bons plans

Publié le 30 Août 2018

Pourquoi se plaindre de l’état de la musique pop actuelle ? En explorant la marge, vous découvrirez à quel point elle bruisse, bourgeonne et bouge. Et ce, au sens le plus large du terme. Chaque année, le festival Feeërieën essaie de dévoiler une part de cette beauté (brute) et opte résolument pour des artistes moins connus en les regroupant par thème. Après tout, l’expérience (la vraie) est favorisée par la découverte, plus que par le décor. Même si les Feeërieën ne seraient pas les Feeërieën sans les splendeurs naturelles du parc de Bruxelles… Une expérience au carré, donc !
Pourquoi se plaindre de l’état de la musique pop actuelle ? En explorant la marge, vous découvrirez à quel point elle bruisse, bourgeonne et bouge. Et ce, au sens le plus large du terme. Chaque année, le festival Feeërieën essaie de dévoiler une part de cette beauté (brute) et opte résolument pour des artistes moins connus en les regroupant par thème. Après tout, l’expérience (la vraie) est favorisée par la découverte, plus que par le décor. Même si les Feeërieën ne seraient pas les Feeërieën sans les splendeurs naturelles du parc de Bruxelles… Une expérience au carré, donc !
Pourquoi se plaindre de l’état de la musique pop actuelle ? En explorant la marge, vous découvrirez à quel point elle bruisse, bourgeonne et bouge. Et ce, au sens le plus large du terme. Chaque année, le festival Feeërieën essaie de dévoiler une part de cette beauté (brute) et opte résolument pour des artistes moins connus en les regroupant par thème. Après tout, l’expérience (la vraie) est favorisée par la découverte, plus que par le décor. Même si les Feeërieën ne seraient pas les Feeërieën sans les splendeurs naturelles du parc de Bruxelles… Une expérience au carré, donc !
Pourquoi se plaindre de l’état de la musique pop actuelle ? En explorant la marge, vous découvrirez à quel point elle bruisse, bourgeonne et bouge. Et ce, au sens le plus large du terme. Chaque année, le festival Feeërieën essaie de dévoiler une part de cette beauté (brute) et opte résolument pour des artistes moins connus en les regroupant par thème. Après tout, l’expérience (la vraie) est favorisée par la découverte, plus que par le décor. Même si les Feeërieën ne seraient pas les Feeërieën sans les splendeurs naturelles du parc de Bruxelles… Une expérience au carré, donc !

Pourquoi se plaindre de l’état de la musique pop actuelle ? En explorant la marge, vous découvrirez à quel point elle bruisse, bourgeonne et bouge. Et ce, au sens le plus large du terme. Chaque année, le festival Feeërieën essaie de dévoiler une part de cette beauté (brute) et opte résolument pour des artistes moins connus en les regroupant par thème. Après tout, l’expérience (la vraie) est favorisée par la découverte, plus que par le décor. Même si les Feeërieën ne seraient pas les Feeërieën sans les splendeurs naturelles du parc de Bruxelles… Une expérience au carré, donc !

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Rédigé par Last Night in Orient

Publié dans #2018, #Bruxelles, #Concert, #Bons plans, #Belgique, #Actualités, #Feeërieën, #Festival

