pop baroque

Publié le 2 Mars 2018

Cette ballade rend hommage au peintre Vincent van Gogh, à son œuvre, et plus particulièrement au célèbre tableau « La nuit étoilée ». Van Gogh voit le ciel étoilé comme une carte géographique et la mort comme une navette permettant de le rejoindre.

Cette ballade rend hommage au peintre Vincent van Gogh, à son œuvre, et plus particulièrement au célèbre tableau « La nuit étoilée ». Van Gogh voit le ciel étoilé comme une carte géographique et la mort comme une navette permettant de le rejoindre.

Starry, starry night
Paint your palette blue and grey
Look out on a summer's day
With eyes that know the darkness in my soul
Shadows on the hills
Sketch the trees and the daffodils
Catch the breeze and the winter chills
In colors on the snowy linen land

Now I understand
What you tried to say to me
And how you suffered for your sanity
And how you tried to set them free
They would not listen, they did not know how
Perhaps they'll listen now

Starry, starry night
Flaming flowers that brightly blaze
Swirling clouds in a violet haze
Reflect in Vincent's eyes of china blue
Colors changing hue
Morning fields of amber grain
Weathered faces lined in pain
Are soothed beneath the artist's loving hand

Now I understand
What you tried to say to me

And how you suffered for your sanity
And how you tried to set them free
They would not listen, they did not know how
Perhaps they'll listen now

For they could not love you
But still your love was true
And when no hope was left in sight
On that starry, starry night
You took your life, as lovers often do
But I could've told you, Vincent
This world was never meant for one as beautiful as you

Starry, starry night
Portraits hung in empty halls
Frameless heads on nameless walls
With eyes that watch the world and can't forget
Like the strangers that you've met
The ragged men in ragged clothes
The silver thorn on the bloody rose
Lie crushed and broken on the virgin snow

Now I think I know
What you tried to say to me
And how you suffered for your sanity
And how you tried to set them free
They would not listen, they're not listening still
Perhaps they never will

Nuit étoilée, nuit étoilée 
Tu peins ta palette et de bleu et de gris 
Tu contemples cette journée d'été 
Avec des yeux qui reconnaissent l'obscurité de mon âme 
Des ombres sur les collines 
Tu esquisses les arbres et les jonquilles 
Tu captures la brise et les grands froids d'hiver 
Dans des teintes blanches comme neige sur cette terre 

Maintenant je comprends 
Ce que tu as essayé de me dire 
Combien tu as souffert pour garder les idées claires 
Et combien tu t'es efforcé de les libérer 
Ils ne t'écoutaient pas, ils ne savaient pas comment 
Peut-être qu'ils t'écouteront maintenant 

Nuit étoilée, étoilée 
Les leurs flamboyantes qui s'embrasent de couleurs éclatantes 
Les nuages tournoyants dans un brouillard violet 
Se reflètent dans les yeux de Vincent de porcelaine bleue 
Les couleurs aux teintes changeantes 
Du matin, des champs, des grains d'ambre 
Les visages burinés, ridés par la souffrance 
Sont adoucis par la main de l'artiste, tendre et aimante 

Maintenant je comprends 
Ce que tu as essayé de me dire 

Combien tu as souffert pour les libérer 
Combien tu t'es efforcé pour garder les idées claires 
Ils ne t'écoutaient pas, ils ne savaient pas comment 
Peut-être qu'ils t'écouteront maintenant 

Car ils ne pouvaient pas t'aimer 
Mais toujours, ton amour restait sincère 
Et quand il ne restait plus d'espoir à voir 
Lors de cette nuit étoilée, étoilée 
Tu t'es suicidé, comme le font souvent les amants 
Mais j'aurais pu te dire, Vincent 
Que ce monde n'a jamais été fait pour quelqu'un d'aussi beau que toi 

Nuit étoilée, étoilée 
Des portraits accrochés dans des couloirs déserts 
Des têtes sans cadres sur des murs sans nom 
Avec des yeux qui observent le monde, incapables d'oublier 
Pareils aux inconnus que tu as rencontrés 
Ces hommes loqueteux, vêtus de haillons 
L'épine d'argent sur la rose sanguinaire 
Sont étendus et brisés dans la neige vierge 

Maintenant je crois que je comprends 
Ce que tu as essayé de me dire 
Combien tu as souffert pour les libérer 
Combien tu t'es efforcé pour garder les idées claires 
Ils ne t'écoutaient pas, ils ne t'écoutent toujours pas, du reste 
Peut-être qu'ils ne t'écouteront jamais... Simple hypothèse.

Voir les commentaires

Rédigé par Last Night in Orient

Publié dans #Ellie Goulding, #Vincent, #2018, #Don McLean, #Vincent van Gogh, #Pop baroque

Repost0

Publié le 24 Décembre 2017

La chanson est construite comme une visite guidée autour de Penny Lane, mettant en scène plusieurs personnages. Celle-ci commence avec un coiffeur qui montre les photos des têtes qu'il a connues, les passants s'arrêtant pour dire bonjour. Au coin de la rue, on peut trouver un banquier avec une moto, qui, fait étrange, ne porte jamais d'imperméable sous la pluie. Plus loin, un pompier avec une photo de la reine dans sa poche nettoie son camion, et derrière l'abri, au milieu du rond-point, une jolie infirmière vend des coquelicots. La visite s'achève avec le coiffeur qui s'occupe d'un autre client, le banquier qui lui aussi attend pour une coupe, et le pompier qui se précipite à son tour dans le salon, sous la pluie battante.

Il y a une part de vérité et une autre d'enjolivements dans la chanson. Ainsi, dans Penny Lane, il y avait effectivement un salon de coiffure, deux banques, et une caserne de pompiers. L'abri et le rond-point sont également vrais. Les personnages de la chanson, comme le banquier et le pompier, n'ont en revanche jamais existé.

Voir les commentaires

Rédigé par Last Night in Orient

Publié dans #The Beatles, #Penny Lane, #Pop baroque

Repost0