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Publié le 15 Février 2018

En La Divina Comedia de Dante, Anteo es un gigante que guarda el noveno círculo del Infierno.

En La Divina Comedia de Dante, Anteo es un gigante que guarda el noveno círculo del Infierno.

Varios mitos y leyendas expresan la curiosidad que despertó el "Lejano Oeste" del mundo: fue allí donde vivió Atlas, el gigante de la mitología griega, que da nombre a la cadena de montañas. Condenado por Zeus, por su insubordinación, para llevar sobre sus poderosos hombros la bóveda celeste.

Fue en Tánger donde Hércules abrió el Estrecho de Gibraltar cortando dos montañas con una espada, separando definitivamente Europa de África. Y es en esta región que los atlantes, pueblo mítico descendiente del dios del océano, se estableció para fundar un poderoso imperio que se extiende, según la leyenda, desde Senegal hasta las Islas Británicas.

La historia de Marruecos, antes del advenimiento del Islam en el siglo séptimo, demuestra la especificidad cultural y geográfica de Marruecos, "países separados de cualquier otro país", tal como se describe por Ibn Jaldún. La historia antigua de Marruecos demuestra cómo se ha formado y mezclas entre olas sucesivas de razas, culturas, religiones e influencias de todos los orígenes, y que el Islam y el arabismo son tan un componente, esencial e importante.

Anteo fue para los habitantes de esta región del norte de África, el dios del mar y la tierra. El hijo de Poseidón, era un gigante y atacó a todos aquellos que venían de muy lejos, por lo tanto, desconocidos para el lugar. según la leyenda Amazigh, era invencible. tan pronto como puso los pies en el suelo se hizo aún más poderoso. sin embargo, será asesinado por otro dios, Hércules. Ayudado por los dioses, este último logró mantenerlo en el suelo y lo estranguló con los brazos.

Hércules luchando con Anteo, por Francisco de Zurbarán (1634, Museo del Prado).

Hércules luchando con Anteo, por Francisco de Zurbarán (1634, Museo del Prado).

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Rédigé par Last Night in Orient

Publié dans #Maroc, #Histoire, #Religion

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Publié le 18 Décembre 2017

Selon une étude publiée en 2012 par le US Pew Research Center, 80% des Marocains croient au mauvais œil et 78% croient au pouvoir de la sorcellerie.

La sorcellerie au cœur du pouvoir 

La pratique de la sorcellerie est si populaire qu'elle coûte au Maroc une mauvaise réputation internationale, notamment au Moyen-Orient, qui associe le nom du Maroc aux arts occultes. Et c'est que les pratiques de sorcellerie sont très populaires mais en même temps leurs auteurs sont rejetés socialement. Une ambivalence retrouvée dans la même tradition islamique, qui admet la puissance du mauvais œil et des djin ou génies, tous deux mentionnés dans le Coran; mais il condamne la pratique de la sorcellerie comme un «péché capital». La pratique en elle-même est semblable à celle en usage dans d’autres cultures primitives. Elle s’apparente à des rites occultes et sataniques, elle consiste en des offrandes et des sacrifices d’animaux destinés au démon, à l’utilisation d’amulettes protectrices, de pentagrammes et d’incantations inintelligibles. Le sorcier se mettant sous l’égide du diable et des démons, fait appel à des forces du monde de l‘invisible (Alam al ghayb ) tels que les mauvais génies afin de lancer ses sortilèges jusqu'à semer la désunion entre l'homme et son épouse. En dialectal marocain, shūr désigne tous les rites qui provoquent des changements néfastes dans l'état des personnes, qu'il s'agisse de leur bien-être, de leurs sentiments, de leurs comportements ou, bien sûr, de leur santé. Les rites manuels sont des préparations obtenues en mélangeant des éléments minéraux, végétaux, animaux ou d'origine humaine : la tortue, le caméléon, la peau du lézard, reptiles en tous genres, les hérissons, la cervelle de la hyène, les cornes de la chèvre ou du bouc.

