tourisme en belgique

Le Museum aan de Stroom (Musée sur le cours d'eau) est un musée anversois ethnographique, anthropologique et maritime, posé au bord du bassin Bonaparte sur l'ancien port d’Anvers et qui a nécessité un investissement de plus de 50 millions d'euros, a été inauguré le 14 mai 2011. Les plans du MAS ont été dressés par le bureau d'architectes rotterdamois Neutelings-Riedijk Architecten. La façade du MAS est en grès rouge indien et se présente sous la forme d'une tour haute de 62 mètres.

Toutefois, cette ville est une métropole à échelle humaine, où l’on peut découvrir facilement un éventail de styles, de couleurs, et de goûts. Les restaurants de cuisines du monde y fleurissent. Elle a eu mille vies. Rubens y est né et lui a offert son art. Elle est aussi devenue le port d'où on embarquait pour ouvrir la page de son rêve d'Amérique. Puis il y eut le règne des diamantaires et, désormais, celui des créateurs de mode. La première des flamandes (490.000 habitants) n'en finit pas de célébrer ses talents, son histoire et les plaisirs du jour. Un musée consacré aux paquebots de la Red Star Line...

Le Museum aan de Stroom (Musée sur le cours d'eau) est un musée anversois ethnographique, anthropologique et maritime, posé au bord du bassin Bonaparte sur l'ancien port d’Anvers et qui a nécessité un investissement de plus de 50 millions d'euros, a été inauguré le 14 mai 2011. Les plans du MAS ont été dressés par le bureau d'architectes rotterdamois Neutelings-Riedijk Architecten. La façade du MAS est en grès rouge indien et se présente sous la forme d'une tour haute de 62 mètres.

Antwerpen affiche avec fierté un vaste éventail de réalisations qui renforcent son image de métropole contemporaine où il fait bon vivre, habiter, travailler et faire du shopping. A l'heure actuelle, Anvers se révèle être le plus grand port de Belgique et une métropole prospère dans le commerce et l'industrie.

Anvers, seconde ville de Belgique, possède une gare internationale étonnante, dotée d'un monumental portique intérieur sculpté dans l'or et le marbre. Cette entrée conduit à un entrelacs de ruelles étroites qui convergent dans un flux de tramways et de bicyclettes vers la cathédrale et la Grand-Place. Les maisons des guildes flanquées de pignons en escalier se serrent les unes contre les autres pour former une vieille cité à l'urbanisme inchangé depuis la Renaissance. Plus on s'en éloigne, plus la ville s'aère et se modernise pour se dévergonder au bord de l'Escaut, le fleuve cordon ombilical entre la mer du Nord et les rives sablonneuses du port. Aux clochers stylisés des églises emplies des trésors de la peinture de Rubens succède le paysage de grues et d'entrepôts. 

Un endroit magique où j'adore ne rien y faire...lorsque je passe par Anvers, car c'est comme retrouver un peu de l'Italie baroque pas loin de chez moi...tout en mangeant une collation par beau temps. La place Hendrik Conscience abrite l'Eglise Saint-Charles Borromée et la Erfgoedbibliotheek. La place porte ce nom pour rendre hommage à ce grand écrivain flamand du 19e siècle. 

« Le ciel sur terre », « la huitième merveille du monde »... Au 17e siècle on était à court de mots pour qualifier cette église que l'on dirait posée sur une piazza Italienne. Elle fut construite de 1615 à 1621, au plus fort de la Contre-réforme, par et pour les Jésuites.

Cette place ont été érigées par les Jésuites à une époque où l'église protestante était très influente. Pour donner du travail aux pauvres et pour les impressionner le peuple, avec de belles ornementation.