Publié le 12 Février 2013
Karel Kuehne photography
La musique pour la construction du dialogue interculturel, la Fraternité et la Paix.
Publié le 12 Février 2013
Karel Kuehne photography
Publié le 22 Décembre 2012
Les paroles parlent d'une femme désespérée d'être aimée et disposée à récompenser quiconque oserait éteindre son feu. La chorégraphie était assez suggestive et audacieuse pour son temps.
À cette époque, il y a 40 ans, les enfants devaient quitter la salle lorsque l'émission de télévision annonçait Raffaella Carrá. En noir et blanc, ou en couleur, il était interdit de voir la transmission de la chanteuse italienne, vêtue d'un costume transparent et ajusté à tout son corps, chantant et dansant au son de Caliente caliente.
Pire encore était écouter ses airs. Ceux-ci étaient considérés comme si audacieux et même «vulgaires» pour se référer aux désirs charnels et aussi pour jouer avec l'imagination du public pour dépeindre des femmes blessées pour avoir voulu des hommes qui ont réellement préféré d'autres hommes.
Sans parler des danseurs du Carrá, un regard suffisait, disait-on, à détecter ceux qui étaient efféminés. Même, de nombreux détracteurs du Carrá, en particulier du secteur féminin, ont soutenu que le même chanteur n'était pas une femme, mais un travesti. Les années ont passé et les chansons et poses "le plus chaude" de la Carrá, personne ne les oublie.
Ah ah ah ah ah ah ah ah
ah ah ah ah ah ah ah ah.
Caliente caliente, eo.
Caliente caliente, oa.
Caliente caliente, eo.
Caliente caliente, oa.
Hace tiempo que mi cuerpo
anda loco anda suelto y no lo puedo frenar.
Ah ah ah ah, y no lo puedes frenar.
Por las noches me despierto
abrazada a la almohada y con deseos de amar.
Ah ah ah ah, y con deseos de amar.
Será que ya es primavera (Caliente, caliente), no sé.
Será que ya no me besas (Caliente, caliente), no sé.
Será que tienes a otra
que tus fuerzas agota
y llegas harto de amar.
Ah ah ah ah ah ah ah ah
ah ah ah ah ah ah ah ah.
Caliente caliente, eo.
Caliente caliente, oa.
Caliente caliente, eo.
Caliente caliente, oa.
Hace tiempo que mi cuerpo
está desierto de besos, tu me quieres matar.
Ah ah ah ah, el la quiere matar.
Premio para el caballero
que me bese primero, no se arrepentirá.
Ah ah ah ah, no se arrepentirá.
Será que ya es primavera (Caliente, caliente), no sé.
Será que ya no me besas (Caliente, caliente), no sé.
Será que tienes a otra
que tus fuerzas agota
y llegas harto de amar.
Será que ya es primavera (Caliente, caliente), no sé.
Será que ya no me besas (Caliente, caliente), no sé.
Será que tienes a otra
que tus fuerzas agota
y llegas harto de amar.
Ah ah ah ah ah ah ah ah
ah ah ah ah ah ah ah ah.
Será que ya es primavera (Caliente, caliente), no sé.
Será que ya no me besas (Caliente, caliente), no sé.
Será que tienes a otra
que tus fuerzas agota
y llegas harto de amar.
Será que ya es primavera (Caliente, caliente), no sé.
Será que ya no me besas (Caliente, caliente), no sé.
Será que tienes a otra
que tus fuerzas agota
y llegas harto de amar.
Ah ah ah ah ah ah ah ah
ah ah ah ah ah ah ah ah.
Caliente caliente, eo.
Caliente caliente, oa.
Caliente caliente, eo.
Caliente caliente, oa.
Publié le 16 Mai 2012
Existe-t-il à proprement parler une "culture gay" dans notre société actuelle? La communauté gay, ne fait-elle pas qu'emprunter et s'approprier une culture déjà existante? Mode vestimentaire, littérature...sont aux goûts du jour... mais est-ce suffisant pour parler de "culture gay"?
La culture LGBT, aussi désignée comme culture gaie ou culture queer, est la culture partagée par les minorités sexuelles et de genre, en particulier les personnes Lesbiennes, Gaies, Bisexuelles et Transgenres. Elle désigne à la fois les pratiques culturelles créent par les personnes LGBT dans une optique communautaire, telle que la ball culture ou la littérature lesbienne, mais aussi les productions artistiques qui ne sont pas conçues pour ce public mais y rencontrent une réception particulière. Cette particularité peut se manifester par une réceptivité très forte, par exemple concernant le disco ou le concours eurovision de la chanson, mais prend aussi la forme d'une réappropriation active de productions culturelles par le public LGBT afin d'en enrichir le sens. Toutes les personnes LGBT ne s'identifient toutefois pas à la culture LGBT ; cela peut être dû à la distance géographique, à l'ignorance de l'existence de la sous-culture, à la peur de la stigmatisation sociale ou à la préférence de ne pas s'identifier aux sous-cultures ou communautés basées sur la sexualité ou le genre.
Une chorégraphie de Yanis Marshall très folle et très joyeuse sur les Spice Girls
À une époque où la notion de culture gay continue à faire de nombreux débats et est souvent remise en cause, aussi bien au sein de la communauté homosexuelle qu’en dehors de celle-ci, il est étonnant de constater que celle-ci ait été reconnue par une des plus importantes et plus conservatrices autorités morales au monde…En effet, c’est le Vatican qui a reconnu explicitement l’existence d’une telle culture en indiquant que l’Église ne peut admettre au séminaire et aux ordres sacrés ceux qui pratiquent l’homosexualité pas plus que ceux qui soutiennent la culture dite gay.
