bruxelles

Publié le 8 Octobre 2017

Les Stones, c'est l'histoire du rock et l'histoire tout court. Des gros plans de l'inénarrable Jagger en frontman lippu et de Keith Richards en bad boy attendrissant aux clichés de groupe backstage ou en privé, une série de photos originales, jamais vues en Belgique, racontent cette grande histoire. Mick Jagger, Brian Jones, Keith Richards, Charlie Watts, Bill Wyman dans leurs golden years. La galerie PHOTO HOUSE à Bruxelles fait un zoom majeur sur les artistes hors format qui ont immortalisé le band mythique dans les années 60 et 70. Les clichés grand cru du plus grand groupe du monde. Une expo exceptionnelle, littéralement iconographique du 22 septembre au 31 décembre 2017

PHOTO HOUSE présente les tirages limités de cinq géants du portrait rock et du portrait tout court, Terry O'Neill, Gered Mankowitz, Michael Cooper, Dominic Lamblin, Bob Gruen. Plusieurs dizaines de clichés des Stones vont être exposés dans la galerie, au cœur des Marolles à Bruxelles, du 22 septembre au 31 décembre 2017. Ces œuvres racontent les tranches de vie de quelques générations. Elles ont la texture, le relief et la valeur inestimable de la légende gravée dans le marbre. David Swaelens-Kane, le boss flamboyant de PHOTO HOUSE, qui dirige notamment les magazines PHOTO et PLAYBOY, est un businessman créatif, amateur de rock et de lifestyle pointu. La photo, l'art moderne, les Stones et Bowie font partie de ses folies. Parmi les grands crus de son choix, des clichés de Terry O'Neill ou Gered Mankowitz, avec lesquels PHOTO HOUSE entretient des relations privilégiées et collabore depuis plusieurs années, les photos ébouriffantes de Michael Cooper, décédé en 1973, et tant d'autres.

PHOTO HOUSE présente les tirages limités de cinq géants du portrait rock et du portrait tout court, Terry O'Neill, Gered Mankowitz, Michael Cooper, Dominic Lamblin, Bob Gruen. Plusieurs dizaines de clichés des Stones vont être exposés dans la galerie, au cœur des Marolles à Bruxelles, du 22 septembre au 31 décembre 2017. Ces œuvres racontent les tranches de vie de quelques générations. Elles ont la texture, le relief et la valeur inestimable de la légende gravée dans le marbre. David Swaelens-Kane, le boss flamboyant de PHOTO HOUSE, qui dirige notamment les magazines PHOTO et PLAYBOY, est un businessman créatif, amateur de rock et de lifestyle pointu. La photo, l'art moderne, les Stones et Bowie font partie de ses folies. Parmi les grands crus de son choix, des clichés de Terry O'Neill ou Gered Mankowitz, avec lesquels PHOTO HOUSE entretient des relations privilégiées et collabore depuis plusieurs années, les photos ébouriffantes de Michael Cooper, décédé en 1973, et tant d'autres.

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Rédigé par Last Night in Orient

Publié dans #Bruxelles, #2017, #Photographie, #Photo House, #Belgique, #Rock, #The Rolling Stones

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Publié le 6 Octobre 2017

Esther Deltenre, surnommée à ses débuts « la petite Esther »1, née le  à Lessines2, en Belgique et morte le  à Forest3, est une actrice belge.

 

Biographie

Esther Deltenre naît en 1877 dans un milieu populaire wallon, et elle a été casquettière avant de chanter dans des cafés puis à la foire du Midi4.

Au théâtre

Elle fait ses début enfant, au Concert des Glaces (ancien théâtre Fulgoni), une salle située boulevard du Midi au coin de la rue Van der Weyden5..

Esther Deltenre a obtenu le succès sur la scène du théâtre de l’Alhambra qui était à l’époque la plus grande salle de spectacle de Bruxelles (2 000 fauteuils), située au no 20 sur le boulevard Émile Jacqmain dans le centre de Bruxelles, près de la place de Brouckère.

Au théâtre, le public a pu applaudir Esther Deltenre dans Peperbol en ribote de Joris d'Hanswyck qui fut l’auteur ou le coauteur d’un très grand nombre de pièces dont Bossemans et Coppenolle.

Au cinéma

Esther Deltenre incarne six rôles pour le cinéma belge patoisant entre 1912 et 1947. Elle joue dans quatre films de Gaston Schoukens, dont le rôle de la reine dans Les Quatre Mousquetaires.

Divers

Esther Deltenre a tenu une brasserie à Bruxelles près de la Bourse, rue du Borgval, n° 106.

