culture mexicaine

Publié le 3 Décembre 2023

La méthodologie comprenait les opinions des habitants sur les meilleurs lieux et expériences culturelles, ainsi que l'évaluation des offres culturelles de leurs villes en termes de qualité et d'abordabilité.

Mexico classée meilleure ville culturelle au monde

À la recherche des meilleures villes artistiques et culturelles, Time Out a interrogé plus de 21 .000 habitants de villes du monde entier. 

#CDMX a été placé en première place en raison de son prix abordable et de son accès, étant évalué du point de vue local, en tenant compte des réductions pour les résidents et des événements culturels gratuits, selon Time Out.

Les résidents de CDMX ont fait l'éloge de la scène muséale de la ville qui, selon la liste du gouvernement de la capitale, comprend désormais 182 musées, couvrant tous les sujets, de l'archéologie précolombienne à l'art contemporain en passant par la science planétaire.

Beaucoup de ces musées sont gratuits en permanence ou offrent une entrée gratuite le dimanche aux résidents mexicains, et plusieurs sont installés dans des bâtiments spectaculaires qui sont des attractions en eux-mêmes, notamment le néo-baroque Palacio de Bellas Artes et l'ultra-moderne Musée Soumaya.

Les résidents du CDMX ont également attiré l'attention sur les défilés de rue uniques de la capitale, la variété de l'architecture originale, coloniale et moderne et sa scène théâtrale.

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Rédigé par Last Night in Orient - LNO ©

Publié dans #Culture mexicaine, #Culture, #Musées, #Mexico, #Tourisme culturel

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Publié le 1 Juin 2022

Magique, amoureuse de la musique mexicaine, libre, fidèle à ses convictions, artiste en transition et vindicative, ce ne sont là que quelques-unes des nombreuses caractéristiques qui définissent La Bruja de Texcoco, une icône LGBT qui incarne les traditions du Mexique et qui enchante avec leurs instruments.

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Rédigé par Last Night in Orient - LNO ©

Publié dans #La Bruja de Texcoco, #musique mexicaine, #Culture gay, #Culture mexicaine

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Publié le 10 Février 2022

"Il y a du temps, il y a du temps", c'est le message que le grand Manuel Álvarez Bravo avait écrit sur un morceau de papier - l'un des photographes latino-américains les plus importants du XXe siècle, qui a travaillé pour les muralistes Diego Rivera, José Clemente Orozco et David Alfaro Siqueiros– et qu'il avait accroché au mur de son bureau. Et Graciela, qui était son assistante, a appris cette leçon, avec tant d'autres. " Manuel a été mon professeur dans la vie. Cela a changé ma façon de penser, cela m'a appris à voir les choses de tant de points de vue."

María Graciela del Carmen Iturbide Guerra (née le 16 mai 1942 à Mexico) est une photographe mexicaine. Elle est l'une des étoiles de la photographie mexicaine. Elle est connue pour ses travaux auprès des femmes autochtones du Mexique. La Fondation Cartier lui consacre une rétrospective. Elle a développé le concept de la photographie documentaire pour explorer les relations entre l'humain et la nature, l'individuel et le culturel, le réel et le psychologique. Iturbide capture la vie quotidienne presque toujours en noir et blanc. Elle se laisse emporter par sa curiosité et photographie simplement ce qu'elle aime. Elle s'est inspirée des travaux de Josef Koudelka, Henri Cartier-Bresson, Sebastião Salgado et Manuel Álvarez Bravo. Iturbide évite les étiquettes sociales et se considère comme complice des personnes qu'elle documente. Il a été dit qu'Iturbide a sa propre manière d'entrer en relation avec les gens. Elle réalise des portraits où la poésie et la vie elle-même se démarquent. 

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