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Publié le 14 Août 2018

Tel est le thème de la 21ème édition du Tapis de Fleurs. Tout comme Bruxelles, l’État de Guanajuato situé au Mexique central connaît une longue tradition de tapis de grandes dimensions. Aujourd'hui, Guanajuato compte parmi les lieux protégés par l'Unesco au titre du patrimoine culturel mondial depuis 1988. Guanajuato regorge également de trésors culturels uniques. En outre, la région est le berceau de différents peuples indigènes réputés pour leurs précieux objets céramiques et leur culture très riche. Bref, une inépuisable source d’inspiration pour le premier tapis latino-américain sur le sol bruxellois.
Tel est le thème de la 21ème édition du Tapis de Fleurs. Tout comme Bruxelles, l’État de Guanajuato situé au Mexique central connaît une longue tradition de tapis de grandes dimensions. Aujourd'hui, Guanajuato compte parmi les lieux protégés par l'Unesco au titre du patrimoine culturel mondial depuis 1988. Guanajuato regorge également de trésors culturels uniques. En outre, la région est le berceau de différents peuples indigènes réputés pour leurs précieux objets céramiques et leur culture très riche. Bref, une inépuisable source d’inspiration pour le premier tapis latino-américain sur le sol bruxellois.
Tel est le thème de la 21ème édition du Tapis de Fleurs. Tout comme Bruxelles, l’État de Guanajuato situé au Mexique central connaît une longue tradition de tapis de grandes dimensions. Aujourd'hui, Guanajuato compte parmi les lieux protégés par l'Unesco au titre du patrimoine culturel mondial depuis 1988. Guanajuato regorge également de trésors culturels uniques. En outre, la région est le berceau de différents peuples indigènes réputés pour leurs précieux objets céramiques et leur culture très riche. Bref, une inépuisable source d’inspiration pour le premier tapis latino-américain sur le sol bruxellois.
Tel est le thème de la 21ème édition du Tapis de Fleurs. Tout comme Bruxelles, l’État de Guanajuato situé au Mexique central connaît une longue tradition de tapis de grandes dimensions. Aujourd'hui, Guanajuato compte parmi les lieux protégés par l'Unesco au titre du patrimoine culturel mondial depuis 1988. Guanajuato regorge également de trésors culturels uniques. En outre, la région est le berceau de différents peuples indigènes réputés pour leurs précieux objets céramiques et leur culture très riche. Bref, une inépuisable source d’inspiration pour le premier tapis latino-américain sur le sol bruxellois.

Tel est le thème de la 21ème édition du Tapis de Fleurs. Tout comme Bruxelles, l’État de Guanajuato situé au Mexique central connaît une longue tradition de tapis de grandes dimensions. Aujourd'hui, Guanajuato compte parmi les lieux protégés par l'Unesco au titre du patrimoine culturel mondial depuis 1988. Guanajuato regorge également de trésors culturels uniques. En outre, la région est le berceau de différents peuples indigènes réputés pour leurs précieux objets céramiques et leur culture très riche. Bref, une inépuisable source d’inspiration pour le premier tapis latino-américain sur le sol bruxellois.

C’est dans la ville d’Uriangato, dans le sud de la région, que les festivités atteignent chaque année leur apogée, lors du fetival de « La Octava Noche » au cours de laquelle une promenade nocturne se déroule dans les rues principales de la ville dirigée par l’image de Saint Michel l’Archange, Saint Patron de la localité, pour cette date divers échantillons de la culture et des traditions de cette commune sont réalisés tels que: danses régionales typiques, lampes d'ocote, ballons de cantoya, autels de fleurs et surtout les sciures traditionnelles sur lesquelles elle avance la balade Cet ensemble de symboles de la culture Uriangatense constitue la fête la plus importante et la plus visitée de l'agglomération Moroleón-Uriangato-Yuriria. C’est le plus grand événement d’art éphémère dans le centre du Mexique.

Du 16 au 19 août 2018

Du haut du balcon de l’Hôtel de Ville de Bruxelles, vous pourrez admirer cette œuvre éphémère dans toute sa splendeur.

José Alfredo Jiménez Sandoval (Dolores Hidalgo, Guanajuato, 19 janvier 1926 - Mexico, 23 novembre 1973) était un chanteur et compositeur mexicain. Il a créé de nombreux thèmes, principalement des rancheras, huapangos et Corridos, tous reconnus pour leur qualité et leur simplicité harmonique, tant du point de vue de la mélodie que du lyrisme. Associer les chansons de José Alfredo Jiménez avec la boisson et la fête est inévitable. Les chansons de José Alfredo sont explicites: il noie ses déceptions amoureuses en buvant toute la bouteille de tequila qui sont narrées dans ses poésies populaires. Il meurt des suites d'une cirrhose. Joaquín Sabina lui rend hommage dans son titre "Por el Bulevar de los Sueños Rotos".

