bons plans

Publié le 7 Novembre 2017

L'une des villes saintes les plus anciennes, les plus grandes et les plus importantes des Amériques, Teotihuacán est maintenant un site du patrimoine mondial de l'UNESCO et le site archéologique le plus visité au Mexique. Cette cité est située à une cinquantaine de kilomètres de Mexico, édifiée entre le Ier et le VIIe siècle, Teotihuacán, « lieu où sont créés les dieux », se caractérise par les très grandes dimensions de ses monuments dont les plus célèbres sont le temple de Quetzalcoatl et les pyramides du Soleil et de la Lune, et par leur ordonnance géométrique et symbolique. Teotihuacán, l'un des plus puissants foyers culturels méso-américains, imposa son élan culturel et artistique dans toute la région, et même au-delà de ses frontières. Le musée De Young abrite des collections d'arts de l'Amérique (Mésoamérique, Amérique du Sud), de l'Afrique (Nigeria, Zaïre), de l'Océan Pacifique (Papouasie-Nouvelle-Guinée, Nouvelle-Zélande), parmi d'autres.

Teotihuacán: Cité de l'Eau, Cité du Feu explorera comment les œuvres de la ville antique façonnent notre compréhension de Teotihuacan comme un environnement urbain, avec des découvertes archéologiques récentes et d'autres prêts importants des institutions culturelles mexicaines et américaines.
Teotihuacán: Cité de l'Eau, Cité du Feu explorera comment les œuvres de la ville antique façonnent notre compréhension de Teotihuacan comme un environnement urbain, avec des découvertes archéologiques récentes et d'autres prêts importants des institutions culturelles mexicaines et américaines.
Teotihuacán: Cité de l'Eau, Cité du Feu explorera comment les œuvres de la ville antique façonnent notre compréhension de Teotihuacan comme un environnement urbain, avec des découvertes archéologiques récentes et d'autres prêts importants des institutions culturelles mexicaines et américaines.

Teotihuacán: Cité de l'Eau, Cité du Feu explorera comment les œuvres de la ville antique façonnent notre compréhension de Teotihuacan comme un environnement urbain, avec des découvertes archéologiques récentes et d'autres prêts importants des institutions culturelles mexicaines et américaines.

Les historiens estiment que le site a été fondé en 200 avant J.-C. Ce complexe religieux du Mexique était même entouré d'une ville de 200.000 habitants, peut-être la plus grande ville du monde à cette époque !

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Publié le 1 Octobre 2017

L’accès à cette exposition est gratuit.
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Quand la femme vient de laver le linge, elle a grand appétit

Dicton

Loic Lantoine et Al Delort Titre - Jour de lessive ( Poème de Gaston Couté ) Album - Convoi Exceptionnel

Faire sa lessive, un acte anodin? Certainement pas : depuis que l’homme porte des vêtements, entretenir son linge est une préoccupation majeure des foyers. Si de nos jours, la lessive est devenue, une opération banale, rapide et relativement bon marché, il n’en a pas toujours été ainsi. Dans le passé, la pénibilité de cet acte ménager est difficilement imaginable, alors que pour nous il suffit d’appuyer sur un bouton pour lancer un programme adapté à nos textiles. Il est important de rappeler la place que prenait la lessive dans la vie quotidienne de la plupart des femmes avant l’arrivée des machines à laver automatiques. Pendant des siècles, faire son linge fut une véritable corvée sans cesse répétée qui se déroulait sur plusieurs jours dans des conditions difficiles.

Il ne faut pas la confondre avec la laveuse, simple ouvrière qui pouvait être employée à façon par une lavandière ou entreprise de lavage en gros, ou bien faisait profession autonome. Sa fonction consistait laver le linge grossier ou peu délicat, de clients, le plus souvent les torchons, les grands draps, les robes et habits communs. Une appellation voisine était buandière lorsque l'ouvrière travaillait en buanderie et non en plein air ou sous un toit de lavoir. Dans le midi de France, en Languedoc et Provence, la bugadière est essentiellement l'employée laveuse ou l'entrepreneuse lavandière chargée de la lessive ou buée, pour le compte d'une maison bourgeoise ou de clients occasionnels.