Filmographie

Notes et références

  1.  Programme officiel du Théâtre de la Scala de Bruxelles, 1915, [p. 5], conservé à la Bibliothèque royale de Belgique, cabinet des manuscrits, ms. II 6781/4
  2.  L'invention du marollien littéraire [archive] par Paul Aron, in: Le Carnet et les Instants n°186, avril - juin 2015.
  3.  Jacques Franck, « Ils nous ont fait rire, rêver, chanter... Ce dictionnaire réunit ces artistes trop oubliés de la chanson française », lalibre.be,‎  (lire en ligne [archive] Accès payant, consulté le ) :

    « La plantureuse Esther Deltenre (Lessines 1877- Bruxelles 1958) a fait rire les Bruxellois pendant 70 ans... »

  4.  « L'invention du marollien littéraire » [archive], sur Le Carnet et les Instants (consulté le )
  5.  Union des artistes du Spectacle, 2012 [1] [archive]
  6.  Publicité pour son établisement dans Couplets chantés dans « Bruxelles-chez-lui », fantaisie d'actualité à grand spectacle de Henri Wauthoz, au Théâtre de l'Olympia à Bruxelles, [1917], conservé à la Bibliothèque royale de Belgique, cabinet des manuscrits, ms. II 6781/17
  7.  Après un petit rôle au Portugal en 1934 et cette réalisation en Belgique en 1937, Siegfried Aron poursuivra sa carrière d'acteur à Hollywood dans des films mineurs.

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Rédigé par Last Night in Orient

Publié dans #Esther Deltenre, #Zwanze, #Théâtre, #Bruxelles

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Publié le 2 Octobre 2017

BOZAR et Moussem présentent la dixième édition de leur série à succès Sufi Night, autour de la tradition mystique de l’islam. La Sufi Night montre l’impressionnante diversité de la musique spirituelle du monde islamique,

L’invité central de cette édition est le chanteur pakistanais Faiz Ali Faiz. Souvent considéré comme le digne successeur de Nusrat Fateh Ali Khan, il a reçu en 2006 le prestigieux BBC Award for World Music pour son interprétation personnelle mais fidèle du qawwali, une tradition défendue par sa famille depuis huit générations déjà. En annexe vous trouverez plus d’info sur Faiz ali Faiz.

Dans le cadre d’Europalia Indonésie, une compagnie de saman vient présenter son étonnante « danse des mille mains ». Les danseurs sont agenouillés en rang et exécutent des chorégraphies complexes avec le haut de leur corps, souvent très rapidement. Depuis 2011, le saman est inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO.

Le Marocain Noureddine Tahiri a étudié la récitation du Coran auprès du grand cheikh Mekki Benkirane et a pratiqué le Samaa dans différentes confréries soufies. Les Samaa sont des chants polyphoniques rituels, adressés à Sidna Mohamed, dont l’origine remonte au tout début de l’islam. Grâce à une technique respiratoire particulière, chœur et soliste semblent s’exprimer d’une seule voix. 

Il a étudié  Madih et le samâa aux sein des Zaouïas Moulay Idriss, Sidi Kacem Ben Rahmoune, My Ahmed Skalli et Sidi Ali Jamal ; grâce aux grands maîtres de cet art Moulay  Larbi Amraoui, Al Attar et  la grande figure du Madih et Samâa, le regretté Abdellatif Benmansour.

Naghmana A. Hashmi, ambassadrice du Pakistan auprès de l’UE, donnera une conférence sur l’origine, le contexte spirituel et la riche histoire de la musique qawwali extatique dans son pays.
 
Programme
19:00 Lecture : Tradition of Qawali in the sub-continent (en Anglais)
19:40 Performance : Saman "Danse des milles mains"
20:00 Concert : Noureddine Tahiri
21:00 Performance : Saman "Danse des milles mains"
21:30 Concert : Faiz Ali Faiz
 

Faiz Ali Faiz (né en 1962 à Sharqqpur au Pakistan) fait partie de la huitième génération de musiciens qawwals de sa famille et perpétue cette tradition de chants mystiques qui véhicule le message pacifique de la poésie soufie. Les poèmes de la tradition qawwali parlent du vin, métaphore de la foi, leurs longs sanglots d'amour sont ceux de la passion divine. On retrouve ce genre musical la dévotion islamique soufi. Originaire de  l'Inde du XIVe siècle, son fondateur est censé être Amir Khusrau Dehlavi. En dépit de son jeune âge pour un qawwal, Faiz Ali rencontre un succès croissant auprès de ses auditeurs.

La voix de Faiz se caractérise par une étendue exceptionnelle et un timbre particulièrement riche qui n'est pas sans rappeler le célèbre Nusrat Fateh Ali Khan, dont il est aujourd'hui considéré comme l'héritier. N'hésitant pas à désorganiser le rituel, et à imposer sa personnalité de soliste, Faiz Ali Faiz est aujourd'hui la grande voix du Qawwali.
Faiz Ali Faiz La grande voix 
du qawwali
 

 

L'étendue exceptionnelle de la voix du pakistanais Faiz Ali Faiz et son timbre particulièrement riche rappellent son illustre prédécesseur Nusrat Fateh Ali Khan, qui fit connaître au monde entier le qawwali, et dont Faiz Ali reprend les compositions, avec un talent incontesté.

Le Qawwali fait aujourd'hui un incessant voyage entre le sanctuaire et des situations plus séculières comme les fêtes privées de notables, la musique de film, ou les scènes internationales, et continue de fait à opérer des changements formels, il n'oublie jamais sa fonction : interroger le fond de son coeur pour y retrouver la joie d'aimer.

Martina CATELLA

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