plantes

Publié le 17 Décembre 2020

Dans quelle mesure nos croyances et nos pratiques de vie ont-elles changées face à l'épidémie du Coronavirus? Que signifie être vraiment en bonne santé? Et quel rôle jouent nos émotions dans le confinement actuel?

Le projet "Herbario desde casa" s'inspire largement de la cosmogonie des peuples autochtones du Mexique et de la nôtre. L'origine des humains, la maladie spirituelle, le lien entre nous et la récente pandémie du COVID-19 se reflètent à travers trois histoires animées avec des techniques vidéo artisanales avec la technologie de la téléphonie mobile.
 

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Publié le 11 Juillet 2020

Pour se débarrasser de certaines toxines dans l'air à l'intérieur d'un espace, il existe des plantes d'intérieur faciles à entretenir. Une étude réalisée en 1989 par la NASA classe le Chlorophytum comosum  parmi les plantes dépolluantes.

Pour les oublieux, cette plante est idéale car elle survit à presque toutes les conditions de lumière et de température; encore faut-il mettre de l'eau et une chanson de temps en temps. Certains l'appellent aussi «mauvaise mère» car il jette des enfants partout. »

Pour les oublieux, cette plante est idéale car elle survit à presque toutes les conditions de lumière et de température; encore faut-il mettre de l'eau et une chanson de temps en temps. Certains l'appellent aussi «mauvaise mère» car il jette des enfants partout. »

Cette plante possède la propriété d'absorber des polluants de l'air, notamment le monoxyde de carbone et le dioxyde d'azote ainsi que certains composés organiques volatils (COV), comme le méthanal ou le xylène.

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Rédigé par Last Night in Orient - LNO ©

Publié dans #Chlorophytum comosum, #Plantes, #Environnement

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Publié le 11 Juillet 2020

Cette plante a servi d'inspiration pour un roman de George Orwell. (''Et vive l'Aspidistra !''). Avec ses feuilles longues et brillantes, elle purifie l'air d'éléments aussi nocifs que le toluène.
Cette plante a servi d'inspiration pour un roman de George Orwell. (''Et vive l'Aspidistra !''). Avec ses feuilles longues et brillantes, elle purifie l'air d'éléments aussi nocifs que le toluène.

Cette plante a servi d'inspiration pour un roman de George Orwell. (''Et vive l'Aspidistra !''). Avec ses feuilles longues et brillantes, elle purifie l'air d'éléments aussi nocifs que le toluène.

Dans les années 1930 à Londres, les bourgeois décoraient leur maison avec une plante originaire de Chine, l'aspidistra, symbole d'une existence confortable et agréable, valeurs qui, pour Gordon Comstock, le protagoniste de ce roman, ne méritent que du mépris. Gordon décide de prendre ses responsabilités et travaille à l'agence de publicité pour 4 £ par semaine, assez pour bien vivre, comme Rosemary a le bébé. Ils se marient et il renonce définitivement à la poésie. Petit à petit, ses idées évoluent et, symbole de cette évolution, l'aspidistra, plante qu'il considérait comme un ennemi pour représenter le "monde de l'argent", sera la plante ornementale de sa nouvelle demeure. 

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Rédigé par Last Night in Orient - LNO ©

Publié dans #Aspidistra elatior, #George Orwell, #Environnement, #Plantes, #plante ornementale, #Littérature

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