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Publié le 27 Février 2018

D’une manière générale, le chauffage est avant tout une question de confort. Mais c’est également devenu une question d’économies d’énergie et de respect de l’environnement. Pour fixer la bonne température chez vous, vous devez donc prendre en compte de nombreux paramètres.

D’une manière générale, le chauffage est avant tout une question de confort. Mais c’est également devenu une question d’économies d’énergie et de respect de l’environnement. Pour fixer la bonne température chez vous, vous devez donc prendre en compte de nombreux paramètres.

L'ADEME préconise 19°C et un gros pull.dans les pièces à vivre de votre logement. cette température garantit une sensation de confort mais diffère d'une personne à l'autre, mais c'est dans cette zone, habituellement, que les gens se sentent bien. Selon des études, il suffit d'abaisser la température de 1 degré pour réduire de 7 % la consommation d'énergie. A l’inverse, si l’on chauffe trop peu, les murs se refroidissent de sorte qu’il est impossible de vraiment réchauffer la pièce même si le chauffage est au maximum.

Quand vous êtes sous votre couette, le chauffage n'est pas souhaitable si vous êtes en bonne santé . Au contraire, dormir trop au chaud n'est pas bon pour votre sommeil. Une température trop élevée va avoir tendance à "dessécher les muqueuses", ce qui entraîne un inconfort pour respirer ou déglutir.

Le ressenti des températures va dépendre par ailleurs de l'isolation de votre maison ou appartement, du type de chauffage choisi, de la circulation de l'air et du taux d'humidité, variable selon l'orientation des pièces et, bien sûr, des saisons. Outre la température de l'air et l'humidité relative, notons également la vitesse de l'air (les courants d'air), les températures de surface (murs et fenêtres), l'habillement des occupants et l'activité physique de ces derniers.

Par ailleurs, gardez à l’esprit que tous les habitats, et surtout toutes les pièces, ne nécessitent pas la même puissance de chauffe. Une pièce orientée plein sud sera moins gourmande en énergie qu’une pièce exposée au nord.

Cette température de 19°C devrait théoriquement convenir pour n'importe quelle pièce à vivre (salon, salle à manger, cuisine). En revanche, vous serez probablement soulagé d'apprendre qu'une température de 21-22°C est plus réaliste pour une pièce comme la salle de bain, ne serait-ce que pendant le temps de son utilisation. Inversement, une température de 16° est un bon compromis pour une chambre d'adulte : sous la couette, vous ne ressentirez pas cet écart de température.

Hiver ou pas, pensez bien à toujours ventiler votre logement tous les jours pour évacuer les virus. ll ne faut en aucun cas réguler la température par le biais des fenêtres. Laisser longtemps les fenêtres entrebâillées en hiver revient à chauffer allègrement l’air hivernal à grands frais.

Selon le temps d'absence, il est recommandé une température de :

  • 16 °C en cas d'absence la journée,

  • 12 à 14 °C en cas d'absence prolongée. Même dans ce cas, ne pas laisser la température descendre en dessous de 12 degrés à l’intérieur. Réchauffer les pièces par la suite coûtera plus d’énergie que de laisser le chauffage fonctionner à température modérée.

Que tous vos équipements et appareils domestiques soient au gaz naturel ou à une autre énergie, nos hivers rigoureux les mettent à rude épreuve; aussi est-il important d’en prendre soin et de les faire entretenir régulièrement par un professionnel

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Rédigé par Last Night in Orient

Publié dans #santé

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Publié le 1 Avril 2015

Rôtissoire dans un restaurant kebab

Rôtissoire dans un restaurant kebab

Les uns en raffolent, les autres le détestent. Le kebab est entré dans les habitudes alimentaires des Français. Pour le meilleur... et parfois pour le pire. En France, on consomme chaque année 310 millions de kebab, soit 10 kebabs chaque seconde. 
 
« kebab » est un mot qui a pour origine « kebap » qui signifie en turc « viande grillée « . En Turquie, ce sandwich est appelé « döner kebab » (c'est-à-dire « grillade tournante ») et se compose de déchets de viandes variées, de salades, de tomates et d'oignons
 
Si ces déchets gastronomiques sont proposés sous forme de cuisine de rue dans nos pays, je considère que ces produits très sensibles et très dangereux surtout s'ils sont mis entre les mains de personnes qui ne sont pas formées aux risques qu'ils peuvent occasionner sur la santé publique. Pourtant ce type de restauration se multiplie partout et générallement sans contrôles suffisants. Je pense qu'il faudrait prendre le problème de ce type de restauration à bras le corps dans un esprit de prévention active. Le kebab est actuellement le « fast-food le plus malsain qui soit ».  
 
Nuisances olfactives
 
Un autre problème a prendre en considération est celui des nuisances provoquées par des odeurs (nuisances olfactives) qui peuvent, dans certains cas, être considérées comme un trouble anormal de voisinage et, à ce titre, être sanctionnées. Les nuisances olfactives perturbent la qualité de vie et induisent également des problèmes connexes de santé publique. 
 
Qui, après avoir mordu sur un morceau de gras, la bouche pleine de frites collant le palais, ne s'est pas juré que jamais, plus jamais, il ne commettrait à nouveau l'erreur d'acheter un kebab ?Pourtant un nouveau phénomène apparaît dans la mesure où des restaurateurs tente à redorer le blason en proposant une version « de qualité » avec des produits bien choisis ou d'origine biologique (pain maison, viande de boucher, sauce maison etc.)

 

Qui dit kebab, dit malbouffe, salmonellose et ... nuisances olfactives !

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Rédigé par Last Night in Orient

Publié dans #cuisine, #2015, #santé, #France

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