lenin moreno

Publié le 14 Octobre 2019

Fin de la crisis en Ecuador, el gobierno retira su controvertido decreto. Las dos partes acordaron la preparación de "un nuevo decreto que cancele el decreto 883" sobre la gasolina, y "con este acuerdo la movilización termina", dijo Arnaud Peral, representante en Ecuador. ONU, que facilitó el diálogo con la Iglesia Católica.

Fin de la crisis en Ecuador, el gobierno retira su controvertido decreto. Las dos partes acordaron la preparación de "un nuevo decreto que cancele el decreto 883" sobre la gasolina, y "con este acuerdo la movilización termina", dijo Arnaud Peral, representante en Ecuador. ONU, que facilitó el diálogo con la Iglesia Católica.

El gobierno ecuatoriano y el movimiento indígena llegaron a un acuerdo el domingo para poner fin a la crisis social sin precedentes que paralizó al país durante 12 días, gracias a la retirada del controvertido decreto que elimina los subsidios al combustible.

"Se levantan las medidas aplicadas en todos nuestros territorios", confirmó el presidente de la Confederación de Nacionalidades Indígenas del Ecuador (Conaie), Jaime Vargas, con la cara pintada y la cabeza con una corona de plumas. Potente y organizada, había traído en los últimos días a miles de sus miembros de los Andes y el Amazonas para acampar en Quito. Y en el pasado, ella ya derrocó a tres presidentes.

La comunidad indígena, una cuarta parte de la población, encabezó la protesta contra las reformas económicas negociadas con el Fondo Monetario Internacional (FMI) a cambio de un préstamo de $ 4.2 mil millones, cuya medida fue El más controvertido fue el Decreto 883, cuyo efecto fue duplicar los precios en la bomba.

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Rédigé par Last Night in Orient - LNO ©

Publié dans #Ecuador, #2019, #Actualités, #Lenín Moreno

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Publié le 13 Octobre 2019

Quelque 350 Équatoriens se sont rassemblés cette après-midi, sur la Place de l’Europe, dans le centre de Bruxelles, afin de protester contre les violences policières lors des manifestations contre le gouvernement Moreno, dont ils ont demandé la démission.

Au début de 2019, le FMI a approuvé un prêt de 4,2 milliards de dollars pour l'Équateur. En avril 2019, la Banque mondiale a approuvé le projet de filet de sécurité sociale pour l'Équateur.

Le 2 octobre 2019, le président Lenín Moreno a annoncé plusieurs mesures économiques fondées sur le marché libre, notamment la libération du prix de l'essence et du diesel, la fixation de la taxe sur la valeur ajoutée (TVA) de 12% sans augmenter les années suivantes, l’incorporation de 300 000 familles à un million trois cent mille qui reçoivent déjà des obligations différentes de l’État, ainsi que le versement de contributions de certaines entreprises pour que le gouvernement investisse dans l’éducation en matière de santé et de sécurité.

Dans le cadre de ces mesures économiques, une vague de manifestations en Équateur a commencé à rejeter le nouveau paquet économique proposé par l'exécutif. Avec environ 350 détenus, Moreno a annoncé l'état d'urgence le 4 octobre dans le pays suite à des manifestations contre le gouvernement, qui ont déclenché le pillage, le crime, l' obstruction des voies publiques, ainsi que divers affrontements avec les forces de sécurité de l'Etat. Moreno a fait face aux critiques des dirigeants de l'opposition équatorienne, comme Jaime Nebot, qui a critiqué la décision du président a fini par affecter les travail des classes. De même, son ancien candidat rival aux élections de 2017, Guillermo Lasso, a déclaré: "des mesures économiques tardives", ainsi que des "populismes et un leadership démagogique" rejetés. Malgré cela, Moreno déplacé à Guayaquil suggérant que les différents secteurs du pays pour déstabiliser son gouvernement, annonçant qu'il ne donnerait pas et que « en aucun cas inversera les mesures économiques ».

En réaction aux grèves et manifestations qui s'ensuivent — les plus importantes depuis une vingtaine d'années —, le pouvoir décide d'instaurer l'état d'urgence et un couvre-feu pour une durée d'au moins 30 jours.  Les heurts font cinq morts parmi les civils (dont un dirigeant indigène), 554 blessés et 929 arrestations (au 10 octobre).

Moreno accuse son prédécesseur, le président vénézuélien, Nicolás Maduro, et les guérilleros colombiens des FARC d'avoir fomenté la révolte.

Le gouvernement envisage en 2019 de permettre la présence d'avions militaires américains sur l'archipel des Galapagos en échange de travaux de rénovation de l’aéroport de cette île par Washington. Les organisations environnementales dénoncent l’impact négatif que ferait peser cette décision sur la biodiversité, et ce alors que la Constitution interdit depuis 2008 l’installation de bases militaires étrangères sur le sol équatorien.

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Rédigé par Last Night in Orient - LNO ©

Publié dans #Bruxelles, #Équateur, #Lenín Moreno, #2019, #Actualités, #politique

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