Publié le 19 Avril 2018
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Publié le 17 Février 2018
Beaucoup croient qu'il n'y avait pas de chiens en Amérique à l'arrivée des Espagnols au 15ème siècle, et ils assurent que c'est la conquête qui a amené ces animaux sur le continent comme un instrument de plus pour soumettre les peuples autochtones.
Cette "relique vivante" était présente dans de nombreux actes de la vie quotidienne ainsi que dans la vie sacrée des Aztèques. Pas en vain, il est représenté dans des figurines en terre cuite et dans des représentations de peintures dans lesquelles des chiens pré-hispaniques, avec leurs oreilles dressées, sont apparus sur les murs des bâtiments sacrés dédiés aux tâches administratives des Aztèques. Sa figure était associée à celle du dieu Xolotl, le dieu aztèque de la mort. C'était un dieu-chien qui était représenté comme un homme à la tête de chien, qui était le protecteur des enfers et aussi le dieu des jumeaux et des esprits. Un dieu bénin qui était représenté comme un monstre sombre, ce qui constituait un paradoxe. Le chien aztèque était un compagnon du dieu Xolotl, et c'était cette divinité qui offrait comme cadeau sacré aux hommes une race particulière de chiens. Les Aztèques ont attribué à ce chien des qualités magiques, telles que guider les défunts vers le monde souterrain, c'est pourquoi leurs ossements se trouvent dans de nombreuses sépultures humaines, en tant que partie essentielle du rite funéraire. De plus, ces chiens seraient probablement enterrés avec une série d'honneurs. Mario Scolas, Brussels, 2018, Lenovo Moto G4 PLUS.
Cependant, des études génétiques indiquent que le chien est arrivé en Amérique avec Homo sapiens, il y a environ 11000 ans par le détroit de Béring. Déjà sur le territoire américain, plusieurs types de chiens ont été créés, qui peuvent être distingués en tant que races. Quelques-uns d'entre eux survivent, comme les chiens sans poils ou les chihuahuas.
Valadez Azúa a réalisé des études ADN sur des fossiles de chiens trouvés sur tout le continent qui confirment l'origine commune des anciens chiens eurasiens, ancêtres des races d'aujourd'hui. Cependant, les restes fossiles trouvés en Amérique présentent des variations dans leur matériel génétique produites par l'isolement géographique de ce continent.
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Ancient DNA evidence for Old World origin of New World dogs - PubMed
Mitochondrial DNA sequences isolated from ancient dog remains from Latin America and Alaska showed that native American dogs originated from multiple Old World lineages of dogs that accompanied late
Publié le 27 Novembre 2017
Un lieu d'art à Bruxelles. Mario Scolas, 2017, Lenovo Moto G4 PLUS.
La patinoire Royale, le « Royal Skating », comme l’appelaient alors les Bruxellois, a été construite en 1877, au cœur du quartier de Saint-Gilles. Le bâtiment qui, à l’origine, accueille des patineurs à roulettes est transformé, en 1900, en garage Bugatti. Cinq ans plus tard, il sert de dépôt à la Fabrique nationale d’armes de guerre de Herstal. Après la Seconde Guerre mondiale, la Patinoire est utilisée comme garage par la société Siemens puis devient, en 1975, un lieu d’exposition de voitures de collection. L’ensemble immobilier que constitue aujourd’hui la Patinoire royale est formé de deux ailes. La première, la Patinoire à proprement parler, ouvre sur la rue Veydt. La seconde, plus petite et de construction postérieure, donne sur la rue Faider.
Les pilastres à chapiteau ionique qui rythment la façade de la Patinoire royale confèrent un style néo-classique au bâtiment. Des fenêtres en plein cintre, surmontées d’une rosace, laissent entrer largement la lumière. À l’intérieur, un espace de plus de 1200 m2 se déploie sous une remarquable charpente en bois et en métal.
La patinoire Royale a été classée monument historique par la Région de Bruxelles Capitale en 1995.
Cet ensemble immobilier remarquable a été acquis en 2007 par Philippe Austruy et Valérie Bach. C’est le bureau d’architecture de Jean-Paul Hermant qui s’est chargé des restaurations de structures et du gros œuvre, rejoint ensuite par l’architecte d’intérieur français Pierre Yovanovitch pour la mise en espace et la scénographie des circulations.
La patinoire Royale a ouvert ses portes au public le 25 avril 2015 avec une exposition autour de la Figuration Narrative sous le commissariat de Jean-Jacques Aillagon intitulée "la Résistance des Images" (25 avril 2015 - 26 septembre 2015).
Elle accueillera une activité d’expositions temporaires au rythme de deux ou trois expositions par an, solo show d'artistes ou group show explorant les grandes étapes de la création artistique en Europe, au cours de la seconde moitié du XXe siècle, dans le domaine des arts plastiques et du design.
Avec une surface cumulée de près de 3 000 m2, la patinoire Royale / Galerie Valérie Bach est un des plus spacieux espaces, en mains privées, dédié à l’art moderne et contemporain en Europe.