jazz

Publié le 6 Octobre 2018

Rédigé par Last Night in Orient

Publié dans #Tony Bennet, #Diana Krall, #Love Is Here To Stay, #Jazz

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Publié le 13 Septembre 2018

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S’il est admis que le jazz est né à La Nouvelle-Orléans, c’est en 1918, après le débarquement des troupes américaines à Brest, que les Français lient leurs premiers contacts avec des musiciens noirs. Certains restent en France durant les années 20 où ils lancent la nouvelle musique syncopée, le jazz. Des talents se révèlent, des orchestres se forment, accompagnent des revues ou des chanteurs, gravent des disques, animent les scènes des music-halls, puis dans les années 30, accueillent les légendaires formations noires américaines. Le succès va croissant jusqu’aux heures sombres de la Seconde Guerre mondiale.

Cette exposition conçue par CEMJAZZ, Centre européen des musiques de jazz de Chevilly-Larue, est une promenade visuelle et auditive parmi ceux qui embellirent le jazz flamboyant des débuts, une invitation à s’intéresser à ces remarquables musiciens, chanteurs ou danseurs qui ont coloré – et colorent encore – la vie et les rêves de nombreuses générations.

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Rédigé par Xavier Prévost

Publié dans #Jazz, #Bons plans, #2018, #France, #Nogent-sur-Marne

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Publié le 8 Septembre 2018

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Enfant prodige de la Tunisie, grand maître du oud, vocaliste et compositeur, Dhafer Youssef juxtapose, dans son dernier album «Diwan of Beauty and Odd », la musique ancienne, mystique et hypnotique du soufisme avec la texture du jazz actuel. Dans un entretien, il dit s’intéresser « au soufisme comme au jazz quand il est spirituel chez Coltrane et même Miles Davis. ». Ce qui l’intéresse « dans le mysticisme aujourd’hui c’est l’esprit, la musique, et non pas la croyance en elle-même […]  Mes improvisations et mes compositions naissent d’intuitions sans trop de réflexion, une sorte d’“illumination”.

« Diwan Of Beauty And Odd » nous emporte, évoque l’envol, la transe. Les vocalises, très haut perchées, en constituent un élément fondamental. Qu’il revendique une sensibilité à l’art du Tajwid (la psalmodie du Coran) est également un indicateur fort. Il dit lui-même que « quand [il était] petit, (s)es “rock stars” ont été les récitants du Coran Abdi El Basset Abdasamad ou Mohamed Omran, [et qu’il] les voit encore aujourd’hui comme des “jazzmen”. »

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Rédigé par Bad Ass

Publié dans #Dhafer Youssef, #Musiques tunisiennes, #Jazz

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