maroc

Publié le 23 Mars 2019

La 14e réunion annuelle de la commission de l’Unesco, qui doit se tenir à Bogota, du 9 au 14 décembre 2019, prendra par la suite la décision d’inclure ou non l’art Gnawa sur cette liste.
La 14e réunion annuelle de la commission de l’Unesco, qui doit se tenir à Bogota, du 9 au 14 décembre 2019, prendra par la suite la décision d’inclure ou non l’art Gnawa sur cette liste.
La 14e réunion annuelle de la commission de l’Unesco, qui doit se tenir à Bogota, du 9 au 14 décembre 2019, prendra par la suite la décision d’inclure ou non l’art Gnawa sur cette liste.

La 14e réunion annuelle de la commission de l’Unesco, qui doit se tenir à Bogota, du 9 au 14 décembre 2019, prendra par la suite la décision d’inclure ou non l’art Gnawa sur cette liste.

Les styles de musique surgissent du plus profond de nos êtres, là où le legs ancestral de l'expression collective se mélange aux effluves de l'expérience individuelle et de sa perception environnementale externe résonnante sur les cordes sensibles de notre entité interne. En cette matière, la musique nord-africaine constitue un échantillonnage culturel très riche, ayant survécu à la colonisation et à l'appauvrissement en se ressourçant, paradoxalement, dans la force réactionnaire des opprimés.

L'Hâl " ou La transe cabalistique du phénomène El ghiwan - par Khalid Benslimane)

La tradition orale est à la base un témoignage oculaire transmis oralement d’une génération à une autre avec l’éclectisme du verbe et la transmission codifiée qui la caractérise selon les diverses sociétés. Cette tradition orale représente toujours des témoignages oculaires dans sa genèse, celle-ci sera contée par les initiés très souvent, et seule cette tradition nous intéresse ici.

La tradition orale dans la sphère africaine

En décembre 2019, à Bogotá, le Maroc saura si la musique de transe Gnawa figurera sur la liste de l’Unesco.

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Rédigé par Last Night in Orient - LNO ©

Publié dans #Bogotá, #Colombie, #Unesco, #Maroc, #Musiques traditionnelles marocaines, #Gnawa, #2019

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Publié le 18 Décembre 2018

Faire du tourisme dans certains pays "exotiques" peut être une expérience gratifiante et inoubliable pour certaines voyageuses. Mais le rêve peut également se changer en cauchemar dans certains pays.

Leur famille leur avaient pourtant déconseillé de se rendre au Maroc "à cause de la situation chaotique". Le Maroc est le 2e pays le plus dangereux au monde pour les femmes voyageant seules.

Les photos des trois individus recherchés. Ils ont été identifiés par la police qui utilisait des caméras de vidéosurveillance de la ville et la source policière a déclaré qu'une carte d'identité avait également été découverte sur le site de leur campement abandonné.  Sur les photos d'identité noir et blanc diffusées par les autorités, un des suspects est vêtu d'un vêtement long blanc, porte un "Kufi" (calotte blanche) sur la tête et arbore une barbe non taillée. Le deuxième porte également une barbe fournie, tandis que le troisième a un visage maigre cerné d'un bouc.
Les photos des trois individus recherchés. Ils ont été identifiés par la police qui utilisait des caméras de vidéosurveillance de la ville et la source policière a déclaré qu'une carte d'identité avait également été découverte sur le site de leur campement abandonné.  Sur les photos d'identité noir et blanc diffusées par les autorités, un des suspects est vêtu d'un vêtement long blanc, porte un "Kufi" (calotte blanche) sur la tête et arbore une barbe non taillée. Le deuxième porte également une barbe fournie, tandis que le troisième a un visage maigre cerné d'un bouc.
Les photos des trois individus recherchés. Ils ont été identifiés par la police qui utilisait des caméras de vidéosurveillance de la ville et la source policière a déclaré qu'une carte d'identité avait également été découverte sur le site de leur campement abandonné.  Sur les photos d'identité noir et blanc diffusées par les autorités, un des suspects est vêtu d'un vêtement long blanc, porte un "Kufi" (calotte blanche) sur la tête et arbore une barbe non taillée. Le deuxième porte également une barbe fournie, tandis que le troisième a un visage maigre cerné d'un bouc.

