esclavage

Publié le 11 Mai 2020

Dictadura 3.0 : el totalitarismo cibernético - Psicopolítica: Neoliberalismo y nuevas técnicas de poder
Dictadura 3.0 : el totalitarismo cibernético - Psicopolítica: Neoliberalismo y nuevas técnicas de poder
Dictadura 3.0 : el totalitarismo cibernético - Psicopolítica: Neoliberalismo y nuevas técnicas de poder

Dictadura 3.0 : el totalitarismo cibernético - Psicopolítica: Neoliberalismo y nuevas técnicas de poder

Nuestro mundo se está desviando peligrosamente hacia una sociedad aún más deshumanizada y individualista que antes, una sociedad donde el ocio colectivo ya no existirá, donde la libertad de movimiento y de trabajo será limitada, donde Big Brother nos rastreará aún más Se prohibirán las manifestaciones, donde nuestros niños se verán obligados a vivir en condiciones no elegibles para aprender y aprender en la escuela, y donde las aplicaciones de GPS e inteligencia artificial nos dirán qué hacer, cuándo salir y dónde ir.

En resumen, una sociedad de esclavos donde los miembros de la misma familia ya no podrán besarse y donde ya no veremos las sonrisas y las emociones de los demás, ocultas bajo sus máscaras.

Y si se ve obligado a salir con un brazalete electrónico, ¿lo hará? Este ya es el caso, su teléfono inteligente es una pulsera electrónica.

¡Recuerda que no hay más amos si te niegas a asumir el papel de esclavos! Recuerde que su cuerpo tiene muchos más virus y bacterias que las células humanas.

Vivir confinados nos debilitará a todos a largo plazo, nuestra inmunidad se volverá más frágil, es la puerta abierta a otras pandemias. Las otras grandes pandemias en la historia de la humanidad tuvieron lugar cuando los aeropuertos y el tráfico aéreo no existían.

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Rédigé par Last Night in Orient - LNO ©

Publié dans #Coronavirus, #Anthropologie, #Big Brother, #Covid-19, #Dictadura 3.0, #Politique, #Esclavage, #2020, #Actualités

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Publié le 9 Novembre 2019

Comme dans presque tous les pays d'Amérique latine, les esclaves noirs ont été amenés avec la conquête espagnole en Bolivie et au Pérou pour travailler dans les mines ou les tâches ménagères. Ils ont été montrés dans de grandes processions par leurs maîtres dans le cadre de leur richesse. Cela a donné lieu à des "arrêts" ou "défilés" dans lesquels les indigènes et les métis font la satire des Noirs. Chaque année, à Oruro, en Bolivie, se déroule l’un des principaux défilés de défenseurs de la Virgen del Socavón. De même à Puno, au Pérou, un autre non moins important dédié à la Virgen de la Candelaria.

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Rédigé par Last Night in Orient - LNO ©

Publié dans #Bolivie, #Esclavage, #Religion, #Mamá Panchita, #Antes de Morir

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Publié le 7 Novembre 2019

Le 28 novembre 2017 mourait dans la plus grande indifférence une légende de la musique colombienne, j’ai nommé Magín Díaz. Âgé de 94 ans, il aura marqué à tout jamais une génération en reprenant des chansons traditionnelles telles que « Rosa, que linda erez » qui a été reprise notamment par le chanteur colombien Carlos Vives, « Por el Norte Por el Sur » ou encore « Me amarás ». Il aura fallu cependant attendre cette décennie pour que sa carrière solo puisse connaître un regain d’intérêt avec son premier album Magín y Santiago en 2012. Six mois avant son tragique décès, la voix d’or de Mahates a fait paraître son troisième et ultime opus intitulé El Orisha de la Rosa.

Il existe deux manières, parfois antagonistes, de reconstruire l’histoire. La première consiste en des données solides et scientifiques étayées par des enregistrements physiques des faits. La seconde est à travers l’histoire orale qui, en l’absence de documents, utilise la mémoire personnelle et collective, la créativité, l’imagination et un désir illimité de se réinventer. Il convient de noter qu'entre la date de naissance de Magin et l'abolition de l'esclavage, il ne reste que 71 ans, ce qui signifie que peut-être ses grands-parents portaient toujours le fardeau de l'esclavage.

Magín interprète avec ressenti une chanson qu'il a composée pour la douleur dans l'âme d'un être perdu et ne plus jamais revoir, Rosa.

Il entra dans l'industrie du disque des années 1980 en tant que membre de Los Soneros de Gamero et des Wadingos. Cependant, ces enregistrements n'ont pas permis de surmonter la marginalité politique et sociale de la Colombie. La reconnaissance est venue après ses 90 ans.

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