Les singes au Maroc sont tués pour s'amuser et leurs restes sont utilisés pour des potions de sorcellerie. Les jeunes sont séparés de leurs mère. La sorcellerie utilise les tortues comme rituel pour des actes sataniques ou pour jeter le mauvais sort. 
Les singes au Maroc sont tués pour s'amuser et leurs restes sont utilisés pour des potions de sorcellerie. Les jeunes sont séparés de leurs mère. La sorcellerie utilise les tortues comme rituel pour des actes sataniques ou pour jeter le mauvais sort. 

Les singes au Maroc sont tués pour s'amuser et leurs restes sont utilisés pour des potions de sorcellerie. Les jeunes sont séparés de leurs mère. La sorcellerie utilise les tortues comme rituel pour des actes sataniques ou pour jeter le mauvais sort. 

Bibliographie
Amours sorcières de Tahar Ben Jelloun, Éditions du Seuil, 2003, 296 p.
Médecine , magie et sorcellerie au Maroc (Dr. Akhmisse Mustapha), 1985 Edit. Benimed.
Rites et secrets des marabouts à Casablanca, Sédim. 1984.
Le culte des saints dans l'islam Maghrébin,par Dermenghem Emile, Gallimard, 1954.
Magie et religion dans l'Afrique du Nord, par Doutté, Alger, 1908
Les structures anthropologiques de l'imaginaire par Durant G., Bordas,Paris 1984
Mythes, rêves et mystères, Gallimard, 1957 par Eliade Mircea.
La main de fatma, par Hubert J. Hespéris , 1927
Onomastique des tatouages Marocains, par Hubert J, Hespéris, 1948.
Les feux de joie chez les berbères de l'Atlas, Hespéris , 1921.
Des noms berbères de l'ogre et de l'ogresse, Par Laoust E, Hespéris , 1947;
Essai de folklore marocain, par Doctoresse Legey, Geuthner Editeur,1926.
La sorcellerie au Maroc, par Docteur Mauchamp Emile, 1910,
Le culte de Bouya Omar, Eddif, 1995 par Naâmouni Khadija.
Mythes et croyances au Maroc, par Pascon Paul, chez Lamalif, Nr. 180 , sept. 1986.
Survivances païennes dans la civilisation Mahométane, par Westermark W., Paris 1935.

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Rédigé par Last Night in Orient

Publié dans #Maroc, #sorcellerie, #Religion

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Publié le 13 Octobre 2017

Cet article est reposté depuis Encyclopædia of Gay and Lesbian Popular Culture.

Le ministre des droits de l’Homme, Mustapha Ramid, vient une nouvelle fois de s’en prendre aux homosexuels qu’il qualifie « d’ordures ». Ce n’est pas la première sortie médiatique sur l’homosexualité de l’ancien ministre de la Justice. En 2015, il avait conseillé aux homosexuels, lors d’une interview donnée à la radio Chada FM, de changer de sexe. « Celui qui a une voix grave masculine, mais se sent femme à l’intérieur n’a qu’à changer de sexe ».
 

Trop c'est trop. Tout le monde donne de l'importance à cette homosexualité et veut en parler. Ces gens-là sont des détritus

El Mostafa Ramid (en arabe: المصطفى رميد)

Ce n’est pas la première sortie médiatique sur l’homosexualité de l’ancien ministre de la Justice. En 2015, il avait conseillé aux homosexuels, lors d’une interview donnée à la radio Chada FM, de changer de sexe. « Celui qui a une voix grave masculine, mais se sent femme à l’intérieur n’a qu’à changer de sexe ».
 

El Mostafa Ramid, une crapule homophobe au Maroc qualifie les homosexuels de détritus de la société

Bref, les homophobes sont des crapules en ce sens  une personne abjecte qui a des sentiments bas et est capable des pires actions.

 L’apologie de la pédophilie constitue l'ensemble des positions visant à faire accepter socialement la pédophilie ou simplement à en faire l'éloge.complaisante au niveau politique.

L’apologie de la pédophilie constitue l'ensemble des positions visant à faire accepter socialement la pédophilie ou simplement à en faire l'éloge.complaisante au niveau politique.

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Rédigé par Last Night in Orient

Publié dans #Maroc, #Actualités, #2017, #homophobie, #Droits de l'homme, #El Mostafa Ramid

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