La blanchisseuse, une autre ouvrière agissant comme employée ou pour son compte, s'occupait du linge fin, soit des habits du dimanche, des beaux costumes ou des robes ou habits à dentelles. Les blanchisseuses travaillaient de concert avec une repasseuse, car il fallait avec minutie remettre en forme, en pli, voire empeser, rigidifier ces habits si délicats et si fins de la confection d'autrefois, que seule la haute couture a préservé jusqu'à nous.

Dans le monde paysan, il existait deux grandes buées, grandes bugades ou grandes lessives collectives par an, au printemps et à l'automne.

La Fonderie travaille pour son prochain programme quadriennal sur une grande exposition autour de la lessive, de son histoire et de son évolution. Nos collections regorgent en effet d’objets, machines ou savons en tout genre, et nous serons heureux de pouvoir les partager avec vous. Nous parlerons dans cette exposition de progrès techniques, de contexte socio-économique, d’hygiène, de la place de la femme et du travail domestique, de pratiques sociales, de folklore, de la politique hygiéniste de Bruxelles dans son combat pour la propreté ou encore du rôle des wasserettes aujourd’hui ou de la lessive ailleurs dans le monde. Vous l’aurez compris, la lessive touche à bien plus d’aspects que le simple entretien du linge.

Mais pour préparer cette exposition, nous avons besoin de vos souvenirs et témoignages sur vos pratiques et celles de vos aïeux. Si La Fonderie est bien le musée bruxellois des industries et du travail, elle est aussi reconnue comme acteur d’Education permanente. Ce qui signifie que pour nous, les publics sont vraiment au cœur de notre action. En conséquence, nous souhaitons construire cette exposition à partir de vos témoignages.

Nous proposons depuis mars une activité peu banale dans le monde des musées: une exposition préparatoire. Nous vous invitons à visiter cette pré-exposition, installée dans la salle des électriciens. Une présentation compacte de la problématique dans un espace réduit, avec comme objectif non seulement de vous introduire à cette extraordinaire thématique qu’est la lessive, mais aussi de vous interroger sur vos souvenirs et pratiques. Ceux-ci nous serviront à élaborer notre prochaine scénographie.

Car pour toute bonne lessive, ne faut-il pas un prélavage ?

La Fonderie
Musée bruxellois des industries et du travail

Rue Ransfort 27
Bruxelles 1080

Contactez-nous par
téléphone 02 410 99 50
fax 02 410 39 85
par e-mail 
du lundi au vendredi, de 9h à 17h.


Horaires:

Bureaux: : du lundi au vendredi de 9.00 à 17.00

Musée : Du mardi au vendredi de 10.00 à 17.00 (excepté les jours fériés) et les samedis, dimanches et jours fériés de 14.00 à 17.00. Gratuit chaque premier dimanche du mois. Fermé le lundi. Le musée est généralement fermé entre le 24 et le 31 décembre. 

Centre de documentation : sur rendez-vous uniquement, par téléphone au 02 413 11 80

Accès
Transports en commun : métro ligne 1 et 5 Station Comte de Flandre – Tram 82 et Bus 86 (arrêt Triangle) – Bus 89 (arrêt Borne) – Tram 51 et Bus 86 (arrêt Porte de Flandre)
15 min. à pied de la Bourse

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Rédigé par Last Night in Orient

Publié dans #Bruxelles, #Belgique, #Projets pédagogiques, #Musées, #Bons plans, #gratuit, #La Fonderie

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Publié le 20 Août 2017

Jardins en fête 2017Jardins en fête 2017

Suite au succès des éditions précédentes et grâce à la Fondation CIVA et à la Région de Bruxelles-Capitale (Bruxelles-Environnement), l’initiative Jardins en Fête connaît cette année sa dixième édition. Le grand public aura une fois de plus l’opportunité d’aller à la rencontre de 40 jardins privés et semi-privés, plus originaux les uns que les autres et pleins de surprises! Les propriétaires de ces jardins, les auteurs de projet ou les guides formés pour l’occasion inviteront le public à découvrir les charmes de ces «jardins secrets». L’accès aux jardins est gratuit tout au long de la journée. Les inscriptions sont obligatoires. 

Site web

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Rédigé par Last Night in Orient

Publié dans #Bruxelles, #2017, #Bons plans, #Jardins

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