El Guasón interpretado por Joaquin Phoenix deja a pocos espectadores indiferentes. Descrito como "terrorista", "antihéroe" o "sociópata", Arthur Fleck presenta varios problemas psicológicos.
Arthur Fleck sufre de una enfermedad que provoca risas, especialmente en momentos de estrés. ¿Existe realmente tal patología?
A veces las personas se ríen en momentos de estrés: son risas defensivas que no están necesariamente relacionadas con la locura. Pero en el caso del Joker, podría ser una "risa desmotivada" de disociación ideo-afectiva. Entonces son testigos de una discordancia psíquica y uno entra entonces en un marco patológico. Incluso si la película no llega tan lejos, las risas del personaje o de una persona real podrían ser la señal de que él o ella escucha una voz y, por lo tanto, está sujeto a alucinaciones auditivas que emiten mensajes a los que se adhiere. El interlocutor presente se siente incómodo o incluso ansioso por tal situación. Esto sucede en pacientes esquizofrénicos que engañan.
El personaje es retraído, torpe en sus relaciones sociales, sufre alucinaciones y cae gradualmente en violencia después de ser víctima de abuso durante la infancia. ¿Qué tipo de diagnóstico pedirías?
Je prend en photo ces cartes postales qui représente l'âge d'or du cinéma égyptien. Cartes que j'avais acheté à l'institut du monde arabe à Paris. Il était une fois... Farid El Atrache, Hind Rostoum, Layla Fawzi, Abdel Halim Hafez. Films : Quesat Hobi - 1955 - Enta Habibi - 1957 - Assir Al Ouyoun - 1949 - Lahn al Wafaa- 1955 -.
Abdel Halim Hafez
Hind Rostom
Laila Fawzi
Entre les couleurs saturées, le rouge de la douleur et de la mort prévaut. Il n'y a pas de larmes, ni de cris, ni hystérisme. Nous abordons une superbe réflexion sur ces expériences maintenues dans la mémoire, qui se sont terminées sans plus et qui n'ont pas fermé les cicatrices. Peut-être le film le plus intime et le plus sincère de Pedro Almodóvar de la dernière décennie: à mi-chemin entre l’histoire des coutumes et la biographie de fiction, expose ses obsessions de manière brillante.
"Douleur et Gloire", un film intime mais énergique, où le protagoniste dissèque sans craindre de plonger dans ses propres démons, transformant sa vie et son expérience en inspiration de travail qui traite l’art comme un carburant vital.
Salvador Mallo est un réalisateur déjà à maturité. Il vit à Madrid et a connu un succès remarquable tout au long de sa carrière. Dans la solitude et avec trop de fantômes, il est paralysé par les douleurs physiques de toutes sortes qui le bloquent. Incapable d'écrire et de diriger à nouveau à cause de sa condition physique déplorable, cela ressemble au moment idéal pour se souvenir de toute sa vie et rendre des comptes au passé.
Le film commence avec Salvador Mallo immergé dans une piscine qui revient à la mémoire de son enfance. L'eau lui rappelle un jour de bonheur alors qu'il n'était qu'un enfant, jouant au bord de la rivière dans son village, pendant que sa mère et d'autres femmes lavent leurs vêtements. Sûrement l'un des jours les plus heureux de sa vie.
Mais dans la piscine, sous l'eau, une cicatrice traverse son corps, éloignant ainsi le bonheur innocent et insouciant d'un enfant souriant et nous ramenant à la réalité d'un homme adulte marqué par les blessures laissées par l'expérience. C'est ainsi que commence ce voyage régénérateur, où la réconciliation avec le passé devient la condition fondamentale pour un cinéaste vivant par et pour son travail.
Les scènes impressionnantes de l'enfance du protagoniste se démarquent. Ils sont abattus dans une grotte à Paterna, une ville très proche de Valence. Quelques habitats d’origine mauresque, excavés sur des terres avec des évents. Peu à peu, la majorité est partie et certaines ont été protégées par les autorités en tant que biens d'intérêt culturel.
Une série de retrouvailles après plusieurs décennies, certaines en chair et en os, d’autres par le souvenir, dans la vie d’un réalisateur en souffrance. Premières amours, les suivantes, la mère, la mort, des acteurs avec qui il a travaillé, les années 1960, les années 1980 et le présent. L’impossibilité de séparer création et vie privée. Et le vide, l’insondable vide face à l’incapacité de continuer à tourner.
Un film de Pedro Almodóvar, avec Antonio Banderas, Asier Etxeandía, Leonardo Sbaraglia, Nora Navas, Julieta Serrano, César Vicente, Asier Flores et avec la participation exceptionnelle de Penélope Cruz
Quartet Records and El Deseo present the soundtrack album of the eagerly anticipated new collaboration between Academy Award-winning director Pedro Almodóvar and prestigious three-time Academy ...