flamenco

Publié le 5 Septembre 2011

María Jiménez Gallego est une chanteuse espagnole née à Séville en 1950. Ses chansons et ses spectacles sont populaires.

Sa carrière débute dans des tablaos comme Las Brujas parrainée par La Pipa, durant les premières années suivant le franquisme.

En 1976, elle sort son premier album, contenant des rumbas, des tangos, des bulerías, des boléros, des rancheras avec des arrangements du guitariste Paco Cepero et des baladas de Silvio Rodríguez, Lolita de la Colina ou Amancio Prada. Puis elle publie Sensación et diverses compilations.

Sa carrière artistique fut relancée grâce à sa collaboration dans la chanson La lista de la compra du groupe La cabra mecánica et au disque Donde más duele, avec des chansons de Joaquín Sabina.

Elle était mariée avec l'acteur Pepe Sancho. Ils ont eu un fils, Alejandro, et fille, María del Rocío, morte dans un accident de la route.

Ni yo bordo pañuelos, ni tu rompes contratos
Ni yo mato por celos, ni tu mueres por mi
Y antes de que me quieras como se quiere a un gato
Me largo con cualquiera que se parezca a ti
De par en par te abro las puertas que cierras
Me cuentan que el olvido no te sienta tan mal
La paz que has elegido es pero que mi guerra, lo que pudo haber sido, lo que nunca será

Yo en cambio nunca supe ir a favor del viento
Que muerde las esquinas de esta ciudad limpía
Pobre aprendiz de brujo que escupe al firmamento
Desde un hotel de lujo, con dos, con dos camas vacías

¿y quién hará tu trabajo debajo de mi falda?
La boca que era mia ¿de qué boca será?
El roto de tu ombligo ya no me da la espalda cuando pierdo contigo las ganas de ganar

Como pago al contado, nunca me falta un beso
Siempre que me confieso me doy la absolución
Ya no cierro los bares ni hago tantos excesos
Cada vez son más tristes
Las canciones de amor

Yo en cambio nunca supe ir a favor del viento

Aunque nunca me callo, guardo un par de secretos
Lo digo de hombre a hombre, de mujer a mujer
Ni me caso con nadie, ni le pongo amuletos
Por no tener no tengo ni edad de merecer

Quien hará tu trabajo debajo de mi falda

Maldita sea la tinta que empapa mis papeles
Maldita la tercera persona del plural
Las uñas que se clavan ahí donde más duele
Si se me corre el rimel cuando me haces llorar

Y como pago al contado nunca me falta

Voir les commentaires

Rédigé par Last Night in Orient

Publié dans #musiques espagnoles, #Maria Jimenez, #Joaquín Sabina, #Con dos camas vacías, #flamenco

Repost0

Publié le 30 Juillet 2011

Diego el Cigala acompaña a Rosario en uno de sus conciertos en Barcelona. (Fué emitido por la 1 de tve) y cantan juntos un tema de Nino Bravo en homenaje a él. "Te quiero, Te quiero"

Voir les commentaires

Rédigé par Last Night in Orient

Publié dans #flamenco

Repost0

Publié le 5 Février 2010

http://1.bp.blogspot.com/_BiaWmg15OX8/SNlo9yJOAxI/AAAAAAAAAFo/ktf5B18lz5Y/s400/Lola+Flores.jpg
María Dolores Flores Ruiz, dit 
Lola Flores, ou encore "La Faraona" - La pharaone...fut une célébrissime chanteuse, danseuse et actrice espagnole née le 21 janvier 1923 à Jerez de la Frontera (Cadix), et décédée le 16 mai 1995 d'un cancer du sein dans a résidence de El Lerele.

Elle débuta sa carrière en se produisant avec le chanteur de flamenco Manolo Caracol avec qui elle a travaillé jusqu'en 1951. On se souvient d'elle interprétant des rôles de gitanes à tempérament fort.

Lola Flores commence pour le cinéma, dans «La Martingala» un film du réalisateur Fernando Mignoni, avec le célèbre chanteur de flamenco Niño de Marchena. Elle signe un contrat pour travailler à Gijon dans les Asturies et alterne tournées et participation à des films qui comprennent des intermèdes chantés et dansés.
Elle triomphe à Madrid au milieu des années 1940 avec un spectacle intitulé «Zambra» à côté de Manolo Caracol qui devient son partenaire et tournent «Embrujo» (1946) de Carlos Serrano de Osma. S'ensuit une tournée en Amérique latine.
A partir des années 1950, la diva reprend le cinéma pour chanter dans
«Trafiquants d’opium» de Julien Duvivier. 
35942_152251348123128_100000147924812_530413_8023247_n--1-.jpg
Lola Flores avec l'acteur  José Suárez

En 1953, Lola Flores fonde sa propre compagnie. Parmi ses musiciens se trouve le guitariste Antonio González dit El Pescaílla qui devient son époux. Ce dernier est considéré comme l'un des pères de la rumba catalane dont le style a inspiré une multitude d'artistes.

Elle a deux filles : Rosario Flores et Lolita Flores et un fils Antonio Flores, artistes.

La Faraona reçut les honneurs de Rocio Jurado, à de nombreuses occasions devant les caméras de télévision..

 

  • La zarzamora

  • Maria de la O

  • A tu vera

  • Ay pena penita

  • "Limosna de amores" (in El disco de oro - Seeco records, INC)



    Texte de Mario Scolas sur Wikipedia 

Voir les commentaires

Rédigé par Last Night in Orient

Publié dans #Lola Flores, #musiques espagnoles, #Flamenco, #Coplas

Repost0