beethoven

Publié le 17 Décembre 2020

Aujourd'hui, nous célébrons le 250e anniversaire de la naissance de Ludwig van Beethoven, l'un des plus grands compositeurs de l'histoire. #Beethoven250

La légende raconte que #Mozart et #Beethoven se sont rencontrés à Vienne au printemps 1787. #CulturaUNAM a eu accès à ce magnifique événement. Lisez la vidéo pour connaître les détails.

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Rédigé par Last Night in Orient - LNO ©

Publié dans #Beethoven, #Mozart, #musique classique, #1787, #Ludwig van Beethoven, #Beethoven250, #Cultura UNAM

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Publié le 16 Décembre 2020

"TA-TA-TA-TAAAN"

Sol, Sol, Sol, Mi bémol sont les quatre notes qui créent la mélodie qui est devenue l'une des plus célèbres de la musique classique. Une mélodie simple, pleine de drame, de suspense et de profondeur qui envisage le développement de l'une des grandes œuvres de l'histoire de la musique. 

Horacio Franco explique que ces quatre notes: Sol, Sol, Sol, Mi bémol qui démarrent la Symphonie sont comme un grand appel au suspense et au drame. Des éléments qui ne ressortent pas de ces notes répétitives, mais plutôt du silence qui précède la répétition. "C'est là qu'une partie du génie de Beethoven réside dans la construction de cette œuvre."

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Publié dans #Ludwig Van Beethoven, #Beethoven, #1808, #rock

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Publié le 12 Décembre 2020

Carlos Kleiber, né à Berlin le 3 juillet 1930 et mort à Konjšica en Slovénie le 13 juillet 2004, est un chef d'orchestre autrichien. Il est largement considéré comme l'un des plus grands chefs d'orchestre de tous les temps. Sa nationalité réelle demeure un mystère. Certains affirment qu'il a pris, lors de son exil à Buenos Aires, la nationalité argentine et qu'il ne l'a jamais quittée.

C'était un homme qui ne disait pas aux musiciens comment ils devaient jouer, ou qu'ils jouaient fort, ou plus du piano… Il essayait toujours d'expliquer ce qu'il voyait dans la musique que nous allions jouer. Kleiber était un rêveur avec qui on pouvait rêver en jouant de la musique. Il ne faut pas oublier que les musiciens jouent les mêmes morceaux, les mêmes opéras plusieurs fois et à plusieurs reprises, tombant parfois dans une routine, et c'est mauvais pour la musique. Pour cette raison, si les réalisateurs n'ont pas ce halo particulier de recherche de quelque chose de spécial sous chaque œuvre, dans chaque compositeur, il leur manque l'essentiel. Et Kleiber a réussi à rendre ce travail très personnel.

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Publié dans #Beethoven, #Carlos Kleiber, #musique classique, #Symphonie nº 7 de Beethoven

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