world anti-communist league

Publié le 13 Juillet 2021

Le blocus est un régime de sanctions financières, commerciales et économiques qui vise à faire pression sur le gouvernement cubain pour qu'il procède à des changements politiques internes.

Le blocus est un régime de sanctions financières, commerciales et économiques qui vise à faire pression sur le gouvernement cubain pour qu'il procède à des changements politiques internes.

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Publié le 18 Mars 2021

Robert Charles Adolphe Marie Lucien Close, né le 30 avril 1922 à Bruxelles et y décédé le 8 décembre 2003, est un militaire et homme politique belge. Il a également été l'un des conseillers de la Princesse Lilian Baels. 

Robert Charles Adolphe Marie Lucien Close, né le 30 avril 1922 à Bruxelles et y décédé le 8 décembre 2003, est un militaire et homme politique belge. Il a également été l'un des conseillers de la Princesse Lilian Baels. 

Robert Charles Adolphe Marie Lucien Close, né le 30 avril 1922 à Bruxelles et y décédé le 8 décembre 2003, est un militaire et homme politique belge. Il a également été l'un des conseillers de la Princesse Lilian Baels. 

Close a étudié à l'Académie royale militaire. En mai 1940, il a combattu pendant la campagne des dix-huit jours lorsque l'Allemagne nazie a attaqué la Belgique. Après la reddition de la Belgique, il a rejoint la Résistance, mais en 1942, il a été arrêté et transféré dans un camp de concentration, auquel il a survécu. Après la fin de la guerre, il entame une carrière militaire à partir de 1945.

Diplômé en sciences économiques, politiques et diplomatiques (ULB), il est maître de conférences à l'Université de Liège.

Après avoir été attaché militaire à Londres pour le compte de la Belgique, Close a commandé des brigades belges en République fédérale d'Allemagne de 1971 à 1974 en tant que général. 

Il devient commandant de la 16e Division blindée (1976) et publia à cette époque un livre qui allait lui assurer une notoriété internationale : L'Europe sans défense ? Le Général Close dresse dans cet ouvrage le relevé détaillé de la situation alarmante de la défense militaire de l'Europe. L'ouvrage crée un scandale au sein de l'OTAN. Et provoque la colère des milieux pacifistes et de la gauche.

En 1980, le Général Close présente sa démission des cadres actifs de l'Armée belge et devient membre de la Ligue anti-communiste mondiale (World Anti-Communist League) et préside sa branche belge pendant la conférence tenue en juillet 1990 à Bruxelles. 

En 1981, il se présente aux élections et est élu sénateur pour le PRL. Il y siègera jusqu'en 1987, année où il quitte le PRL, déçu.

En 1983, il fonde avec Jacques Jonet, Paul Vankerkhoven et Nicolas de Kerchove l'Institut européen pour la paix et la sécurité. Cet Institut devait faire de la propagande contre des mouvements pacifistes.

En 1991, il rejoint le BEB-n (Entente belge – nouvelle / Belgische Eenheid – nieuw), petit parti droitier unitariste. Il a également quitté ce parti et rejoint le Front national. En 1996, il quitte ce dernier avec Roger Nols et Marguerite Bastien pour fonder par la suite le Front Nouveau de Belgique.

Proche, sur la fin de sa vie, d'Alain Escada, il contribue à la rédaction de diverses publications, comme la revue Polémique.

 

Ouvrages

  • Robert Close (préface de Henri Simonet), L'Europe sans défense ? : 48 heures qui pourraient changer la face du monde, Éditions Arts et voyages, coll. « Collection Inédits », Bruxelles, 1977, 359 p. (ISBN 2-8016-0050-4)
  • Ernst Albrecht, Guido Brunner, Jacques Chirac, Robert Close... [et al.] (hrsg. von Gerhard Mayer-Vorfelder und Hubertus Zuber), Welches Europa? : Antworten, Seewald, Stuttgart, 1977, 327 p. (ISBN 3-512-00479-2)
  • Robert Close, Europe without defense: 48 hours that could change the face of the world, Pergamon Press, coll. « Pergamon policy studies », New York, cop. 1979, XV-278 p. (ISBN 0-08-023108-X)
  • Robert Close (en collaboration avec Nicolas De Kerchove ; préface de Michael Voslensky), Encore un effort et nous aurons définitivement perdu la Troisième Guerre mondiale, P. Belfond, Paris, 1981, 297 p. (ISBN 2-7144-1446-X)
  • Jacques A.-M. Noterman (préface de R. Close), Que faire pour survivre à la guerre nucléaire ? : informations pratiques destinées à augmenter de façon significative, et à peu de frais, les chances de survie d'une famille en période de guerre, y compris nucléaire, Epécé, Ciney, 1984, 40 p.
  • Général Robert Close, Léopold III : les "non dits", Les Éditions Ligne claire, Bruxelles, 2001, 297 p. (ISBN 2-87115-011-7)

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Publié le 16 Mars 2021

La Ligue mondiale pour la liberté et la démocratie, anciennement Ligue anticommuniste mondiale jusqu'en 1990, plus connue sous son ancien nom anglais World Anti-Communist League et son acronyme (WACL), est une association non-gouvernementale transnationale rassemblant plusieurs associations autonomes qui avaient comme dénominateur commun l'anticommunisme.

Wikipedia

Le WACL a été fondée à Taïwan en 1967, en partie à l'instigation de Tchang Kaï-chek, le chef du Kuomintang et président de Taïwan jusqu'à sa mort en 1975, en vue de fédérer les adversaires du communisme. Elle a perduré après la guerre froide et s'est donné une autre mission, défendre la liberté et la démocratie et plus prosaïquement les intérêts diplomatiques de Taïwan.

La Ligue anti-communiste mondiale a d’abord été utilisée sous Nixon pour étendre les méthodes de contre-insurrection en Asie du Sud-Est et en Amérique latine (le général Stroessner a été par exemple l'un des piliers de cette organisation).

Il est important de préciser que l'organisation n'est pas limitées à la lutte contre le communisme. Ils se sont opposés à toute forme de gauche, de socialisme ou de syndicalisme, y compris la théologie de la libération, les mouvements étudiants, progressistes, ouvriers et paysans organisés.

La World Anti-Communist League a collaboré étroitement à la mise en œuvre du plan Condor en Amérique latine et du plan Phoenix en Asie. L'Opération Condor était une campagne de répression politique et de terrorisme d'État soutenue par les États-Unis qui comprenait des opérations de renseignement et des assassinats d'opposants.

En mars 1977, à Asunción, se déroule la troisième réunion de la Confédération anticommuniste d’Amérique latine (CAL). S’y retrouve la fine fleur des dictatures, du général Gustavo Leigh, membre de la junte chilienne, au général président argentin Jorge Videla, en passant par tout ce que l’Amérique latine compte de tortionnaires et de membres des escadrons de la mort. La CAL est une émanation d’un mouvement international lié aux différents services de renseignement, la Ligue mondiale anticommuniste (WACL).

« Opération Condor », cauchemar de l’Amérique latine

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