belgique

Publié le 8 Novembre 2019

Y es que Bélgica se ha convertido, por delante de Irak, en el país que lleva más tiempo sin gobierno nacional de todo el planeta...Es importante contar con un gobierno legítimamente capacitado que pueda tomar decisiones sobre temas como la acción contra la crisis climática o la reforma del mercado laboral. Los partidos belgas están radicalizando sus posiciones y cada vez es más difícil encontrar un terreno común. La sociedad civil aún enfrenta los desafíos de la inestabilidad política en Bélgica, que aparece en el mundo como un país en desequilibrio político.

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Ahmed Laaouej no excluye una vuelta a la votación en Bélgica.

Independientemente de los informantes designados por el Rey, las posibilidades de formar una coalición para un gobierno federal en Bélgica parecen estar disminuyendo día a día. Los hechos hablan por sí mismos: Bélgica se enfrenta a un bloqueo político total. Ni Didier Reynders y Johan Vande Lanotte durante el verano, ni Rudy Demotte y Geert Bourgeois durante las últimas tres semanas, han podido identificar pistas de negociación entre el PS y el N-VA, el Dos partidos principales del país. El país ha pasado 160 días sin un gobierno desde las elecciones del 26 de mayo. A lo que debemos agregar cinco buenos meses, 150 días, si nos referimos a la caída del gobierno de Michel en diciembre de 2018. Eso suma 300 en total. Las diferencias entre los dos primeros partidos del país son más importantes que nunca.

La mayoría de los belgas también consideran el hecho de que no hay gobierno como un factor de inestabilidad. Para Ahmed Laaouej "el PS no es una de las partes que vende sus valores". Y, además, tiene toda la razón, debemos salir de la democracia provisional actual, de una vez por todas. Un provisional que dura demasiado.

¿Por qué no volver a votar si este bloqueo persiste, como en otros países?

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Publié dans #Politique, #Belgique, #2019, #Actualités, #Crise politique

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Publié le 8 Novembre 2019

Il est important de disposer d'un gouvernement doté d'une légitimité capable de prendre des décisions sur des questions telles que l'action contre la crise climatique ou la réforme du marché du travail. Les partis belges radicalisent leurs positions et il est de plus en plus difficile de trouver des points communs.

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Ahmed Laaouej n’exclut pas un retour aux urnes en Belgique.

Quels que soient les informateurs nommés par le Roi, les chances de former une coalition pour un gouvernement fédéral en Belgique semblent s’amenuiser de jour en jour. Les faits parlent d’eux-mêmes : la Belgique fait face à un blocage politique total. Ni Didier Reynders et Johan Vande Lanotte tout au long de l’été, ni Rudy Demotte et Geert Bourgeois au cours des trois dernières semaines, n’ont été à même de dégager des pistes de négociations entre le PS et la N-VA, les deux principaux partis du pays. Le pays a franchi les 160 jours sans gouvernement depuis les élections du 26 mai. Auxquels il faut ajouter cinq bons mois, 150 jours donc, si l’on se réfère à la chute du gouvernement Michel en décembre 2018. Ce qui fait 300 au total. Les divergences entre les deux premiers partis du pays sont plus importantes que jamais.

La plupart des Belges considèrent aussi le fait qu'il n'y ait pas de gouvernement comme un facteur d’instabilité. Pour Ahmed Laaouej "le PS n'est pas un parti qui brade ses valeurs". Et,  il a tout à fait raison, il faut sortir de la démocrature provisoire actuelle, une fois pour toute. Un provisoire qui dure depuis trop longtemps. 

Pourquoi ne revote-t-on donc pas si ce blocage perdure, comme dans d'autres pays ?

 

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Publié le 23 Octobre 2019

La société civile reste face aux défis de l’instabilité politique en Belgique qui apparaît aux yeux du monde comme un pays en déséquilibre politique.

Et c'est que la Belgique est devenue, devant l'Irak et l'Irlande du Nord, le pays qui n'a plus de gouvernement national depuis très longtemps. Le pays a eu ses élections a le 26 mai 2019 et jusqu'à présent, aucun accord gouvernemental n'a été signé. Les plus optimistes l’attendent d’ici la fin de l’année; personne n'exclut qu'ils dépassent la barre des 541 jours.

Et c'est que la Belgique est devenue, devant l'Irak et l'Irlande du Nord, le pays qui n'a plus de gouvernement national depuis très longtemps. Le pays a eu ses élections a le 26 mai 2019 et jusqu'à présent, aucun accord gouvernemental n'a été signé. Les plus optimistes l’attendent d’ici la fin de l’année; personne n'exclut qu'ils dépassent la barre des 541 jours.

Le problème vient auquel cas un gouvernement qui fonctionne peut être limité à prendre des décisions essentielles. Il est important de disposer d'un gouvernement doté d'une légitimité capable de prendre des décisions sur des questions telles que l'action contre la crise climatique ou la réforme du marché du travail. Les partis belges radicalisent leurs positions et il est de plus en plus difficile de trouver des points communs.

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