jacques plante

Publié le 5 Avril 2021

Bohemia de París, alegre lo que gris
De un tiempo ya pasado
En donde en un desván con traje de can-can
Posabas para mí

Y yo, con devoción, pintaba con pasión
Tu cuerpo fatigado
Hasta el amanecer, a veces sin comer
Y siempre sin dormir

La bohemia, la bohemia
Era el amor, felicidad
La bohemia, la bohemia
Era una flor de nuestra edad

Debajo de un quinquel, la mesa del café
Feliz nos reunía
Hablando sin cesar, soñando con llegar
La gloria conseguir

Y cuando algún pintor hallaba un comprador
Y un lienzo le vendía
Solíamos gritar, correr y pasear
Alegres por París

La bohemia, la bohemia
Era jurar que yo te amé
La bohemia, la bohemia
Yo junto a ti triunfar podré

Teníamos salud, sonrisa y juventud
Y nada en los bolsillos
Con frío con calor, el mismo buen humor
Bailaba nuestro ser

Luchando siempre igual, con hambre hasta el final
Hacíamos castillos
Y el ansia de vivir nos hizo resistir
Y no desfallecer

La bohemia, la bohemia
Era mirar y amanecer
La bohemia, la bohemia
Era soñar con un querer

Me regresé a París, crucé su niebla gris
Y lo encontré cambiado
Las lilas ya no están, ni suben al desván
Moradas de pasión

Soñando, como ayer, rondé por mi taller
Mas ya lo han derrumbado
Y han puesto en su lugar abajo un café bar
Y arriba una pensión

La bohemia, la bohemia
Que yo viví solo se perdió
La bohemia, la bohemia
Era una flor y al fin murió

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Rédigé par Last Night in Orient - LNO ©

Publié dans #La Bohème, #Buika, #La bohemia, #Jacques Plante, #Charles Aznavour, #Augusto Alguero

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Publié le 3 Janvier 2018

Vamos a cantar la cancion del mexicano
Con el sombrero

Un mexicain basané
Est allongé sur le sol
Le sombrero sur le nez
En guise en guise en guise en guise en guise en guise de parasol

Il n'est pas loin de midi d'après le soleil
C'est formidable aujourd'hui ce que j'ai sommeil
L'existence est un problème à n'en plus finir
Chaque jour chaque nuit c'est la même : il vaut mieux dormir

Rien que trouver à manger, ce n'est pourtant là qu'un détail
Mais ça suffirait à pousser un homme au travail aïe aïe aïe aïe aïe aïe
J'ai une soif du tonnerre, il faudrait trouver
Un gars pour jouer un verre en trois coups de dés

Je ne vois que des fauchés tout autour de moi
Et d'ailleurs ils ont l'air de tricher aussi bien que moi
Et pourtant j'ai le gosier comme du buvard, du buvard
Ça m'arrangerait bougrement s'il pouvait pleuvoirrrrrrrrrrrrr

refrain

Voici venir Cristobal, mon Dieu qu'il est fier
C'est vrai qu'il n'est général que depuis hier
Quand il aura terminé sa révolution
Nous pourrons continuer tous les deux la conversation

Il est mon meilleur ami, j'ai parié sur lui dix pesos
Et s'il est battu je n'ai plus qu'à leur dire adios
On voit partout des soldats courant dans les rues
Si vous ne vous garez pas ils vous marchent dessus

Et le matin quel boucan, sacré non de nom
Ce qu'ils sont agaçants, énervants, avec leurs canons
Ça devrait être interdit un chahut pareil à midi
Quand il y a des gens, sapristi, qui ont tant sommeil

refrain

La la la…

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Rédigé par Last Night in Orient

Publié dans #Marcel Amont, #Chanson française, #Jacques Plante, #Charles Aznavour

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