keiko fujimori

Publié le 19 Avril 2021

Le candidat à la présidence du Pérou Libre, Pedro Castillo , a minimisé les récentes déclarations du prix Nobel de littérature, Mario Vargas Llosa , qui considérait que «les Péruviens devraient voter pour Keiko Fujimori» pour représenter «le moindre mal».

«Il y a l'expérience politique qui s'est produite. Les gens sont des adultes, nous sommes mûrs et chacun a une responsabilité et une position. Je ne vais pas m'en occuper, j'ai un agenda plus précis concernant les grands problèmes du peuple péruvien ».

, a-t-il déclaré au RPP Noticias.

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Rédigé par Last Night in Orient - LNO ©

Publié dans #Mario Vargas Llosa, #Pedro Castillo, #Keiko Fujimori, #2021, #Élections générales péruviennes de 2021

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Publié le 18 Avril 2021

Mario Vargas Llosa est une personnalité opportuniste qui s'est engagé en politique tout au long de sa vie. Ses opinions se sont progressivement glissées du communisme vers les personnalités impliquées dans la corruption néolibérale. Il suscite des réactions très négatives au Pérou. Défenseur de la révolution cubaine comme beaucoup d’écrivains de sa génération, il retourne sa veste dans les années 1970 et devient un fervent admirateur des penseurs néolibéraux.

Mario Vargas Llosa est une personnalité opportuniste qui s'est engagé en politique tout au long de sa vie. Ses opinions se sont progressivement glissées du communisme vers les personnalités impliquées dans la corruption néolibérale. Il suscite des réactions très négatives au Pérou. Défenseur de la révolution cubaine comme beaucoup d’écrivains de sa génération, il retourne sa veste dans les années 1970 et devient un fervent admirateur des penseurs néolibéraux.

Vargas Llosa est en mode Alzheimer...il n'y a pas d'autre réponse.

Le 10 octobre 2018, Keiko Fujimori est arrêtée par la police. Le 18 octobre, elle est libérée pour vice de procédure. Le 1er novembre, elle est de nouveau arrêtée. Sur décision du Tribunal constitutionnel, elle est libérée le 29 novembre 2019, après plus d'un an de détention provisoire. Elle est remise en prison le 29 janvier 2020. La justice fait droit à sa demande de libération sous caution le 30 avril suivant, dans le cadre de la pandémie de Covid-19 ; après le paiement d’une garantie financière de 70 000 soles (environ 19 000 euros), elle est relâchée le 5 mai.

En mars 2021, trente ans de prison sont requis à son encontre pour « blanchiment, appartenance au crime organisé, entrave à la justice et fausses déclarations ». La dissolution de son parti Force populaire est aussi demandée. Keiko Fujimori réagit en évoquant une « persécution », alors qu'une élection présidentielle à laquelle elle participe doit se tenir un mois plus tard.

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