chanson francaise

Ce soir j´attends Madeleine
On prendra le tram trente-trois

Jacques Brel, Madeleine

A l'époque de Brel (1960), le Tram 33 reliait Boitsfort au square Henri Rey à Anderlecht, à proximité du domicile de l'artiste. Remplacée par un bus en 1960, la ligne disparut définitivement en 1968 au profit des actuelles lignes 21 et 95 de la STIB.

Du temps de Brel, son parcours sera prolongé jusqu'au square Henri Rey, à Anderlecht, à 40 mètres de la maison où Jacques Brel vécut son adolescence.

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La Bruxelles de Brel

Le Bruxelles de Brel, c'est le Bruxelles qui chante, qui rêve, qui bruxelle... C'est le Bruxelles du cinéma muet, des pavés, des gibus... C'est dans Bruxelles et Madeleine que le grand Jacques nous

https://www.brusselslife.be/fr/article/la-bruxelles-de-brel

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Léo Ferré - Pauvre Rutebeuf

Publié le 23 Septembre 2012

Pauvre Rutebeuf est une chanson de Léo Ferré parue sur l'album Le Guinche, publié par Odéon en 1956. Il s'agit d'un assemblage d'extraits des poèmes La Complainte Rutebeuf et La Griesche d'Yver du poète du xiiie siècle Rutebeuf, adaptés en français moderne par Ferré lui-même. Cette chanson au succès international a joué un rôle important dans la redécouverte de Rutebeuf par le grand public et est aujourd'hui considérée comme un classique du répertoire.

Que sont mes amis devenus
Que j'avais de si près tenus
Et tant aimés
Ils ont été trop clairsemés
Je crois le vent les a ôtés
L'amour est morte.
Ce sont amis que vent emporte
Et il ventait devant ma porte
Les emporta.
Avec le temps qu'arbre défeuille
Quand il ne reste en branche feuille
Qui n'aille à terre
Avec pauvreté qui m'atterre
Qui de partout me fait la guerre
Au temps d'hiver.
Ne convient pas que vous raconte
Comment je me suis mis à honte
En quelle manière.
Que sont mes amis devenus
Que j'avais de si près tenus
Et tant aimés
Ils ont été trop clairsemés
Je crois le vent les a ôtés
L'amour est morte.
Le mal ne sait pas seul venir
Tout ce qui m'était à venir
M'est avenu.
Pauvre sens et pauvre mémoire
M'a Dieu donné le roi de gloire
Et pauvre rente
Et droit au cul quand bise vente
Le vent me vient le vent m'évente
L'amour est morte
Ce sont amis que vent emporte
Et il ventait devant ma porte
Les emporta.
L'espérance de lendemain
Ce sont mes fêtes.

Pauvre Rutebeuf - Léo Ferré

Saviez-vous que Rutebeuf devait son nom à son surnom de " Rudebœuf " (bœuf vigoureux)? Pourtant on sait tellement peu de choses de sa vie sauf qu'il était probablement un jongleur avec une form...

https://memoirechante.wordpress.com/2011/06/09/pauvre-rutebeuf-leo-ferre/

" Pauvre Ruteboeuf ", la complainte du trouvère et poéte médiéval Ruteboeuf, par Léo Ferré

Musique : interprétation moderne d'une poésie médiévale. Titre : la complainte de Rutebeuf, Pauvre Rutebeuf. Sujet: troubadours & trouvères du moyen-âge, musique médiévale. Période : XIIIe...

http://www.moyenagepassion.com/index.php/2015/12/27/pauvre-ruteboeuf-la-complainte-du-troubadour-ruteboeuf/

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Jules Vanobbergen, né le 6 juillet 1936 à Bruxelles, est un chanteur mieux connu le pseudonyme Le Grand Jojo ou Lange Jojo chez les néerlandophones.

Le Grand Jojo était à la base un dessinateur publicitaire et dessinateur BD. Il fut par la suite disquaire et musicien. Jules réalisa assez vite qu'il manquait cruellement des chansons d'ambiance sur le marché de l'époque. Il décida donc d'en produire lui-même. C'est ainsi que le Grand Jojo est né.

Ce que l'on retient surtout du Grand Jojo, ce sont des chansons à boire tel On a soif, la petite bête à bon dieu et Jules César. On oublie souvent ses débuts Le Tango du Congo, Victor le footbaliste et Sitting Bull, de superbes tangos aux textes surréalistes et fortement drôles.

Le Grand Jojo est une icône belge par excellence, le représentant d'une certaine belgitude.

Le 11 mai 1998 Jules Van Obbergen fut nommé Chevalier dans l'ordre de Léopold.

Ça s'est passé le jour de mon baptême

Tout l' monde était là comme des troufions

Ils avaient cherché pendant toute la semaine

Pas moyen d' me trouver un beau prénom

Monsieur l' curé a dit "Enfin, quand même

Il fallait prendre le calendrier"

"C'est c' qu'on a fait" répliqua ma marraine

"Mais on n' savait plus à quel saint se vouer"

Y a des p'tits, des gros, des longs, des moyens

Youkou, youkou, vive les saints !