Eurovisión es sobre todo un entretenimiento de un alcance internacional único y está abierto a una gran diversidad artística. La música, que no tiene límites, representa una ambición universal para el diálogo entre los pueblos, la apertura y la convivencia.
En France, mais aussi en Belgique, cette homophobie des bas-fonds est un danger quotidien pour les LGBT +. Depuis décembre 2018, Bilal Hassani est la cible de cyberintimidation et de menaces de mort. Il est sujet à des attaques racistes et homophobes. Les haters sont par ailleur un peu en train de se battre pour savoir quelle est son origine.
Pourquoi les crapules religieuses se soucient tellement de la sexualité des autres?
Il n'y a que deux religions : l'Amour et les autres !
Totalement d'accord! Contrairement aux connards qui pratiquent une religion, je ne me soucie pas du tout de la sexualité des autres, que tout les adultes fassent ce qu'il veulent ! Évidemment, tant
HOMOPHOBIE- "Ça suffit!", peut-on lire sur les posters et les flyers qui seront distribués dans tous les lycées et collèges. Ce lundi 28 janvier, le ministère de l'Education nationale lance " ...
Le magazine Têtu désigne Hassani en 2018 comme faisant partie des « 30 LGBT+ qui bougent la France ». Le magazine le décrit comme « une icône pour la jeunesse LGBT française »
Alexis Patri, « Les 30 LGBT+ qui bougent la France », Têtu, no 217, hiver 2018, p. 52-62
Pour la deuxième année, les téléspectateurs français votent pour élire celui qui représentera la France au concours de l’Eurovision. Samedi, Bilal Hassani a remporté la première demi-finale. Votre chanson s’appelle « Roi ». Comment a-t-elle vu le jour ? J’ai rencontré Emilie Satt et Jean-Karl Lucas [alias le duo Madame Monsieur] sur le tournage de Together, Tous Avec Moi [une ém
Lors de la première finale de l'émission "Destination Eurovision", le Marocain Bilal Hassani s'est qualifié haut la main avec sa chanson "Roi", en se classant à la première place devant Chimè...
C’est un personnage androgyne qui fait couler beaucoup d’encre et suscite un déferlement de haine sur les réseaux sociaux. Bilal Hassani, Franco-marocain, n’est pas un garçon «comme les autres». C’est un garçon qui aime les garçons, et qui a décidé de vivre sa vie comme il la rêve, n’en déplaise aux autres.