Les photos des trois individus recherchés. Ils ont été identifiés par la police qui utilisait des caméras de vidéosurveillance de la ville et la source policière a déclaré qu'une carte d'identité avait également été découverte sur le site de leur campement abandonné. Sur les photos d'identité noir et blanc diffusées par les autorités, un des suspects est vêtu d'un vêtement long blanc, porte un "Kufi" (calotte blanche) sur la tête et arbore une barbe non taillée. Le deuxième porte également une barbe fournie, tandis que le troisième a un visage maigre cerné d'un bouc.

L’un des tueurs dit d’abord distinctement en dialecte marocain « Attrape, Attrape !, avant de répéter à deux reprises au moins, mais cette fois en arabe classique : « Ceci est pour nos frères de Hajine (… ) Voici vos têtes ennemis de Dieu ! », une ville où sont reclus des jihadistes récemment bombardée en Syrie.

Acte criminel ou crime crapuleux ?

La vidéo dure 1 minutes et 16 secondes. La première image montre un plan serré sur la lame d’un grand coutelas. La scène se passe dans une chambre, probablement un gîte, comme le laisse croire la nature dénudée des murs et du sol en ciment brut. Des chuchotements masculins difficilement audibles suivent.

Le coutelas est dirigé par un homme, dont on ne voit que la main armée et les pieds chaussés de baskets. Une femme, habillée d’un haut blanc à manches longues et d’un slip d’une couleur noire, est étendue sur le ventre. L’homme au premier plan, chaussé de baskets, remet le coutelas à un autre qui domine la femme étendue sur un sol.

Le deuxième homme à qui l’arme blanche a été remise la pose précipitamment sur la nuque de la jeune femme qui pousse des cris. L’homme marmonne quelque chose dans un arabe difficilement intelligible, tout en passant le coutelas sur la nuque de la jeune femme. Il la retourne tout en continuant à marmonner.

Son complice immobilise avec son pied la tête de la femme et l’homme au couteau tranche la gorge dans un large mouvement circulaire. La jeune femme cesse de pousser des cris et seul un son guttural, qui rappelle à tout Marocain le son que produit un mouton égorgé, se laisse entendre.

La tête de la jeune femme baigne dans une mare de sang. L’un des deux hommes assène avec son coutelas plusieurs coups secs sur le cou de façon à décoller la tête du corps. Il continue de marmonner tout en assénant cette série de coups, jusqu’à détacher le tête du tronc. Il soulève ensuite la tête décapitée par ses cheveux et la jette au sol, un peu plus loin.

Fin de la vidéo.

 

A Copenhague, le Premier ministre danois Lars Løkke Rasmussen a dénoncé "un crime bestial". La Première ministre norvégienne, Erna Solberg, a condamné une "attaque brutale et dénuée de sens sur des innocents".

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Rédigé par Last Night in Orient

Publié dans #Tourisme, #Maroc, #2015, #Haut-Atlas, #Louisa Vesterager Jespersen, #Imlil, #Maren Ueland

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Publié le 9 Décembre 2018

Agadir est une ville balnéaire dénuée de culture !

Tout au plus une ville de farniente et de bien-être, tout au plus une baie sans prétention et zone de molestation et un souk. Une destination touristique pour des animations en soirée accessibles à tous au Sofitel pour une bonne ambiance et des boissons. Le pub anglais propose de nombreux divertissements et sports et attire pourtant une foule internationale.

Autre attraction typique ce sont ces colporteurs qui vous approchent souvent sur la plage, engagent une conversation, puis vous mettent une pâtisserie dans la main, que vous en demandiez une ou non. Vous devez alors payer pour cela (5Dh ou 10Dh est un prix raisonnable). Si vous ne voulez pas acheter, refusez simplement.

À éviter  surtout aux homosexuels depuis un climat hostile. Évitez de vous promener trop dénudés (surtout pour les femmes). Et certainement pas de monokini sur les plages sous risque de harcèlement et de peine d'emprisonnement.  La répression des personnes homosexuelles y est très forte.

Par son contexte politique, les droits pour les homosexuels sont bafoués. Il faut redoubler d’effort pour vivre un moment paisible au Maroc si vous êtes homosexuels. Attention aussi aux fraudes à l'amitié de gaymen dans cette région.‎

Il est déconseillé de se promener, a fortiori la nuit, dans des lieux désertés par le public (plages et parcs publics, notamment), ou de porter des objets de valeur le soir dans les centres-villes ou les quartiers périphériques des agglomérations, pour limiter les risques de vol. Les femmes européennes, accompagnées ou a fortiori seules, sont souvent l’objet d’une attention intéressée et pressante pouvant aller jusqu’à des actes de harcèlement.

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Rédigé par Last Night in Orient

Publié dans #Maroc, #Agadir, #Tourisme

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