain saoudien El Nasser et composée par Kadhem lui-même, est un beau succès. L'année suivante, Asmaa sort son second album, toujours sous le patronnage de "Fonoun El Jazira", titrée "Shay Aadi", est également un succès dans les pays du Golfe. La même année, elle chante un duo avec le grand chanteur saoudien Abu Bakr Salem "Kahal El Dhalm" et participe au Festival de Fès des musiques sacrées et spirituellesavec un programme réalisé pour elle par le musicien marocain Said Chraibi. Elle y chante des chansons andalouses et soufies de véritables légendes telles que Mohammed al-Harraq al-Alam iet Ibn Arabi. Pour l’occasion, Asmaa est accompagnée de l’Orchestre et du Chœur de la Communauté de Madrid.

En 2008, elle signe avec la grande maison de production Rotana qui lui sort son troisième album "Men Hena El Bokra". Dans cet album, elle collabore avec les plus grands compositeurs égyptiens tels que Walid Saad, Mohammed Rahim, Mohammed El Refai, Tamer Ali, ainsi que le poête égyptien Nader Abdallah. Malgré le fait qu'elle chante un album presque entièrement égyptien, elle y fait également la reprise de la chanson épique algérienne "Wahrane", écrite et composée par le grand poète et chanteur oranais Ahmed Wahbi. La chanson, traitant le thème de l'exil, fut un gros succès dans le monde arabe, en particulier dans les pays du Maghreb, et Asma participa au grand festival de Carthage. C'est lors de la préparation de cet album qu'elle rencontre son mari, l'arrangeur tunisien Issam Chraiti.

En 2009, Asma sort deux duos : une reprise de la chanson tunisienne "Khayna" avec le chanteur saoudien Rashed El Maged, puis un second duo avec le grand Kadhem Essaher, qui la retrouve dans la chanson classique "El Mahkama", écrite par le poète irakien Karim El Iraqi et composée par ses propres soins. La chanson, tournée en vidéo clip, est un gros succès dans le monde arabe, en particulier au Maroc, où le public la redécouvre pour ne plus jamais la quitter. Asma participe alors à plusieurs festivals au Maroc et dans le monde arabe et est de plus en plus présentes dans les talk-shows orientaux et maghrebins.

En 2010, elle sort son quatrième album, intitulé "Rouh" en 2010, toujours avec la maison de disque Rotana. Son album est composée de treize chansons khaleejis et deux chansons marocaines. Elle y collabore toujours avec son mari l'arrangeur Issam Chraiti, ainsi qu'avec des grands poètes du golfe comme le prince Turkey Ben Abdelrahman, Faisal El Seideiri, Saud Ben Mohammed El Abdallah ou encore Hussain El Mehdar. Son album marque une première car elle écrit elle-même les paroles d'une de ses chansons façon gospel, en dialecte marocain "J'en ai marre", dont le titre est un clin d’œil à la chanson phare de la diva marocaine Najat Aatabou, dans lequel elle parle de l'exil en terre étrangère, sujet qu'elle avait explorée dans "Wahrane". La chanson fut tournée en clip. Sa deuxième chanson marocaine, "Aji Daba", est une chanson plus rythmique écrite par l'artiste marocaine Houda Saad.

En 2013, Asma sort son single réussi intitulé "Safi".

 

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Rédigé par Last Night in Orient

Publié dans #Raï, #Algérie, #chanson algérienne

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Publié le 27 Septembre 2014

Louisa Hanoune avec l'arrogance des cuistres entrant dans un délire conspirationniste comme explication du drame

En Algérie, les théories du complot ont trouvé leur égérie. Son nom : Louisa Hanoune. La présidente du parti des travailleurs consacre davantage son temps à distiller dans les esprits des Algériens les complots les plus fantaisistes qu’à à défendre réellement les droits des ouvriers.

En Algérie, les théories du complot ont trouvé leur égérie. Son nom : Louisa Hanoune. La présidente du parti des travailleurs consacre davantage son temps à distiller dans les esprits des Algériens les complots les plus fantaisistes qu’à à défendre réellement les droits des ouvriers.

La complosphère vient, une nouvelle fois, de se couvrir de ridicule à travers cette vidéo postée sur Youtube. Refusant de prendre en compte la complexité des situations historiques et sociales, lesdites théories du complot se caractérisent par d'étranges causalités. Absolument rien, aucune preuve sociologique digne de ce nom, ne permettra de les étayer, si ce n'est par la force de la conviction de ceux qui croient au complot. (...) Louisa Hanoune continue ainsi d'entretenir, une conviction qui transcende les classes sociales populaire qui touche beaucoup les jeunes, notamment dans les quartiers défavorisés en Algérie. Elle entretient les versions modernes de l'antique « complot judéo-maçonnique », continuant à faire le miel des extrémistes de tous poils, Alain Soral en tête. (...) 

Les conséquence du phénomène théorie est cependant difficilement quantifiable. Mais "de plus en plus de personnes chargées de l'enseignement déplorent pour dire que quelque chose se passe chez des jeunes de plus en plus nombreux à adhérer aux théories du complot, qu'ils découvrent sur YouTube.

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Rédigé par Last Night in Orient

Publié dans #Algérie, #Actualités, #théories du complot

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