cinema

Publié le 26 Janvier 2018

Portraits de la vie d'enfants marginalisés à Mexico par l'intermédiaire de trois délinquants d'un centre de protection des mineurs. L'un d'eux a tué son beau-père pour protéger sa mère, un autre a laissé son gardien aveugle pour se défendre contre ses abus, et un troisième a été forcé de voler pour manger.

La Route de la Vie (en espagnol: El camino de la vida)  (1956)
La Route de la Vie (en espagnol: El camino de la vida)  (1956)
La Route de la Vie (en espagnol: El camino de la vida)  (1956)
La Route de la Vie (en espagnol: El camino de la vida)  (1956)

La Route de la Vie (en espagnol: El camino de la vida) est un film dramatique mexicain de 1956 réalisé par Alfonso Corona Blake. Au 6ème Festival international du film de Berlin, il a remporté le prix de la Mention d'honneur

se concentre sur trois jeunes qui sont arrêtés par la police et attendent la condamnation à Mexico dans les années 1950. L'avocat José Gutiérrez (Enrique Lucero), avocat de la défense, prend parti pour les enfants et décide de les prendre sous sa tutelle pour les réhabiliter, car selon lui, ils ne semblent pas être des "criminels de naissance", car tous ils semblent être venus commettre leurs crimes en état de légitime défense ou avec le désir de trouver des moyens de subsistance pour leur famille.

 

Distribution

Luis Alba
Guillermo Bravo Sosa
Antonio Brillas
José Chávez
Rafael Estrada
Carmen Funés
Eufrosina García
Guido García
Ignacio García Torres
Rafael González
Mario Humberto Jiménez Pons
Rogelio 'Frijolitos' Jiménez Pons
Enrique Lucero
Miguel Manzano
Roberto Meyer
Eduardo Moreno
Inés Murillo
Mario Navarro
Ismael Pérez
Víctor Pérez

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Rédigé par Last Night in Orient

Publié dans #El camino de la vida, #Cinéma, #1956, #Alfonso Corona Blake

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Publié le 2 Janvier 2018

Le cinéma belge est subventionné à partir de 1964. Jean-Pierre Dardenne, né le 21 avril 1951 à Engis, et Luc Dardenne, né le 10 mars 1954 aux Awirs, sont deux frères belges qui réalisent leurs films en commun. Ils sont également scénaristes et producteurs. Ces as du cinéma belges subsidié sont parmi nous. Leurs volontés est de créer de puissantes subjectivités populaires. Merci pour ce moment intense de journalisme.

Le cinéma belge est subventionné à partir de 1964. Jean-Pierre Dardenne, né le 21 avril 1951 à Engis, et Luc Dardenne, né le 10 mars 1954 aux Awirs, sont deux frères belges qui réalisent leurs films en commun. Ils sont également scénaristes et producteurs. Ces as du cinéma belges subsidié sont parmi nous. Leurs volontés est de créer de puissantes subjectivités populaires. Merci pour ce moment intense de journalisme.

Réflexion de Jean Louis Donnay: Frères Lumière (02/01/2018)

“Alors qu'à la grande satisfaction des Nations-Unies supervisant l'opération, les réfugiés soudanais sont massivement rapatriés dans leur pays par le HCR - information qui ne date pas d'hier mais qui est plus que jamais occultée par la presse -, la Belgique se divise chaque jour un peu plus sur le cas Francken.

Pas plus tard que ce matin, Le Soir, par la plume de sa bobo d'éditorialiste en chef, invite le gouvernement belge, "pour se grandir, à avouer une faute" tout en publiant une carte rouge des très gauchisants frères Dardenne appelant à la démission notre Secrétaire d'Etat.

Voilà donc, après les syndicats, après les partis d'opposition, après les antifas, après les "jeunes anticapitalistes", le monde des arts qui monte aux créneaux, selon un processus parfaitement huilé par les démocrates auto-proclamés qui ne s'y étaient pas pris autrement pour tenter vainement, avec l'appui des stars hollywoodiennes aujourd'hui contraintes à porter la ceinture de chasteté, de déstabiliser Donald Trump dans sa marche victorieuse vers le Capitole.

Place donc ce matin à l'avis de nos deux Emile Zola du XXIe siècle qui, abondamment biberonnés comme les médias au suc des subsides publics, passent sans transition de la culture (du navet) à l'engagement politique. 

On n'en attendait guère plus de ces oscarisés de la bobosphère cannoise s'inspirant du misérabilisme et de la sinistrose wallonne pour produire des films pseudo-culturels d'une rare subjectivité et d'un tel ennui que, hormis le cercle des initiés et des ayant-droits, nul ne se presse aux guichets pour les découvrir.

Quelle légitimité faut-il donc accorder à ces Dupont-Dupont des salles obscures que nous invitons sur-le-champ à aller faire leur cinéma ailleurs que sur une tribune politique à moins qu'ils n'entendent se présenter aux prochaines élections sur la liste d'Elio et de ses chers camarades? 

Mais nous entendons que, dans leur manœuvre éperdue de subversion, Le Soir, La Libre, RTL et la RTBF ne manqueront pas bientôt d'ouvrir leurs pages et leurs antennes à d'autres Dardenne en puissance. Au jeu des cartes blanches, parions qu'on reverra bientôt fleurir les avis de Marc Uyttendaele, d'André Flahaut, de Laurette Onkelinx et autres nanas du nirvana socialo-écolo-humaniste. En attendant ceux de Pirette, des frères Taloche ou, qui sait, de Kompany. Et quand il n'y en aura plus, il y en aura toujours, prêts à joindre leur voix au concert assourdissant des gauchos. Tiens, paraît qu' Omar Sy, Jamel Debouzze et Nicolas Bedos sont déjà sur les rangs..."

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Rédigé par Last Night in Orient

Publié dans #Theo Francken, #Actualités, #Belgique, #Cinéma, #les frères Dardenne, #Franckisme, #Réflexion

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Publié le 29 Décembre 2017

Le Brise-cœur (The Heartbreak Kid) est un film américain sorti en 1972 réalisé par Elaine May.

Lenny Cantrow, un vendeur d'articles de sport vient de se marier avec Lila Kolodny. Il rencontre et tombe amoureux de Kelly alors qu'il est en lune de miel.A peine arrivé à l'hôtel, Lenny réalise que tout ce que dit ou fait Lila l'agace. Un jour qu'il se promène seul sur la plage, il fait la connaissance de la très belle Kelly. Cette rencontre confirme ses craintes : il n'aime pas son épouse...Lenny veut divorcer de sa femme pour séduire Kelly, mais il se heurte au père de celle-ci.

Acteurs

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Rédigé par Last Night in Orient

Publié dans #Cinéma

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