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Rédigé par Last Night in Orient

Publié dans #Mexique, #Bruxelles, #2018, #Bons plans, #Guanajuato, #Tourisme, #Tapis de Fleurs

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Publié le 13 Juin 2018

La Belgique veut enterrer son passé colonial et a pour cela réalisé une transformation radicale de son musée de l'Afrique.

Dix années de travail ont été nécessaires pour réhabiliter le bâtiment, mais surtout pour revoir sa vision unilatérale de l'histoire. "L'homme africain sauvage, presque nu ou nu, était une image typique de la propagande de l'époque", explique Bruno Verbergt, directeur des opérations du musée. "C'est ainsi que l'Afrique, au début du XXe siècle, s'est présentée au peuple belge."

Jusqu'à récemment, il était connu comme le dernier musée colonial en Europe. Il a vanté la supériorité de la culture européenne sur la culture africaine. Un point de vue qu'ils ont voulu changer. "Nous disons très clairement que, d'un point de vue moral, nous nous éloignons du colonialisme en tant que système", a déclaré Guido Gryseels, directeur du Musée de l'Afrique. "Le colonialisme n'est pas un système de gouvernement acceptable aujourd'hui, il est immoral."

Une sculpture de l'artiste congolais Aimé Mpane occupe désormais une place de choix dans le musée. Il vit actuellement en Belgique et il est important pour lui que ses enfants puissent lui rendre visite. "Je veux vous montrer notre culture, de ce qui était autrefois le Zaïre et maintenant le Congo, toutes les choses positives de notre culture", a déclaré Mpane.

Mais la controverse continue. Les plaques commémoratives rendent hommage uniquement aux Belges tués au Congo. La même chose se passe dans les rues. "Il n'y a pas une seule ville ou ville en Belgique où vous ne pouvez pas trouver un nom, un monument ou une plaque coloniale, ils sont partout", dit le militant et historien Jean-Pierre Laus.

Léopold II était le propriétaire du Congo belge. Maintenant, à côté de son buste, on peut lire: "Le commerce du caoutchouc et de l'ivoire, contrôlé en grande partie par le roi, a eu un coût élevé dans la vie des Congolais".

Tous au rendez-vous le 2 septembre 2018
Tous au rendez-vous le 2 septembre 2018
Tous au rendez-vous le 2 septembre 2018
Tous au rendez-vous le 2 septembre 2018

Tous au rendez-vous le 2 septembre 2018

Le Musée royal de l'Afrique centrale ouvrira à nouveau ses portes le 8 décembre 2018 après une rénovation de plus de quatre ans. Le bâtiment a été soigneusement pris en charge, mais le contenu des collection sera également ajusté, avec un regard critique sur le passé colonial. Le Musée de l'Afrique a été ouvert en 1897 pour montrer le merveilleux Congo et les bienfaits du colonialisme belge dans le monde.

De Gordel (mot néerlandais signifiant « la ceinture ») est un évènement sportif (vélo, marche) organisé autour de Bruxelles (Belgique), chaque premier dimanche de septembre, par le BLOSO. Tous au rendez-vous le 2 septembre 2018

Cette année, le Gordelklassieker, un tour à vélo de plus de 100 kilomètres à travers la ceinture verte et la frontière flamande, Ces tours en vélo commencent et se terminent à Tervuren et traversent le jardin botanique de Meise.

Depuis Tervuren et le domaine provincial de Huizingen, diverses randonnées et balades à vélo commencent. A Tervuren, un village sportif est aménagé pour les enfants et un «village de bébé» pour les plus jeunes.

De Kreuners et Slagerij Vanderstukken clôturent la journée musicalement. 

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Rédigé par Last Night in Orient

Publié dans #2018, #Belgique, #Bons plans, #Musées, #Festival du Gordel, #Tervueren, #Congo

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