culture du viol

Publié le 31 Mars 2022

Suite à la diffusion du reportage de la RTBF mettant en cause Carl De Rijck pour agression sexuelle, le parquet de Bruxelles a réagi ce jeudi. L’office du procureur du Roi rappelle, entre autres, le principe de présomption d’innocence.

Voir les commentaires

Rédigé par Last Night in Orient - LNO ©

Publié dans #culture du viol, #Bruxelles, #Carl De Moncharline, #Carl De Rijck, #RTBF

Repost0

Publié le 23 Novembre 2019

16 jours d’activisme pour mettre fin à la violence faite aux femmes.

Le viol est ancré dans un ensemble complexe de croyances et de relations de pouvoir favorisant l’omniprésence et la normalisation de la violence sexuelle. Il est bien connu que l’obtention de chiffres exacts, s’agissant du viol et des agressions sexuelles, est très difficile en raison de la liberté et de l’impunité dont jouissent les agresseurs, de la stigmatisation des victimes et de leur silence.

 

La culture du viol peut aisément perdurer lorsque nous adhérons à des idées sur la masculinité qui véhiculent la violence et la domination en en faisant des expressions de « force », des comportements « mâles », et lorsque les femmes et les filles sont sous-valorisées.   Elle est également relayée par le fait de jeter le blâme sur la victime — une attitude qui consiste à penser que c’est la victime plutôt que l’agresseur qui porte la responsabilité de l’agression.  Lorsque l’on discute de cas de violence sexuelle, la sobriété, les vêtements et la sexualité d’une victime n’ont pas à entrer en ligne de compte. Au contraire, réfutez l’idée selon laquelle les hommes et les garçons doivent exercer leur pouvoir par la violence et remettez en question le concept d’acte sexuel en tant que droit.
La culture du viol peut aisément perdurer lorsque nous adhérons à des idées sur la masculinité qui véhiculent la violence et la domination en en faisant des expressions de « force », des comportements « mâles », et lorsque les femmes et les filles sont sous-valorisées.   Elle est également relayée par le fait de jeter le blâme sur la victime — une attitude qui consiste à penser que c’est la victime plutôt que l’agresseur qui porte la responsabilité de l’agression.  Lorsque l’on discute de cas de violence sexuelle, la sobriété, les vêtements et la sexualité d’une victime n’ont pas à entrer en ligne de compte. Au contraire, réfutez l’idée selon laquelle les hommes et les garçons doivent exercer leur pouvoir par la violence et remettez en question le concept d’acte sexuel en tant que droit.

La culture du viol peut aisément perdurer lorsque nous adhérons à des idées sur la masculinité qui véhiculent la violence et la domination en en faisant des expressions de « force », des comportements « mâles », et lorsque les femmes et les filles sont sous-valorisées. Elle est également relayée par le fait de jeter le blâme sur la victime — une attitude qui consiste à penser que c’est la victime plutôt que l’agresseur qui porte la responsabilité de l’agression. Lorsque l’on discute de cas de violence sexuelle, la sobriété, les vêtements et la sexualité d’une victime n’ont pas à entrer en ligne de compte. Au contraire, réfutez l’idée selon laquelle les hommes et les garçons doivent exercer leur pouvoir par la violence et remettez en question le concept d’acte sexuel en tant que droit.

Portez un regard critique sur ce que la masculinité signifie pour vous et comment vous l’incarnez. L’autoréflexion, les conversations collectives et l’expression artistique ne sont que quelques-uns des outils à la disposition des hommes et des garçons (comme des femmes et des filles d’ailleurs) devant leur permettre d’examiner et de redéfinir les masculinités selon des principes féministes.

Voir les commentaires

Rédigé par Last Night in Orient - LNO ©

Publié dans #GénerationÉgalité, #2019, #Maroc, #culture du viol

Repost0

Publié le 28 Septembre 2019

Le discours musclé de Greta Thunberg n'a visiblement laissé personne indifférent. Dans ma génération, nous recherchions Bernard Pivot comme une référence, un esprit lucide et éclairé. J'imagine notre étonnement, notre trouille, si nous avions su qu'il stigmatiserait une jeune autiste...

Brouillon de cuculture...

Un odieux connard.

Un odieux connard.

Voir cette publication sur Instagram

#Pivot à propos de #GretaThunberg... #suédoises

Une publication partagée par Sob Balodis (@sobbal67) le

Voir les commentaires

Rédigé par Last Night in Orient - LNO ©

Publié dans #Greta Thunberg, #Bernard Pivot, #culture du viol, #GénerationÉgalité

Repost0