Les homosexuels qui produisent des actes culturels sont-ils pour autant des hommes ou de femmes de culture gay ? La culture peut-elle dans ce cas exclusivement s'épanouir dans un ghetto ? Peut-on par ailleurs appeler ghetto, des zone où cette culture est pratiquée (dans le sens américain du mot ghetto où le terme est né, abandon de l'investissement des autorités publiques,...) ou dans toutes les situation au niveau sociologique? --Mario Scolas 13 mai 2012 à 11:03 (CEST)
Le mâle débarque au Musée d'Orsay - du 24 septembre 2013 au 2 janvier 2014
Sujet à de nombreux stéréotypes et appréciations péjoratives dus à la méconnaissance qu'en ont certains hétérosexuels extérieurs ou à une volonté de faire du sensationnalisme, ce genre de mouvement culturel, souvent extrême sur certains points (idéaux, codes vestimentaires, formes d'arts, culture du gay...), peine à garder son identité originelle sur le long terme à cause de son anti-conformisme au sein d'une société qui accepte difficilement ce genre de bouleversement culturel. D'où cet esprit de révolte, que fait passer le terme : une résistance face au monopole de la culture uniforme ou hétérosexuelle.
Les idéaux et principes d'un mouvement underground gay sont souvent véhiculés par diverses mouvances artistiques : musique gay, peinture gay, littérature gay, cinéma gay...
Happy Folsom Street Fair 2013 !
Certains pourraient penser que des parcelles culturelles gay, hier considérées comme underground gay et affectionnées par une quantité restreinte d'individus, se retrouvent intégrées à un phénomène de mode revêtant d'un seul coup un caractère "commercial" (hérésie pour qui prône des valeurs « underground gay »), et qu'on pourrait assister à des joutes verbales (en général stériles) entre les « vrais » et les « faux ». Alors que l'underground gay reste quelques fois éphémère, car certaines mouvances sont récupérées par des circuits de masses, y trouvant un potentiel lucratif.
Symbole de cette culture: le drapeau arc en ciel
Le mot est donc à utiliser avec précaution car il peut être paradoxalement utilisé comme un argument marketing.
Certes une marginalisation ne suffit pas à établir une « culture » mais
Musique et culture gay
On appelle musique LGBT (ou musique lesbienne, gay, bisexuelle et transgenre) la musique focalisée sur les questions LGBT interprétée par des artistes LGBT.
Les paroles sont particulièrement orientées sur l'émancipation homosexuelle, les relations entre personnes de même sexe, l'amour, la liberté, la fierté homosexuelle et l'encouragement du coming out.
Le tango queer est une façon de danser le tango argentin qui ne tient pas compte des rôles hétéronormatifs traditionnels. Le mouvement de tango queer permet non seulement un accès au tango pour la communauté LBGTQ mais soutient également les adeptes de cette danse, quelle que soit leur orientation sexuelle.
Desi Slava & Azis - Kazvash che me obichash (chalga; manele)
Garçon sensible, fêtard bodybuildé, pirate urbain, bobo bi, nana lambda, voisin-voisine, anonyme... Depuis dix ans, le cinéma regarde enfin les gays comme ils sont. L'homo de service a servi, il n'est plus, merci. Et lorsque, sur les écrans, il rencontre son double, tout le monde s'y retrouve. Extrait du Ciel de Paris, de Michel Bena (1992). Marc peine à se déclarer à Lucien : «Mais je suis pédé, tu comprends ? - C'est tout ?» Plus récemment, une scène de Grande École, de Robert Salis (2004), où Mécir coince Paul : «Homo, hétéro, tout ça c'est fini, ça n'a plus d'importance, c'est seulement parce que c'est toi.» Le gay est présent, visible, vivant. C'est un avocat mené par son désir (La Confusion des genres), une cadre sup qui plaque tout pour une effrontée (Un homme, un vrai), un patron (Embrassez qui vous voudrez), un banquier (Pédale douce), un prolo (Beautiful Thing)...
Les mouvements underground gay se distinguent d'une part par une volonté d'être tenu à l'écart des médias de masse mais également des conventions hétérosexuelles. Les protagonistes tiennent à rester dans l'ombre (se développe parfois un certain élitisme gay, chacun voulant rester en compagnie d'autres gens partageant les mêmes passions sans que ces dernières ne soient galvaudées par un effet de mode), hors de la vision du grand public, gay ou non, dans le but avoué de conserver leur « identité culturelle gay » héritée des origines, et d'autre part par des valeurs véhiculées souvent considérées comme n'étant pas politiquement correctes, voire subversives, et toujours dans une optique gay.
Belgian Pride : quand la culture gay façonne la pop culture
Les rues de Bruxelles viennent d'accueillir la Pride Parade, cette grande marche festive qui revendique le droit à tout un chacun d'avoir sa place dans la société sans avoir à subir de ...
La culture gay est une culture assez confidentielle au départ ; on parle d'une culture du placard. Dans les années 60-70, aux Etats-Unis, il existe des cercles LGBT, des clubs, des lieux assez fermés.