maggie de block

Publié le 1 Avril 2021

Libéralisme et racisme: les deux faces d'une même médaille. Le racisme entretient un lien vital avec le libéralisme.

Sous le soleil noir du libéralisme, le racisme entretient un lien vital avec cette idéologie.

Sous le soleil noir du libéralisme, le racisme entretient un lien vital avec cette idéologie.

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Rédigé par Last Night in Orient - LNO ©

Publié dans #Racisme en Belgique, #racisme, #Néolibéralisme, #Luc Asselman, #Maggie De Block, #Politique, #Négrophobie, #2021, #citation

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Publié le 25 Juin 2020

Quand un travailleur fait une grosse erreur dans son job, il est bien souvent renvoyé pour faute grave. La ministre, elle, accumule les fautes (graves). Comme celle de détruire des stocks de masques pour faire des économies. Il faut siffler la fin de la récréation.

Et comme l'été approche, voilà le top 5 des coups de coeur de Wallonie (et d’ailleurs). Mais avant, éliminons le racisme, ce poison des puissants pour diviser le peuple. Et exigeons la vérité sur ce qui s'est passé dans nos maisons de repos.

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Rédigé par Last Night in Orient - LNO ©

Publié dans #Maggie De Block, #Coronavirus, #Politique, #Racisme, #Belgique

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Publié le 9 Juin 2020

Le confinement par le coronavirus Covid-19 est à l'origine de ce syndrome, qui touche particulièrement les personnes vulnérables. Le retour à la normale n'est pas aussi facile pour tout le monde: certains ont peur de quitter leur domicile à cause de la possibilité de contracter la maladie.

Avec le début du déconfinement, un processus de retour à la normalité ou à la soi-disant «nouvelle normalité» a commencé, qui n'est pas géré émotionnellement de la même manière par tout le monde. Il y a des cas de personnes qui ont peur de sortir, c'est ce qu'on appelle le «syndrome de la cabane».

Il s'exprime par une peur de contacter d'autres personnes à l'extérieur des murs de la maison, la peur de mener des activités habituelles, comme travailler à l'extérieur du domicile, prendre les transports en commun, rencontrer d'autres personnes connues, etc. Ce syndrome implique une série de pensées catastrophiques liées à ce qui se trouve au-delà des limites de la maison, se rapportant au niveau physiologique à l'émotion de la peur et de toutes ses manifestations (tachycardie, hyperventilation, transpiration...). 

Est-ce normal d'avoir peur? Que peut-on faire pour y remédier?

Il est important de noter qu'il ne s'agit pas d'un trouble psychologique, ni d'une maladie mentale. Ce troubles liés au déconfinement n'est pas codifié comme tel, ni reconnu par l'American Psychological Association (APA). Pourquoi le syndrome de n'est-il pas considéré comme tel? Parce que son origine n'est pas claire et il n'y a pas assez d'études pour  soutenir cette thèse.

On parle de syndrome lorsqu'une personne éprouve un ensemble de symptômes et de réactions, à la fois émotionnels, cognitifs et moteurs après une certaine expérience de vie et auxquels ils sont étroitement liés.

Au début de la crise sanitaire, de nombreuses personnes ont vécu l'isolement comme une perte soudaine de liberté. Cependant, avec l'avance des semaines, nous nous sommes habitués à l'isolement: le foyer est devenu un refuge, un espace protégé et synonyme de sécurité. Nous sommes passés de la maison comme prison à la maison comme refuge.


La peur dépend de ce que chacun a vécu. Il est nécessaire de prendre en compte si une personne dans notre environnement est tombée malade ou est décédée, si nous connaissons des cas graves, si nous faisons partie de la population à risque ou si nous vivons avec des personnes qui sont allées travailler pendant les semaines les plus critiques.

La perception de la réalité change en fonction des expériences individuelles. Dans le cas des médecins, par exemple, l'émotion qui prédomine le plus est la rage, la colère envers ceux qui partent sans protection ou qui ne respectent pas les mesures de sécurité, et cela se produit parce qu'ils ont été exposés à des situations très extrêmes.

 

«Rester à la maison» a été la devise principale pour faire face à cette nouvelle pandémie. Blijf in uw Kot, les mots du confinement préférés de la ministre belge de la Santé Publique Maggie De Block.

Les sorties doivent être progressives, afin que chacun puisse réguler ce dont il a besoin et comment. D'autant plus que les sorties pour marcher et faire de l'exercice sont autorisées, selon les horaires, il est utile d'en profiter pour graduer notre contact avec l'extérieur. Soit par le simple fait de s'exposer à la rue, au bruit, à d'autres inconnus, mais aussi à pouvoir utiliser ces sorties pour faire quelque chose que l'on aime ou qui peut nous donner une légère sensation agréable, au moins au début. 

Profitez du soleil sur votre peau, facilitez le contact avec quelque chose de la nature comme un parc ou la mer. Si nous associons le départ, qui nous submerge, à une conséquence du plaisir (dans les limites des possibilités existantes), il nous est un peu plus facile de répéter l'expérience le lendemain.

La deuxième chose à considérer pour atténuer les symptômes du "syndrome de la cabane" est de respecter et de suivre les protocoles de sécurité stipulés . Face à la peur de la contagion, ces schémas de distanciation sociale, de lavage des mains et d'utilisation d'un masque (entre autres) peuvent nous procurer un certain sentiment de sécurité.

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Rédigé par Last Night in Orient - LNO ©

Publié dans #Covid-19, #Blijf in uw Kot, #syndrome de la cabane, #Maggie De Block

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