Juan Gabriel était un compositeur dont l'inspiration pouvait être comparée à celle de José Alfredo Jiménez. L'un des rares compositeurs au monde qui possède toute son oeuvre musicale nominé pour six prix Grammy et a vendu des millions d'albums. Les chansons rancheras ont été composées pour toute la gamme de vitesse d'exécution, de très lent (rancheras de douleur) à très rapide (rancheras de relaxation). Les rancheras sont devenues l'un des genres les plus représentatifs de la musique mexicaine (qui a différents styles régionaux), évoluant du stade local et paysan à la conquête internationale.
Le Divo mexicain a toujours été l'une des idoles pour l'artiste de Bogota, qui a grandi avec sa musique et l'admire comme un compositeur, un chanteur, un chanteur et une légende. Ce moment malheureux coïncide avec son départ pour l'interprétation des rancheras.
Sebastian Yatra, est un artiste pop et urbain
Alejandro González, Marbelle - Costumbres
Paola Jara performing La Farsante
Alejandro González, Do2 - La Diferencia
Alejandro González, Siam - Fue Un Placer Conocerte
Alejandro González, Ventino - Popurrí de Juan Gabriel
El nombre de Alejandro González se hizo conocido durante una temporada de fiebre pasajera llamada tropipop, pero su inquietud musical lo ha llevado a navegar en otras aguas. De haberse ganado un ...
La Paloma (la colombe en espagnol) est une chanson composée par le Basque Sebastián Iradier vers 1863 après une visite à Cuba alors colonie espagnole, deux ans avant sa mort en Espagne. Cette chanson est avant tout caractérisée par son rythme, celui de la habanera.
Le thème musical en est reconnaissable dans le cinquième et dernier mouvement de la Symphonie espagnole d'Édouard Lalo écrite en 1874. La chanson était la chanson préférée de Charlotte de Belgique, épouse de l'empereur mexicain Maximilien.
1. Cuando salí de la Habana
¡Válgame Dios!
Nadie me ha visto salir
Si no fui yo.
Y una linda Guachinanga
Allá voy yo.
Que se vino tras de mí,
que sí, señor.
Refrain:
Si a tu ventana llega una paloma,
Trátala con cariño que es mi persona.
Cuéntale tus amores, bien de mi vida,
Corónala de flores que es cosa mía.
Ay, chinita que sí!
Ay, que dame tu amor!
Ay, que vente conmigo, chinita,
A donde vivo yo!
2. El día que nos casemos ¡Válgame Dios!
En la semana que hay ir Me hace reir
Desde la Iglesia juntitos, Que sí señor,
Nos iremos a dormir, Allá voy yo.
(Refrain)
3. Cuando el curita nos eche La bendición
En la Iglesia Catedral, Allá voy yo
Yo te daré la manita Con mucho amor
Y el cura dos hisopazos Que sí señor
(Refrain)
4. Cuando haya pasado tiempo ¡Válgame Dios!
De que estemos casaditos Pues sí señor,
Lo menos tendremos siete Y que furor!
O quince guachinanguitos Allá voy yo
Lahabaneraest une genre musical dansant et musique née vers1830àCuba qui dérive de lacontradanza. Il est défini comme une ligne mélodique de caractère lyrique romantique, avec un accompagnement instrumental qui exécute un motif rythmique stable1.
Le terme habanera se fait connaitre dans le contexte créatif et interprétatif de la Contradanza créole. Des œuvres de ce genre publiées au début du XIXe siècle avaient paru sous le nom de Havana contradanzas. C'est pourquoi de nombreuses sources coïncident pour considérer l'origine des salons de danse du genre2.
De nombreux compositeurs espagnols, d'Albénizà Esplá etde FallaàMontsalvatge, se sont inspirés de lamusique cubaine. Ernesto Halffter, qui a visité l'île en 1932, a transféré le rythme syncopé caractéristique de la habanera à son largement diffusé «Habanera», l'une de ses deux pièces cubaines qui feront partie de la bande originale deBambú, une comédie de 1945 du realisateurJosé Luis Sáenz de Herediaqui met en vedetteImperio Argentinase déroule pendant laguerre de Cuba345.
La habanera "La Paloma" du compositeur basqueSebastián Iradiera acquis une grande renommée en Espagne et dans les Amériques. Lequadrilleest adopté par toutes les classes sociales et connaît un grand succès dans les salons de France et d'Angleterre.
La chanson de La Havane a acquis une telle renommée internationale que de nombreux compositeurs ont cultivé le genre, commeJules Massenet, qui a inclus un Havane dans son opéra "Le Cid" de 1885, ainsi queGeorges Bizetdans son opéra "Carmen".
Les habaneras latino-américaines
La première habanera publiée est parue dans le journal La Prensa, en 1842. Il s'agit d'El amor en el baile. À cet égard, le chercheur Raúl Martínez a écrit : Cette nouvelle chanson éponyme de La Havane est l'une des premières du genre6.
Des musiciens espagnols tels queManuel de FallaetIsaac Albenizou plus récemmentCarlos Canoavec des paroles d'Antonio Burgos (Habaneras de Cadiz8,9) ont également composé des habaneras10.